A leurs Claviers : HAPPINESS IN SLAVERY ...

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sandrine.f
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Message par sandrine.f » lun. nov. 20, 2006 8:03 am

je ne serais guère originale, mais +1 avec Herbefol, et encore je n'ai lu que la novella, qui est plus courte.

L'uchronie est lègère (mais je suis d'accord avec Mélanie, ce n'est pas là le thème principal du texte) mais je n'ai pas du tout été intéressée par les réminisences des personnages.

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Eric
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Message par Eric » lun. nov. 20, 2006 9:54 am

Sur Les Îles du Soleil, c'est évidemment affaire de goûts personnels et d'affinités. Personnellement c'est un des meilleurs romans que j'ai lu l'année dernière, et je l'avais d'ailleurs chroniqué dans ce sens.

Maintenant pour en revenir aux grilles de lecture du genre qui ont été proposées plus haut, il est bien évident que dans l'idéal, c'est de se retrouver avec dans les mains un hybride parfait qui sait conjuguer idées vertigineuses et écriture élégante. Bon, dans les faits nous savons tous que ce petit graal ne se présente pas tous les jours, et qu'en plus, sa définition varie beaucoup d'une personne à l'autre.

Cela dit, je n'aime pas trop cette idée de partager un livre en deux. Idées et style. Pour moi, l'un est l'autre sont indissociables. Pour moi c'est précisément la rencontre des deux qui fait tout l'intérêt du genre. Une grande idée servie par un style inadéquat, donnera un bouquin, au mieux passable, et un style travaillé sans idée derrière pour le sous-tendre nous amène au limite du genre, et souvent donne quelque chose de très chiant.

C'est pourquoi cette grille de lecture schizophrène me dérange un peu.


Serge Lehman en propose une qui me semble beaucoup plus intéressante. C'est ce qu'il appelle "la théorie de la réification". Pour lui, le dénominateur commun de tous ces auteurs qui peuvent trouver grâce à nos yeux, qu'ils soient en blanche ou en littérature de genre, c'est la propension qu'ils ont à mettre en scène – au sens littéral – les métaphores qu'ils utilisent.

Un exemple (qui n'est pas le sien, je le précise), c'est celui de Kafka qui matérialise le changement qui s'opère dans son protagoniste dans La Métamorphose, en le transformant réellement en cafard. A un autre degré, l'infosphère telle que décrite par Gibson dans Neuromancien, est la matérialisation d'une métaphore du changement de paradigmes à laquelle un auteur de blanche n'aurait pas nécessairement donné corps de cette manière. Il serait plus probablement resté dans l'allusif.

C'est une théorie qu'on pourra tout aussi bien qualifier de brillante ou de fumeuse, selon ses goûts, mais elle a, il me semble, le mérite de concilier les spécificités du genre.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.

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Nick_Holmes
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Message par Nick_Holmes » lun. nov. 20, 2006 1:28 pm

Roland C. Wagner a écrit : ...
Je ne parle pas de goûts persos. Lorsque je dis que « je choisis », c'est en fonction de critères précis, quasiment objectifs : cohérence du monde décrit, qualité des hypothèses et extrapolations, originalité de l'ensemble, etc. Ces critères viennent s'ajouter à ceux employés pour juger un roman non-SF — style, personnages, etc. La SF est donc une littérature plus exigeante que la littérature blanche, à cause de ces critères supplémentaires

Privilégier la forme par rapport au fond, c'est nier l'existence de ces critères et aller à l'encontre de la nature même de la science-fiction. On peut le faire à titre personnel — chacun a le droit d'avoir ses goûts, quels qu'ils soient — mais pas dans le cadre d'un discours ou d'une discussion théorique.
+1.
Je suis un lecteur qui privilégiait plutôt le récit au détriment du style. Sauf si le style est maladroit, illisible, ennuyeux au possible, je vais toujours être plus accroché par l'histoire. Sauf que les années passent et je suis de plus en plus exigeant avec le style, les tournures employées dans les dialogues (et je ne parle pas des erreurs de traduction, des fautes d'orthographe ou des coquilles d'impression). Bref, mon idéal littéraire est en train d'évoluer vers un juste milieu entre fond et forme.

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marc
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Message par marc » lun. nov. 20, 2006 2:08 pm

Nick_Holmes a écrit :+1.
Je suis un lecteur qui privilégiait plutôt le récit au détriment du style. Sauf si le style est maladroit, illisible, ennuyeux au possible, je vais toujours être plus accroché par l'histoire. Sauf que les années passent et je suis de plus en plus exigeant avec le style, les tournures employées dans les dialogues (et je ne parle pas des erreurs de traduction, des fautes d'orthographe ou des coquilles d'impression). Bref, mon idéal littéraire est en train d'évoluer vers un juste milieu entre fond et forme.
Je suis aussi favorable à un juste équilibre entre forme et fond. C'est probablement dû au temps. Après plusieurs décennies de lecture SF, on reconnait plus facilement une histoire trop simple ou un style trop nébuleux. Ce qui fait que dans la foulée je vire aussi bien du Aubenque que du Chiang pour prendre des extrêmes. Mais en temps que lecteur de SF, je ne peux pas lire que la crème des crèmes. Parfois pour me détendre, je n'hésite pas à lire de la SF plus populaire. Ce qui fait que je peux très bien passer d'un Eschbach à un Perry Rhodan ou un Jimmy Guieu. Donc le juste milieu, il est très subjectif pour chacun de nous. Certains privilégieront le fond, d'autre la forme. Le tout est de trouver le bon équilibre entre les deux.

Reste que je ne suis pas tout à fait d'accord sur un point qui a été soulevé plus haut dans ce topic. Le fait d'aimer la SF ne veut pas dire nécessairement toute la SF. La SF englobe assez de sous-genres (et je ne parle pas de fantasy et de fantastique qui ont leur propres vies) que pour proposer un vaste éventail de livres et d'auteurs. Et en temps que lecteur on peut très bien en lire toute sa vie tout en ignorant des auteurs peut-être plus célèbres pour d'autres.
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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » lun. nov. 20, 2006 2:09 pm

Eric a écrit :C'est pourquoi cette grille de lecture schizophrène me dérange un peu.
Tu n'as pas saisi : ce n'est pas une « grille de lecture schizophrène ». Le fond et la forme vont évidemment de pair, et il y a… disons un service minimum à remplir au niveau du style. Mais, du moment qu'un livre de SF est écrit correctement, ce sont les idées et la dimension du vertige suscité qui font la différence, pas le style.

Regarde l'histoire du genre : les œuvres marquantes le sont pour la plupart en raison de leur fond et non de leur forme.

De toute manière, personne n'est capable de définir ce que signifie « bien écrit ». Certains sont persuadés qu'il faut que l'auteur en fasse des tonnes, d'autres au contraire privilégient la « ligne claire ».

Ce qui me semble certain, c'est que, dans un roman de SF, le style ne doit pas être un obstacle à la compréhension des idées.

Quant à la théorie de Lem, elle est, comme souvent chez lui, le reflet de son évolution personnelle. Il rejoint d'ailleurs plus ou moins Pierre Stolze avec cette histoire de métaphores. La piste est intéressante, mais il ne faut pas perdre de vue que ce n'est pas la seule.
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Davidian
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Message par Davidian » lun. nov. 20, 2006 2:16 pm

Roland C. Wagner a écrit :
Mélanie a écrit :Ce qui me fait penser que quand j'essaie d'amener des gens à lire de la SF ou du fantastique, je tente en général de les convaincre qu'ils y trouveront aussi ces qualités propres à toute littérature dont on parlait, simplement, qu'ils les y trouveront différemment.
Bien sûr. Mais la SF a, en plus, des qualités tout à fait spécifiques. Juger un texte de SF sans tenir compte de celles-ci, en ne considérant que l'aspect… disons littéraire, est absurde. (Et pareil pour le fantastique, mais à un degré moindre.) Entre un roman de SF aux idées vertigineuses écrit correctement mais sans plus et un roman de SF aux idées plates/convenues/bateau/etc. merveilleusement écrit, je choisis sans hésiter le premier. La SF est un genre où l'idée prime sur le style — ce qui ne veut pas dire que celui-ci n'a pas d'importance, comprends-moi bien, mais il s'agit tout de même d'un critère tout à fait secondaire par rapport à la nature de l'imaginaire SF.
+1.

D'ailleurs, c'est aussi une façon d'aborder d'autres domaines, tels que la musique (par exemple).

Au fait, vous avez remarqué, en ces années placées sous la coupe de M6/Universal/StarAc', l'absence criante de relève aux supergroupes des années 80, comme Queen ou The Police?

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Eric
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Message par Eric » lun. nov. 20, 2006 2:48 pm

Roland C. Wagner a écrit :
Quant à la théorie de Lem, elle est, comme souvent chez lui, le reflet de son évolution personnelle. Il rejoint d'ailleurs plus ou moins Pierre Stolze avec cette histoire de métaphores. La piste est intéressante, mais il ne faut pas perdre de vue que ce n'est pas la seule.
Nous sommes d'accord, et je crois que c'est un peu le cas de toutes les théories.

Cela dit, c'est marrant comme les vieux débats ont la vie dure.

D'ailleurs, la question est tronquée, parce que ces dernières années, les idées vertigineuses, sont, globalement, plutôt le fait de stylistes compétents.

Mais perso, je pense que si je suis de plus en plus attaché à la pertinence de la forme, c'est peut-être aussi que les idées finissent par ne plus ête aussi neuves avec le temps, et que leur mise en forme revêt de plus en plus d'importance.
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Message par Roland C. Wagner » lun. nov. 20, 2006 3:14 pm

Eric a écrit :D'ailleurs, la question est tronquée, parce que ces dernières années, les idées vertigineuses, sont, globalement, plutôt le fait de stylistes compétents.
Sans doute parce que, globalement, les auteurs de SF d'aujourd'hui sont plus compétents sur le plan de l'écriture que ceux d'il y a un demi-siècle.

Bon, sauf Catherine Asaro, c'est sûr.
Eric a écrit :Mais perso, je pense que si je suis de plus en plus attaché à la pertinence de la forme, c'est peut-être aussi que les idées finissent par ne plus ête aussi neuves avec le temps, et que leur mise en forme revêt de plus en plus d'importance.
Nous en reparlerons quand tu auras lu Time de Stephen Baxter.
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Eric
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Message par Eric » lun. nov. 20, 2006 3:39 pm

Houla... Beaucoup de mal avec Baxter.

Titan était resté pour moi une expérience douloureuse.
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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » lun. nov. 20, 2006 4:28 pm

Eric a écrit :Houla... Beaucoup de mal avec Baxter.

Titan était resté pour moi une expérience douloureuse.
Ouaip, mais Titan c'est tout petit.

Et puis, il n'y a pas de calmars. :wink:
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gutboy
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Message par gutboy » lun. nov. 20, 2006 4:38 pm

Eric a écrit :Houla... Beaucoup de mal avec Baxter.
Eric, il a raison RCW: lis Time. Ze claque. Et Space. Re- Ze claque.
Roland C. Wagner a écrit :Mais, du moment qu'un livre de SF est écrit correctement, ce sont les idées et la dimension du vertige suscité qui font la différence, pas le style.
C'est tout à fait juste. Je suis dans une phase de relecture de PKD. Mes exigences en matière de qualité du texte sont apparemment plus élevées qu'il y a 20, je trouve PKD finalement un peu sec. Dans son style. Mais Ubik est géantissime. Dans ses idées. Et à choisir, je préfère des idées géantes. Il n'y a qu'en SF - pour moi en tous cas - que je chope la chair de poule en lisant.
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Roland C. Wagner
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Message par Roland C. Wagner » lun. nov. 20, 2006 4:46 pm

gutboy a écrit :
Eric a écrit :Houla... Beaucoup de mal avec Baxter.
Eric, il a raison RCW: lis Time. Ze claque. Et Space. Re- Ze claque.
D'ailleurs, je n'ai pas pu m'empêcher d'en parler sur mon blogue.
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Fred Combo
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Message par Fred Combo » lun. nov. 20, 2006 5:06 pm

je trouve PKD finalement un peu sec. Dans son style.
Je dirais plutôt "concis", quant à moi, ce qui n'est pas forcément un défaut et donne aux oeuvres de Dick une certaine clarté.

J'en profite pour donner mettre mon grain de sel tardif dans la discussion.
Tant qu'à la laisser dériver, dérivons, c'est toujours mieux que de se laisser entraîner dans un règlement de comptes entre un éditeur et son ex-lectorat-potentiel...

A mon avis, un texte bien écrit est tout simplement un texte correct au niveau de la grammaire et de la syntaxe, etc... Sorti de là, et en vertu du fait évident que tous les auteurs sont des individus non-reproductibles, chacun possède forcément un style différent de celui des autres, ne serait-ce que dans l'organisation des idées, le choix des personnages, des décors, des situations, etc... A mon avis, le style ne se limite pas à une langue plus ou moins fleurie.

Il y a des styles que l'on reconnait tout de suite (Cordwainer Smith, pour citer une de mes dernières relectures; ou Lovecraft, Jean Ray, etc...)

Alexis Aubenque a aussi du style, à sa manière.

Pour certains (c'est flagrant chez Lovecraft), le vocabulaire "outré" fait partie de sa signature. Pour d'autres, c'est le mode narratif (plus proche du conte chez Smith), ou l'ambiance particulière (S'il est question d'une taverne dans laquelle on boit de la bière au genièvre, c'est certainement du Jean Ray !), quant on parle de fellatrices-à-branchies, c'est sûrement du Aubenque...

La preuve de ce que j'avance, à mon avis, c'est qu'il est possible de pasticher à peu près n'importe qui, bien que cela demande du talent pour bien le faire.
Si tu ne fais pas une histoire de ta vie, un jour tu seras dans l'histoire de quelqu'un d'autre.
Sir Terry Pratchett

Herbefol
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Message par Herbefol » lun. nov. 20, 2006 8:49 pm

Eric a écrit :Serge Lehman en propose une qui me semble beaucoup plus intéressante. C'est ce qu'il appelle "la théorie de la réification". Pour lui, le dénominateur commun de tous ces auteurs qui peuvent trouver grâce à nos yeux, qu'ils soient en blanche ou en littérature de genre, c'est la propension qu'ils ont à mettre en scène – au sens littéral – les métaphores qu'ils utilisent.
:shock:

Bon, ben moi je n'ai rien compris. Faut dire que si l'explication ne contient pas au moins une ou deux équations c'est tout de suite plus difficile pour moi :P

Perso j'apprécie et les livres qui n'ont pas forcément des idées délirantes mais qui sont écrits dans un style agréable à lire et les livres qui ont des idées géniales mais ne sont pas superbement écrit (de mon point de vue).
Néanmoins il faut quand même bien avouer que plus le temps passe et moins ça passe avec les livres indigestes.
Et puis si les idées fabuleuses sont expliquées avec un style que j'ai du mal à comprendre (avec des mots compliqués, tout ça, tout ça) ben régulièrement je ne capte rien et donc le génie de l'idée ne m'atteint pas. :?


Pour Baxter je ne me suis pas encore attaqué à la trilogie Manifold, mais j'ai déjà fait Raft et Timelike infinity (pour les lectures vo, en vf j'ai presque tout lu) et déjà là j'ai trouvé un certain nombre de trucs très sympathiques.

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Davidian
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Message par Davidian » lun. nov. 20, 2006 8:59 pm

Eric a écrit :Houla... Beaucoup de mal avec Baxter.
C'est vrai que c'est une lecture exigeante (comme un cours de physique). Mais j'avoue que ses idées sont parfois très bien vues, et j'aime le fait qu'il les exploite (et assume) jusqu'au bout.

Bon, maintenant, de l'eau a coulé sous les ponts depuis que j'ai lu un Baxter. Maintenant, mon cerveau fatigué se contente de ça.

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