Il y a là une différence d'importance, en effet.MF a écrit :Nous avons dépassé la page 10, nous sommes donc maintenant arrivés à un stade où les gros mots sont admis. Je ne vais donc pas me priver.
La différence, réelle et subjective, entre une critique (1) et une chronique (2) tient en peu de mot. En réalité, en un seul caractère.
Ou, plus exactement un unique signe typographique. Celui qui rassemble, à lui seul, toute la grossièreté et la vulgarité que, fi ! nous rejetons : €
Reprenons le cas déjà cité dans ces pages de ce monstre à deux têtes, de ce Janus pervers, j'ai nommé Nébal / BB.
Il s'avère que lorsque je lis une critique écrite par BB dans Bifrost, j'ai un niveau d'exigence fortement corrélé à mon porte-monnaie. Tout simplement parce que j'ai payé pour lire cette critique. Je peux ne pas être d'accord avec lui. Je peux ne pas partager ses goûts. Mais j'attends (3) une critique.
Et, curieusement, lorsqu'il arrive que j'aille jeter un œil distrait sur le blog de Nébal Roudoudou, je n'ai pas ce niveau d'exigence. Je lis une chronique et je n'en attends rien.
Étonnant, non !
(1) publiée
(2) pas mieux que (1) ; c'était pas la peine de faire deux NdBP rien que pour ça
(3) et je peux dire, sans flatter BB qui ne le mérite pas, que j'ai
Cependant, l'acheteur de Bifrost achète l'ensemble de la revue, nouvelles, articles, critiques et chroniques. C'est l'ensemble qui doit être jugé ("ça vaut le coup, ou non, que je continue à acheter"), par tellement tel ou tel truc en particulier. L'équilibre doit assuré par le rédacteur en chef.
Oncle Joe