Sans âme de Gail Carriger
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Sans âme de Gail Carriger
Suite à un conseil de Xavier Mauméjean sur le forum , je me suis procuré ce premier vol. d'une série qui paraît chez Orbit .
Je ne le regrette pas , peu friand d'histoires de vampires et de loups-garous d'ordinaire , je me suis régalé . Le concept st le suivant , au XVIIème , Elisabeth I a reconnu l'existence des êtres surnaturels (vampires , Loups-garous et fantômes , encore que ces derniers napparaissent pas -ha !ha ! ha !- dans le roman) , et depuis , ils sont intègrés à la société et ont même souvent pignon sur rue . L'héroïne , une vieille-fille de 25 ans (sic !) , fille d'une Anglaise de la gentry et d'un Italien , souffre de 4 défauts : un nez trop grand , un teint trop mat , un déplorable goût pour les sciences et une absence d'âme qui lui permet de neutraliser les créatures surnaturelles au moindre contact , encore que ce dernier point soit fort peu connu , ce qui la met au ban des jeunes-filles bonnes à marier... pourtant , le chef de meute des loups-garous et bien d'autres personnages variés s'intéressent de très près à elle...
C'est vif , un vrai page turner , très drôle et même paillard , et puis ça donne un nouveau genre : le Steam-Bit.
Enfin , pour lancer un gros troll aussi poilu , c'est fort élégamment écrit . J'ai vu un peu partout des références à Jane Austen , je les trouve erronnées , ça m'a beaucoup plus fait penser à Jerome K. Jerome , et surtout à Wilkie Collins , en particulier dans Mari et femme , pour la façon hilarante de démolir la bonne société victorienne
Je ne le regrette pas , peu friand d'histoires de vampires et de loups-garous d'ordinaire , je me suis régalé . Le concept st le suivant , au XVIIème , Elisabeth I a reconnu l'existence des êtres surnaturels (vampires , Loups-garous et fantômes , encore que ces derniers napparaissent pas -ha !ha ! ha !- dans le roman) , et depuis , ils sont intègrés à la société et ont même souvent pignon sur rue . L'héroïne , une vieille-fille de 25 ans (sic !) , fille d'une Anglaise de la gentry et d'un Italien , souffre de 4 défauts : un nez trop grand , un teint trop mat , un déplorable goût pour les sciences et une absence d'âme qui lui permet de neutraliser les créatures surnaturelles au moindre contact , encore que ce dernier point soit fort peu connu , ce qui la met au ban des jeunes-filles bonnes à marier... pourtant , le chef de meute des loups-garous et bien d'autres personnages variés s'intéressent de très près à elle...
C'est vif , un vrai page turner , très drôle et même paillard , et puis ça donne un nouveau genre : le Steam-Bit.
Enfin , pour lancer un gros troll aussi poilu , c'est fort élégamment écrit . J'ai vu un peu partout des références à Jane Austen , je les trouve erronnées , ça m'a beaucoup plus fait penser à Jerome K. Jerome , et surtout à Wilkie Collins , en particulier dans Mari et femme , pour la façon hilarante de démolir la bonne société victorienne
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
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Re: Sans âme de Gail Carriger
À l'époque de la Grande Élisabeth, la vapeur n'avait pas été inventée. Donc c'est au mieux un windpunk ou un coldwaterpunk. Ou bit.Hoêl a écrit :Suite à un conseil de Xavier Mauméjean sur le forum , je me suis procuré ce premier vol. d'une série qui paraît chez Orbit .
Je ne le regrette pas , peu friand d'histoires de vampires et de loups-garous d'ordinaire , je me suis régalé . Le concept st le suivant , au XVIIème , Elisabeth I a reconnu l'existence des êtres surnaturels (vampires , Loups-garous et fantômes , encore que ces derniers napparaissent pas -ha !ha ! ha !- dans le roman) , et depuis , ils sont intègrés à la société et ont même souvent pignon sur rue . L'héroïne , une vieille-fille de 25 ans (sic !) , fille d'une Anglaise de la gentry et d'un Italien , souffre de 4 défauts : un nez trop grand , un teint trop mat , un déplorable goût pour les sciences et une absence d'âme qui lui permet de neutraliser les créatures surnaturelles au moindre contact , encore que ce dernier point soit fort peu connu , ce qui la met au ban des jeunes-filles bonnes à marier... pourtant , le chef de meute des loups-garous et bien d'autres personnages variés s'intéressent de très près à elle...
C'est vif , un vrai page turner , très drôle et même paillard , et puis ça donne un nouveau genre : le Steam-Bit.
Enfin , pour lancer un gros troll aussi poilu , c'est fort élégamment écrit . J'ai vu un peu partout des références à Jane Austen , je les trouve erronnées , ça m'a beaucoup plus fait penser à Jerome K. Jerome , et surtout à Wilkie Collins , en particulier dans Mari et femme , pour la façon hilarante de démolir la bonne société victorienne
Mon immortalité est provisoire.
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Re: Sans âme de Gail Carriger
Ben si, la vapeur est connue depuis aussi longtemps que l'eau chaude., ce qui fait un paquet de millénaires.Gérard Klein a écrit :À l'époque de la Grande Élisabeth, la vapeur n'avait pas été inventée.
Et – si c'est à ça que tu pensais – les Romains l'utilisaient déjà comme force motrice (ascenseurs…)
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
Re: Sans âme de Gail Carriger
Aîe !Gérard Klein a écrit :À l'époque de la Grande Élisabeth, la vapeur n'avait pas été inventée. Donc c'est au mieux un windpunk ou un coldwaterpunk. Ou bit.Hoêl a écrit :Suite à un conseil de Xavier Mauméjean sur le forum , je me suis procuré ce premier vol. d'une série qui paraît chez Orbit .
Je ne le regrette pas , peu friand d'histoires de vampires et de loups-garous d'ordinaire , je me suis régalé . Le concept st le suivant , au XVIIème , Elisabeth I a reconnu l'existence des êtres surnaturels (vampires , Loups-garous et fantômes , encore que ces derniers napparaissent pas -ha !ha ! ha !- dans le roman) , et depuis , ils sont intègrés à la société et ont même souvent pignon sur rue . L'héroïne , une vieille-fille de 25 ans (sic !) , fille d'une Anglaise de la gentry et d'un Italien , souffre de 4 défauts : un nez trop grand , un teint trop mat , un déplorable goût pour les sciences et une absence d'âme qui lui permet de neutraliser les créatures surnaturelles au moindre contact , encore que ce dernier point soit fort peu connu , ce qui la met au ban des jeunes-filles bonnes à marier... pourtant , le chef de meute des loups-garous et bien d'autres personnages variés s'intéressent de très près à elle...
C'est vif , un vrai page turner , très drôle et même paillard , et puis ça donne un nouveau genre : le Steam-Bit.
Enfin , pour lancer un gros troll aussi poilu , c'est fort élégamment écrit . J'ai vu un peu partout des références à Jane Austen , je les trouve erronnées , ça m'a beaucoup plus fait penser à Jerome K. Jerome , et surtout à Wilkie Collins , en particulier dans Mari et femme , pour la façon hilarante de démolir la bonne société victorienne
J'avais omis de mentionner que l'action se déroule sous le règne de sa glorieuse descendante , Victoria...
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Re: Sans âme de Gail Carriger
Non, non, tu le mentionnes explicitement en dernière ligne, et les références livresques que tu cites sont suffisamment parlantes.Hoêl a écrit :Aîe !Gérard Klein a écrit :À l'époque de la Grande Élisabeth, la vapeur n'avait pas été inventée. Donc c'est au mieux un windpunk ou un coldwaterpunk. Ou bit.Hoêl a écrit :Suite à un conseil de Xavier Mauméjean sur le forum , je me suis procuré ce premier vol. d'une série qui paraît chez Orbit .
Je ne le regrette pas , peu friand d'histoires de vampires et de loups-garous d'ordinaire , je me suis régalé . Le concept st le suivant , au XVIIème , Elisabeth I a reconnu l'existence des êtres surnaturels (vampires , Loups-garous et fantômes , encore que ces derniers napparaissent pas -ha !ha ! ha !- dans le roman) , et depuis , ils sont intègrés à la société et ont même souvent pignon sur rue . L'héroïne , une vieille-fille de 25 ans (sic !) , fille d'une Anglaise de la gentry et d'un Italien , souffre de 4 défauts : un nez trop grand , un teint trop mat , un déplorable goût pour les sciences et une absence d'âme qui lui permet de neutraliser les créatures surnaturelles au moindre contact , encore que ce dernier point soit fort peu connu , ce qui la met au ban des jeunes-filles bonnes à marier... pourtant , le chef de meute des loups-garous et bien d'autres personnages variés s'intéressent de très près à elle...
C'est vif , un vrai page turner , très drôle et même paillard , et puis ça donne un nouveau genre : le Steam-Bit.
Enfin , pour lancer un gros troll aussi poilu , c'est fort élégamment écrit . J'ai vu un peu partout des références à Jane Austen , je les trouve erronnées , ça m'a beaucoup plus fait penser à Jerome K. Jerome , et surtout à Wilkie Collins , en particulier dans Mari et femme , pour la façon hilarante de démolir la bonne société victorienne
J'avais omis de mentionner que l'action se déroule sous le règne de sa glorieuse descendante , Victoria...
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En réalité, l'héroïne a 26 ans
Bon, comme je suis courageuse, j'avais envoyé ma mère l'acheter et le lire et, comme elle a trouvé ça sympa, j'ai tenté la chose : http://www.revue-imaginaire.com/2011/04 ... lle-i.html

Bon, comme je suis courageuse, j'avais envoyé ma mère l'acheter et le lire et, comme elle a trouvé ça sympa, j'ai tenté la chose : http://www.revue-imaginaire.com/2011/04 ... lle-i.html