Du sense of wonder à la SF métaphysique

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Lensman
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Message par Lensman » mar. févr. 09, 2010 1:22 pm

Lem a écrit :. Après tout, Breton parlait des "Grands Transparents" comme de ces êtres impalpables mais bien réels qui peuplent l'imaginaire collectif et que l'art se donne pour tâche de saisir..
Est-ce que tu qualifierais les "Grands Transparents" de Breton de "métaphore réifiée"?
Oncle Joe

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bormandg
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Message par bormandg » mar. févr. 09, 2010 1:26 pm

Lem a écrit :Au fait, George, j'attends toujours ta liste qui prouve que la littérature blanche montre
des dieux ou Dieu en action ; met en scène concrètement le début et la fin des temps ; imagine physiquement le mutant et le surhomme, l'immortel, l'alter absolu et radical ; orchestre des scénarios pratiques déformant l'espace, le temps, la causalité, etc.
… autant que la fiction spéculative et ne s'en distingue donc pas du tout de ce point de vue.
Pas le temps aujourd'hui, d'autant plus que je ne saurais citer que des livres que j'ai lus il y a longtemps ou que je n'ai pas lus, mais ne t'inquiètes pas, elle sera longue. Et limitée au XX° siècle et à des oeuvres dont la revendication par la SF serait totalement abusive (comme l'EST la publication par Bragelonne de l'immondice abominable d'un auteur reconnu (à juste titre; il est aussi nul que les autres auteurs prescrits) par les prescripteurs.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."

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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » mar. févr. 09, 2010 1:44 pm

Lem a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :Cela dit, je n'ai pas eu l'impression que ton obstination métaphorique au sujet de la transparence de Tem ait dégagé quoi que ce soit qui puisse être qualifié de "signification nouvelle".
Peut-être tout simplement parce que je n'ai rien dit ni écrit sur le sujet.

Je n'ai fait que signaler le point de départ de ce qui pourrait être une lecture des FTM dans cette optique : dans l'usage ordinaire, quotidien du langage, dire d'une personne qu'elle est transparente est une métaphore classique.
Tellement classique que je ne me souviens pas de l'avoir lue ou entendue.
Lem a écrit :Dans les FTM, cette métaphore est réifiée – prise comme réalité concrète. La transparence ne désigne pas un manque de personnalité ou une discrétion excessive mais un pouvoir parapsychique.
Tu inverses le processus. Ce n'est pas la transparence qui est concrétisée, c'est le pouvoir psi qui est nommé.
Lem a écrit :A ce stade, les protestations étaient telles que je n'ai pas jugé utile d'aller plus loin. Mais ce serait intéressant, éventuellement. On pourrait par exemple scruter le texte en se demandant si d'autres métaphores classiques de la vie sociale sont réifiées de la même manière (de façon consciente ou non) et si elles participent à la constitution de groupes de mutants à côtés des transparents. On pourrait s'intéresser à l'usage que les Surréalistes faisaient du mot. Après tout, Breton parlait des "Grands Transparents" comme de ces êtres impalpables mais bien réels qui peuplent l'imaginaire collectif et que l'art se donne pour tâche de saisir. Dans un cycle romanesque dont l'horizon est "la psychosphère", il y aurait des parallèles à établir, surtout avec un Paris fantasmé comme décor. Pour ne rien dire de la figure tutélaire de Léo Malet qui fréquentait lui aussi les Surréalistes… Et ce n'est qu'une chaîne associative improvisée en une minute.

Signfications nouvelles ou escroquerie ? Lecture critique ou déformation ? Susceptible de parler spécifiquement au public et aux critiques français ou condamné à l'inaudible ?
Je te laisse juge.
Oh, loin de moi l'idée de juger quoi que ce soit.

Mais le Paris des Futurs Mystères est tout sauf "fantasmé".

Pour le reste, je ne vois pas bien ce que le surréalisme pourrait apporter au schmilblick.

Dans Les Derniers Jours de mai où il y a un personnage qui s'appelle Nadja. M'étonnerait que ça permette de dégager quoi que ce soit de le relier à la Nadja de Breton.

Ce que je veux dire, c'est que, là, tu mets en avant des coïncidences.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)

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arsenie
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Message par arsenie » mar. févr. 09, 2010 1:47 pm

Gérard Klein a écrit :
Personnellement, mais ça n'engage que moi, je n'aime pas trop les gros seins, ni les lézardes qui en auraient (mais je n'en ai jamais rencontrées) ni non plus les fourmis géantes qui en seraient dotées.
Je trouve que Draco est parfaite (pour le très peu que j'en ai vu), mais ça doit rester strictement entre nous.
Et dans la sf, je n'ai jamais mais jamais rencontré malgré mon immense bibliothèque et ma collection importante de magazines US, de reptiles mammifères. Cette métaphore, si c'en est une, reste à créer et illustrer.

D'un point de vue freudien (je m'abstiens de citer Lacan de crainte d'être lu par Draco), cette obsession mérite d'être analysée.
Arf, j'ai 100 pages à "remonter" dans le fil ... à rebours, pur le fun...
:idea: pas besoin de dépoussiérer Freud et Lacan ... la bonne vieille paléontologie a tout ce qu'il faut en reptiles mammaliens!
la star est Cynognathus Tan tan!

Image
mais? pas de gros seins? (c'est un mâle? )

Lem

Message par Lem » mar. févr. 09, 2010 1:48 pm

Lensman a écrit :Est-ce que tu qualifierais les "Grands Transparents" de Breton de "métaphore réifiée"?
Non. C'est d'ailleurs la différence entre surréalisme et science-fiction. Voici l'extrait des Prolégomènes à un troisième manifeste où Breton formule ce qu'il appelle "un nouveau mythe" :
L’homme n’est peut-être pas le centre, le point de mire de l’univers. On peut se laisser aller à croire qu’il existe au-dessus de lui, dans l’échelle animale, des êtres dont le comportement lui est aussi étrange que le sien peut l’être à l’éphémère, ou à la baleine. Rien ne s’oppose nécessairement à ce que ces êtres échappent de façon parfaite à son système de références sensoriel à la faveur d’un camouflage de quelque nature qu’on voudra à l’imaginer mais dont la théorie de la forme et l’étude des animaux mimétiques posent à elles seules la possibilité. (…) En considérant les perturbations de type cyclone, dont l’homme est impuissant à être autre chose que la victime ou le témoin, ou celle du type guerre, au sujet desquelles des versions notoirement insuffisantes sont avancées, il ne serait pas impossible, au cours d’un vaste ouvrage auquel ne devrait jamais cesser de présider l’induction la plus hardie, d’approcher jusqu’à les rendre vraisemblables la structure et la complexion de tels êtres hypothétiques, qui se manifestent obscurément à nous dans la peur et le sentiment du hasard. (…)
Un mythe nouveau ? Ces êtres, faut-il les convaincre qu'ils procèdent du mirage ou leur donner l'occasion de se découvrir ?
Quand on replace ce texte dans son contexte et l'ensemble des théories surréalistes, les Transparents ont une existence – pourrait-on dire – objective-subjective. Ils existent objectivement en tant qu'entités subjectives et quand l'artiste atteint l'état de grâce, il parvient à les saisir dans son œuvre. Celle-ci est donc la seule trace concrète de l'existence des Transparents – la seule manifestation susceptible de faire l'objet d'une coordination intersubjective. Ils ne sont pas réifiés, ils se tiennent dans une sorte d'état spectral, intermédiaire. C'est assez proche de Jung, tout ça.

Mais je crois que n'importe quel auteur ou lecteur de SF "sent" combien il est facile d'exploiter une telle représentation, de la faire basculer dans le genre : il suffit de la prendre au pied de la lettre, de la réifier. Etonnamment, on en trouve une sorte d'écho anticipé chez Rosny, dans ce passage d'Un autre monde qui précède pourtant le texte de Breton de plusieurs dizaines d'années :
Le monde autrement coloré, autrement transparent et opaque – la faculté de voir à travers les nuages, d’apercevoir les étoiles par les nuits les plus couvertes, de discerner à travers une cloison de bois ce qui se passe dans une chambre voisine ou à l’extérieur d’une habitation – qu’est tout cela, auprès de la perception d’un MONDE VIVANT, d’un monde d’Etres animés se mouvant à côté et autour de l’homme, sans que l’homme en ait conscience, sans qu’il en soit averti par aucune espèce de contact immédiat ? (…) Un règne se mouvant sur les eaux, dans l’atmosphère, sur le sol, tout autrement que nous, mais avec une énergie assurément formidable, et par là agissant directement sur nous et nos destinées ?
On pourrait aussi rattacher à tout cela un roman comme Guerre aux Invisibles de Russell, par exemple. Au final, en s'appuyant sur la simple distinction originelle métaphore/réification, on pourrait placer les FTM au centre d'une constellation d'influences conscientes ou inconscientes, certaines françaises, d'autres anglo-saxonnes. On parlerait de psychanalyse, et spécialement de Jung. On parlerait de métapsychique – et évidemment de métaphysique. La Grande Terreur Primitive aurait beaucoup à livrer de ce point de vue. Si je tombais sur un tel article, indépendamment de toute considération personnelle, je le trouverais intéressant et il aurait l'avantage d'extraire l'œuvre du sempiternel débat "les pouvoirs psi sont-ils rationnels ou non ?"

Lem

Message par Lem » mar. févr. 09, 2010 1:58 pm

Roland C. Wagner a écrit :Tu inverses le processus.
Ça s'appelle la critique.
Ce n'est pas la transparence qui est concrétisée, c'est le pouvoir psi qui est nommé.
On peut décrire la chose des deux manières ; le résultat est le même.
je ne vois pas bien ce que le surréalisme pourrait apporter au schmilblick.
C'est peut-être parce que tu ne vois pas que c'est intéressant ; à quoi bon dire sur l'œuvre des choses qui y sont explicites et dont tout le monde est conscient ? Quel intérêt ? Ton personnage s'appelle "Temple sacré de l'aube radieuse". Il est "transparent". Il a un borsalino vert fluo. La série est placée sous le patronnage de Léo Malet. La psychosphère domine l'horizon. Dans un autre de tes romans, il y a un personnage nommé Nadja. N'importe qui verrait l'intérêt d'aller regarder un peu du côté des Surréalistes et se demanderait s'il n'y a pas lieu de rattacher les FTM à une certaine mythologie parisienne. Quelqu'un le fera peut-être un jour.
Ce que je veux dire, c'est que, là, tu mets en avant des coïncidences.
Dans la sensibilité surréaliste, ça s'appelle "un hasard objectif".

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Lensman
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Message par Lensman » mar. févr. 09, 2010 2:16 pm

Lem a écrit :
Lensman a écrit :Est-ce que tu qualifierais les "Grands Transparents" de Breton de "métaphore réifiée"?
Non. C'est d'ailleurs la différence entre surréalisme et science-fiction. Voici l'extrait des Prolégomènes à un troisième manifeste où Breton formule ce qu'il appelle "un nouveau mythe" :
L’homme n’est peut-être pas le centre, le point de mire de l’univers. On peut se laisser aller à croire qu’il existe au-dessus de lui, dans l’échelle animale, des êtres dont le comportement lui est aussi étrange que le sien peut l’être à l’éphémère, ou à la baleine. Rien ne s’oppose nécessairement à ce que ces êtres échappent de façon parfaite à son système de références sensoriel à la faveur d’un camouflage de quelque nature qu’on voudra à l’imaginer mais dont la théorie de la forme et l’étude des animaux mimétiques posent à elles seules la possibilité. (…) En considérant les perturbations de type cyclone, dont l’homme est impuissant à être autre chose que la victime ou le témoin, ou celle du type guerre, au sujet desquelles des versions notoirement insuffisantes sont avancées, il ne serait pas impossible, au cours d’un vaste ouvrage auquel ne devrait jamais cesser de présider l’induction la plus hardie, d’approcher jusqu’à les rendre vraisemblables la structure et la complexion de tels êtres hypothétiques, qui se manifestent obscurément à nous dans la peur et le sentiment du hasard. (…)
Un mythe nouveau ? Ces êtres, faut-il les convaincre qu'ils procèdent du mirage ou leur donner l'occasion de se découvrir ?
Quand on replace ce texte dans son contexte et l'ensemble des théories surréalistes, les Transparents ont une existence – pourrait-on dire – objective-subjective. Ils existent objectivement en tant qu'entités subjectives et quand l'artiste atteint l'état de grâce, il parvient à les saisir dans son œuvre. Celle-ci est donc la seule trace concrète de l'existence des Transparents – la seule manifestation susceptible de faire l'objet d'une coordination intersubjective. Ils ne sont pas réifiés, ils se tiennent dans une sorte d'état spectral, intermédiaire. C'est assez proche de Jung, tout ça.
Si les "Grands Transparents" laissent des traces, même infimes, c'est qu'il existent. Ils sont donc réifiés (après, on peut toujours faire une erreur d'interpération et voir des traces là où il n'y en a pas, mais la n'est pas la question).
Oncle Joe

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Message par Lem » mar. févr. 09, 2010 2:20 pm

Lensman a écrit :Si les "Grands Transparents" laissent des traces, même infimes, c'est qu'il existent. Ils sont donc réifiés (après, on peut toujours faire une erreur d'interpération et voir des traces là où il n'y en a pas, mais la n'est pas la question).
Quand Michel-Ange peint une image de Dieu, Dieu est-il réifié ? Existe-t-il ?
(Je suis heureux par ailleurs de voir que tu manipules désormais tous ces concepts avec une aisance parfaite.)

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Message par Sand » mar. févr. 09, 2010 2:21 pm

Lem a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :Ce n'est pas la transparence qui est concrétisée, c'est le pouvoir psi qui est nommé.
On peut décrire la chose des deux manières ; le résultat est le même.
Comme le modèle de Ptolémée et le modèle de Copernic ?

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Message par Lensman » mar. févr. 09, 2010 2:23 pm

Lem a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :Tu inverses le processus.
Ça s'appelle la critique.
Ce n'est pas la transparence qui est concrétisée, c'est le pouvoir psi qui est nommé.
On peut décrire la chose des deux manières ; le résultat est le même.
Et si Roland avait donné un nom inventé, "sgub", par exemple, pour désigner le pouvoir en question, que devient la métaphore réifiée?
Oncle Joe

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Message par Lensman » mar. févr. 09, 2010 2:26 pm

Lem a écrit :
Lensman a écrit :Si les "Grands Transparents" laissent des traces, même infimes, c'est qu'il existent. Ils sont donc réifiés (après, on peut toujours faire une erreur d'interpération et voir des traces là où il n'y en a pas, mais la n'est pas la question).
Quand Michel-Ange peint une image de Dieu, Dieu est-il réifié ? Existe-t-il ?
(Je suis heureux par ailleurs de voir que tu manipules désormais tous ces concepts avec une aisance parfaite.)
Biens sûr, Dieux existe, pour ceux qui en reconnaissent l'existence. Je ne comprends pas bien ce que tu veux dire.
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Message par dracosolis » mar. févr. 09, 2010 2:26 pm

bormandg a écrit :
dracosolis a écrit : LES BALEINES !!

voilà mes prochaines baleines auront de TRES GROS SEINS !!
Pour exciter les pêcheurs japonais? :wink:
les marins lisent beaucoup, ça les aide à faire des phrases...
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Message par dracosolis » mar. févr. 09, 2010 2:28 pm

Sand a écrit :
Lem a écrit :
Roland C. Wagner a écrit :Ce n'est pas la transparence qui est concrétisée, c'est le pouvoir psi qui est nommé.
On peut décrire la chose des deux manières ; le résultat est le même.
Comme le modèle de Ptolémée et le modèle de Copernic ?
comme la théorie de l'évolution et le créationisme, je dirais plutôt 8)
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Message par bormandg » mar. févr. 09, 2010 2:28 pm

Lensman a écrit : Et si Roland avait donné un nom inventé, "sgub", par exemple, pour désigner le pouvoir en question, que devient la métaphore réifiée?
Oncle Joe
Avec des si... on entre dans la science-fiction, non?
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."

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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » mar. févr. 09, 2010 2:31 pm

Lem a écrit :N'importe qui verrait l'intérêt d'aller regarder un peu du côté des Surréalistes et se demanderait s'il n'y a pas lieu de rattacher les FTM à une certaine mythologie parisienne.
C'est sûr que le simple titre de la série ne suffit pas à le suggérer.

Sinon, c'est FMP, pas FTM.
Lem a écrit :
Ce que je veux dire, c'est que, là, tu mets en avant des coïncidences.
Dans la sensibilité surréaliste, ça s'appelle "un hasard objectif".
Soit exactement le genre de choses allant à l'encontre de la cosmologie locale.

Je commence à pencher pour la déformation.

EDIT : quotes.
Modifié en dernier par Roland C. Wagner le mar. févr. 09, 2010 2:32 pm, modifié 1 fois.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)

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