D'accord avec toi, c'était pas mal du tout. Et d'accord aussi pour le scepticisme, justement à cause de ces expériences déjà citées.Lensman a écrit :Dommage, c'était pas mal du tout, selon mon goût.bormandg a écrit : Il y a déjà eu au moins un échec, JM Truong. .
Mais j'avoue être du plus grand scepticisme quant à cette théorie du "passage".
On verra, en effet (en étant optimiste, bien sûr...)
Oncle Joe
Terre sans mal de Martin Lessard
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- bormandg
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Votre conversation m'inspire une réflexion.
La forme de SF que vous évoquez -- à la fois accessible au grand public et manifestant de l'optimisme vis-à-vis de l'avenir -- n'est pas viable.
Le gros du lectorat, à l'image de la majorité des Français, n'est PAS optimiste (cf le sondage dont on a beaucoup parlé il y a peu) et se tourne de préférence vers les romans historiques, les romans de terroir -- bref, l'évocation du passé -- ou, quand il s'intéresse à "l'imaginaire", vers les fabulations pure (fantasy, SF dégagée de toute relation au réel).
Seule porte de sortie à mon avis : le steampunk -- faire un détour par le passé pour travailler sur un avenir optimiste (ce que le steampunk permet, mais ne nécessite pas ; ici aussi, il faut du volontarisme).
Bien entendu, ceci est une forte impression personnelle qui ne repose pas sur des données précises et quantifiées.
Mais quand même.
[Mode Sociologie de comptoir OFF]
JDB]
Votre conversation m'inspire une réflexion.
La forme de SF que vous évoquez -- à la fois accessible au grand public et manifestant de l'optimisme vis-à-vis de l'avenir -- n'est pas viable.
Le gros du lectorat, à l'image de la majorité des Français, n'est PAS optimiste (cf le sondage dont on a beaucoup parlé il y a peu) et se tourne de préférence vers les romans historiques, les romans de terroir -- bref, l'évocation du passé -- ou, quand il s'intéresse à "l'imaginaire", vers les fabulations pure (fantasy, SF dégagée de toute relation au réel).
Seule porte de sortie à mon avis : le steampunk -- faire un détour par le passé pour travailler sur un avenir optimiste (ce que le steampunk permet, mais ne nécessite pas ; ici aussi, il faut du volontarisme).
Bien entendu, ceci est une forte impression personnelle qui ne repose pas sur des données précises et quantifiées.
Mais quand même.
[Mode Sociologie de comptoir OFF]
JDB]
“Miss Judith Lee, vous êtes l’une des choses les plus étranges de ce monde très étrange.”
Ça je n'en suis pas du tout sûre. Quel est ce sondage et que dit-il exactement? Parce que, par exemple, monsieur Harlequin et ses histoires à l'eau de rose qui se terminent bien se vendent toujours autant (je viens d'apprendre que c'était ce qui permettait à ma bouquinerie de vivre, du coup je remercie monsieur Harlequin!). Je pense que la mode est au pessimisme dans les milieux "intellectualisants", et que le grand lectorat suit parfois cette mode pour avoir l'impression d'être "in" (voir Beigbeder, Houellebecq, Angot et cie). Ça fait toujours mieux de dire que l'on pense que le monde est foutu. Mais en attendant, "Amélie Poulain" fait plus d'entrées que n'importe que "99 francs".JDB a écrit :Le gros du lectorat, à l'image de la majorité des Français, n'est PAS optimiste (cf le sondage dont on a beaucoup parlé il y a peu) et se tourne de préférence vers les romans historiques, les romans de terroir -- bref, l'évocation du passé -- ou, quand il s'intéresse à "l'imaginaire", vers les fabulations pure (fantasy, SF dégagée de toute relation au réel).
La journée est passée et tu es la seule à m'avoir répondu... en apportant de l'eau à mon moulin.Cachou a écrit :Ça je n'en suis pas du tout sûre. Quel est ce sondage et que dit-il exactement? Parce que, par exemple, monsieur Harlequin et ses histoires à l'eau de rose qui se terminent bien se vendent toujours autant (je viens d'apprendre que c'était ce qui permettait à ma bouquinerie de vivre, du coup je remercie monsieur Harlequin!). Je pense que la mode est au pessimisme dans les milieux "intellectualisants", et que le grand lectorat suit parfois cette mode pour avoir l'impression d'être "in" (voir Beigbeder, Houellebecq, Angot et cie). Ça fait toujours mieux de dire que l'on pense que le monde est foutu. Mais en attendant, "Amélie Poulain" fait plus d'entrées que n'importe que "99 francs".JDB a écrit :Le gros du lectorat, à l'image de la majorité des Français, n'est PAS optimiste (cf le sondage dont on a beaucoup parlé il y a peu) et se tourne de préférence vers les romans historiques, les romans de terroir -- bref, l'évocation du passé -- ou, quand il s'intéresse à "l'imaginaire", vers les fabulations pure (fantasy, SF dégagée de toute relation au réel).
Pour moi, la collection Harlequin relève de la fabulation -- et puis, je te le rappelle, je ne parlais que de "littérature de l'imaginaire". Si tu estimes que cela relève du réalisme, voire a minima de la littérature mimétique, je te laisse la responsabilité de ton interprétation.
Quant à Amélie Poulain, abstraction faite des qualtés formelles de ce film -- et, je le rappelle, je ne parlais que de littérature, ou plus basiquement d'édition, pas de cinéma --, il me semble que ce film fait appel à toute une imagerie nostalgique sur le Paris popu d'avant la Seconde Guerre mondiale (à tout le moins).
Donc, j'attends des arguments plus étayés.
Na.
JDB
“Miss Judith Lee, vous êtes l’une des choses les plus étranges de ce monde très étrange.”
Si on s'en tient à la littérature, et que les Harlequins sont disqualifiés, que dis-tu de la chick litt, qui tend à représenter la vie de tous les jours de trentenaires et se termine rarement mal? Des romans comme "Mange prie aime", "Bridget Jones", "Confessions d'une accro du shopping", toussa, qui s'ils ne sont pas réalistes-réalistes au pied de la lettre (mais quels romans le sont?), tablent sur le fait que "tout va s'arranger". Si tu vas dans une grande surface, là où l'on met les best-sellers, tu en trouveras tout plein.JDB a écrit :La journée est passée et tu es la seule à m'avoir répondu... en apportant de l'eau à mon moulin.Cachou a écrit :Ça je n'en suis pas du tout sûre. Quel est ce sondage et que dit-il exactement? Parce que, par exemple, monsieur Harlequin et ses histoires à l'eau de rose qui se terminent bien se vendent toujours autant (je viens d'apprendre que c'était ce qui permettait à ma bouquinerie de vivre, du coup je remercie monsieur Harlequin!). Je pense que la mode est au pessimisme dans les milieux "intellectualisants", et que le grand lectorat suit parfois cette mode pour avoir l'impression d'être "in" (voir Beigbeder, Houellebecq, Angot et cie). Ça fait toujours mieux de dire que l'on pense que le monde est foutu. Mais en attendant, "Amélie Poulain" fait plus d'entrées que n'importe que "99 francs".JDB a écrit :Le gros du lectorat, à l'image de la majorité des Français, n'est PAS optimiste (cf le sondage dont on a beaucoup parlé il y a peu) et se tourne de préférence vers les romans historiques, les romans de terroir -- bref, l'évocation du passé -- ou, quand il s'intéresse à "l'imaginaire", vers les fabulations pure (fantasy, SF dégagée de toute relation au réel).
Pour moi, la collection Harlequin relève de la fabulation -- et puis, je te le rappelle, je ne parlais que de "littérature de l'imaginaire". Si tu estimes que cela relève du réalisme, voire a minima de la littérature mimétique, je te laisse la responsabilité de ton interprétation.
Quant à Amélie Poulain, abstraction faite des qualtés formelles de ce film -- et, je le rappelle, je ne parlais que de littérature, ou plus basiquement d'édition, pas de cinéma --, il me semble que ce film fait appel à toute une imagerie nostalgique sur le Paris popu d'avant la Seconde Guerre mondiale (à tout le moins).
Donc, j'attends des arguments plus étayés.
Na.
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Ou les romans à la Eric-Emmanuel Schmitt. Je n'en ai lu qu'un, mais pour ce que j'en sais, la plupart ont une fin heureuse. Sans oublier les Bernard Werber (ben si, quand même ^_^). Ou encore du "Da Vinci Code" qui se termine sur une note plutôt positive (je recherche des trucs qui ont eu du succès, hein ^_^).
Bon, j'en ai déjà pas mal là, je dois encore continuer? ;-p
Le problème, c'est que la littérature de l'imaginaire "pessimiste" ne se vend pas... non plus. La seule donnée un peu concrète, c'est que ni la littérature ouvertement pessimiste, ni la littérature ouvertement optimiste ne se vendent.JDB a écrit : Pour moi, la collection Harlequin relève de la fabulation -- et puis, je te le rappelle, je ne parlais que de "littérature de l'imaginaire". Si tu estimes que cela relève du réalisme, voire a minima de la littérature mimétique, je te laisse la responsabilité de ton interprétation.
Quant à Amélie Poulain, abstraction faite des qualtés formelles de ce film -- et, je le rappelle, je ne parlais que de littérature, ou plus basiquement d'édition, pas de cinéma --, il me semble que ce film fait appel à toute une imagerie nostalgique sur le Paris popu d'avant la Seconde Guerre mondiale (à tout le moins).
Donc, j'attends des arguments plus étayés.
Na.
JDB
L'auteur qui vend le plus un bouquin d'imaginaire, c'est Marc Lévy avec son dernier opus. Est-ce parce qu'il a un propos optimise ou pessimiste ? Aucune idée.
Pour en revenir à "Terre sans mal" qui ne serait pas destiné aux amateurs de SF mais au grand public.
Je reviens de chez Gibert à Paris. On trouve le roman dans le rayon... Science-fiction/fantasy. Bref, il faut déjà être amateur de SF pour savoir que ce roman est sorti. (je verrai plus tard pour la Fnac).
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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Juste comme ça en passant : judicieusement placé (i.e. à côté du dernier bouquin de Qui Vous Savez), Terre sans mal se vend comme des petits pains.thomasday a écrit :Les choix graphiques de la couverture... c'est pas l'éditeur qui s'est planté, c'est l'éditeur qui vise (et espère) toucher le public concerné.
*cough* Houellebecq *cough*Erion a écrit : Le problème, c'est que la littérature de l'imaginaire "pessimiste" ne se vend pas... non plus. La seule donnée un peu concrète, c'est que ni la littérature ouvertement pessimiste, ni la littérature ouvertement optimiste ne se vendent.
(aussi Beigbeder, Angot, Rey, ou autres, dans une moindre mesure)
Le pessimisme (et surtout l'auto-apitoiement) est à la mode dans les milieux intellectuels pour l'instant on dirait, et le public embraye pour "suivre"... (avis tout à fait personnel qui n'engage donc que moi)(sauf pour Houellebecq, parce que bon, il se vend le monsieur, best-sellers, toussa)
En fait, ce qui se vend, c'est surtout quand quelqu'un se met à cracher du venin sur quelque chose, que ce soit sur des personnalités ou sur le monde qu'il est pourri et tout moche et qu'on est tous foutus. Ce n'est pas tant le pessimisme qui plaît mais la haine qui se déverse parfois à travers lui.
Modifié en dernier par Cachou le lun. janv. 17, 2011 6:31 pm, modifié 1 fois.
- JCdeNantes
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On peut être amateur de SF "grand public" vs amateur SF plus "hard"... et même que l'un n'empêche pas l'autre (dans mon cas). Il faut juste savoir à quoi s'attendre, ce qu'on veut lire et, bien sûr, acheter.Erion a écrit :Le problème, c'est que la littérature de l'imaginaire "pessimiste" ne se vend pas... non plus. La seule donnée un peu concrète, c'est que ni la littérature ouvertement pessimiste, ni la littérature ouvertement optimiste ne se vendent.JDB a écrit : Pour moi, la collection Harlequin relève de la fabulation -- et puis, je te le rappelle, je ne parlais que de "littérature de l'imaginaire". Si tu estimes que cela relève du réalisme, voire a minima de la littérature mimétique, je te laisse la responsabilité de ton interprétation.
Quant à Amélie Poulain, abstraction faite des qualtés formelles de ce film -- et, je le rappelle, je ne parlais que de littérature, ou plus basiquement d'édition, pas de cinéma --, il me semble que ce film fait appel à toute une imagerie nostalgique sur le Paris popu d'avant la Seconde Guerre mondiale (à tout le moins).
Donc, j'attends des arguments plus étayés.
Na.
JDB
L'auteur qui vend le plus un bouquin d'imaginaire, c'est Marc Lévy avec son dernier opus. Est-ce parce qu'il a un propos optimise ou pessimiste ? Aucune idée.
Pour en revenir à "Terre sans mal" qui ne serait pas destiné aux amateurs de SF mais au grand public.
Je reviens de chez Gibert à Paris. On trouve le roman dans le rayon... Science-fiction/fantasy. Bref, il faut déjà être amateur de SF pour savoir que ce roman est sorti. (je verrai plus tard pour la Fnac).
Pour moi, c'est de la fabulation -- ou, si tu préfères, de la bluette.Cachou a écrit :[Si on s'en tient à la littérature, et que les Harlequins sont disqualifiés, que dis-tu de la chick litt, qui tend à représenter la vie de tous les jours de trentenaires et se termine rarement mal? Des romans comme "Mange prie aime", "Bridget Jones", "Confessions d'une accro du shopping", toussa, qui s'ils ne sont pas réalistes-réalistes au pied de la lettre (mais quels romans le sont?), tablent sur le fait que "tout va s'arranger". Si tu vas dans une grande surface, là où l'on met les best-sellers, tu en trouveras tout plein.
Ou les romans à la Eric-Emmanuel Schmitt. Je n'en ai lu qu'un, mais pour ce que j'en sais, la plupart ont une fin heureuse. Sans oublier les Bernard Werber (ben si, quand même ^_^). Ou encore du "Da Vinci Code" qui se termine sur une note plutôt positive (je recherche des trucs qui ont eu du succès, hein ^_^).
Bon, j'en ai déjà pas mal là, je dois encore continuer? ;-p
Je reste sur ma position.
JDB
“Miss Judith Lee, vous êtes l’une des choses les plus étranges de ce monde très étrange.”
Ce ne sont pas des littératures de l'imaginaire (du fantasme, peut-être, mais pas de l'imaginaire).Cachou a écrit :*cough* Houellebecq *cough*Erion a écrit : Le problème, c'est que la littérature de l'imaginaire "pessimiste" ne se vend pas... non plus. La seule donnée un peu concrète, c'est que ni la littérature ouvertement pessimiste, ni la littérature ouvertement optimiste ne se vendent.
(aussi Beigbeder, Angot, Rey, ou autres, dans une moindre mesure)
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En d'autres termes, tu touches les moutons lorsque tu sèmes ton herbe dans les pâtures auxquelles ils sont habitués.nolive a écrit :Juste comme ça en passant : judicieusement placé (i.e. à côté du dernier bouquin de Qui Vous Savez), Terre sans mal se vend comme des petits pains.thomasday a écrit :Les choix graphiques de la couverture... c'est pas l'éditeur qui s'est planté, c'est l'éditeur qui vise (et espère) toucher le public concerné.
La vie est bêle.
JDB
PS : pardon aux familles toussa, mais je suis d'humeur cynique ce soir.
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- Enregistré le : sam. oct. 03, 2009 8:30 pm
En l'occurrence, c'est l'éditeur qui a choisi puisque j'ai demandé à ce qu'il soit placé en rayon SF. Le fait que ce soit en Grand Public n'a rien à voir avec le rayon, c'est une histoire de réseau (de commercialisation).malkus a écrit :Exactement ce que j'allais signaler de mon côte : croisé au rayon SF à la FNAC.
"Denoël" ou "Lunes d'Encre", ils ont choisi.
On ne met pas les Lunes d'encre dans le réseau Relay/ petits points de vente (il y aurait 90% de taux de retours), alors qu'on y a mis Terre sans mal. Les hypermarchés en ont pris aussi.
En terme de chiffres, la mise en place de Terre sans mal ressemble à une mise en place Lunes d'encre... sauf que la répartition est différente, il y en a moins en niveau 1 de librairie (FNAC et gros points de vente), plus dans les petits points de ventes et maisons de la presse (et en hypermarchés).
GD
Ben, tout autant que la SF "optimiste". Je vois pas la différence, fondamentalement. Asimov, c'est aussi de la bluette ou de la fabulation, à ce compte. J'ai du mal à voir la distinction que tu opères.JDB a écrit :Pour moi, c'est de la fabulation -- ou, si tu préfères, de la bluette.Cachou a écrit :[Si on s'en tient à la littérature, et que les Harlequins sont disqualifiés, que dis-tu de la chick litt, qui tend à représenter la vie de tous les jours de trentenaires et se termine rarement mal? Des romans comme "Mange prie aime", "Bridget Jones", "Confessions d'une accro du shopping", toussa, qui s'ils ne sont pas réalistes-réalistes au pied de la lettre (mais quels romans le sont?), tablent sur le fait que "tout va s'arranger". Si tu vas dans une grande surface, là où l'on met les best-sellers, tu en trouveras tout plein.
Ou les romans à la Eric-Emmanuel Schmitt. Je n'en ai lu qu'un, mais pour ce que j'en sais, la plupart ont une fin heureuse. Sans oublier les Bernard Werber (ben si, quand même ^_^). Ou encore du "Da Vinci Code" qui se termine sur une note plutôt positive (je recherche des trucs qui ont eu du succès, hein ^_^).
Bon, j'en ai déjà pas mal là, je dois encore continuer? ;-p
Je reste sur ma position.
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