Dans Les miroirs de l'esprit, un type essaie de sortir sa compagne d'une sorte de secte. On parlera difficilement de misogynie, tout au moins, je n'ai rien ressentis de ce genre. Je pense plutôt que Spinrad aime camper des personnages à forte personnalité et qui, même s'ils peuvent être sympas par moment, ne sont pas des anges. A part ça, Spinrad connaît sans doute assez bien le monde "junkie", en tout cas, ça sonne "juste" pour moi... qui ignore complètement ce monde...Cachou a écrit :Tu as piqué ma curiosité à vif, "Jack Barron" sera le prochain livre du monsieur que je lirai.Tétard a écrit : L'un des personnages principaux est une hippie sur le retour et toxico, qui subit le mépris appuyé de son amant, Jack Barron. Les pensées et sentiments méprisants de ce dernier sont suffisamment récurrents pour que l'on se demande s'ils campent seulement le personnage ou reflètent également les préjugés de l'auteur (n'ayant rien lu d'autre de l'auteur, je m'interroge toujours).
Il y a aussi un personnage de femme (prostituée même) junkie dans ce livre tiens (le seul qui me courre sur le haricot pour l'instant, j'espère que son rôle sera assez incroyable pour justifier de devoir lire ses péripéties parce que là, pour l'instant...).
Oncle Joe