L'Université de Princeton a annoncé qu'elle fermait le Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR), crée par Robert G. Jahn en 1979.
Ce laboratoire se proposait d'étudier avec des moyens scientifiques les interactions entre l'esprit humain et de la matière (PES, télékinésie, etc...).
Jahn est aux antipodes de l'illuminé new age. Professeur émérite de l'institut d'ingénierie et de science appliquée, un des deux ou trois plus grand spécialistes mondiaux de la propulsion.
Pour lui, l'esprit humain peut, dans une certaine mesure, altérer le fonctionnement de machines plus ou moins complexes, ou accéder à d'autres niveaux de perceptions distantes. L'approche avec laquelle il analysait ces phénomènes était particulièrement rigoureuses, ce qui n'empêchait l'administration de Princeton de trouver embarrassant ce laboratoire.
Le PEAR ferme ses portes
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
- Eric
- Administrateur - Site Admin
- Messages : 5185
- Enregistré le : ven. déc. 16, 2005 1:03 pm
- Localisation : Paris
Le PEAR ferme ses portes
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- Eons
- Messages : 6338
- Enregistré le : sam. févr. 17, 2007 6:49 pm
- Localisation : Le cœur de Flandre
- Contact :
Re: Le PEAR ferme ses portes
Dommage, j'aurais bien aimé savoir pourquoi mon ordinateur plante chaque fois que ma femme se met en colère (quelle que soit l'origine de sa colère - souvent les gosses).Eric a écrit :L'Université de Princeton a annoncé qu'elle fermait le Princeton Engineering Anomalies Research (PEAR), crée par Robert G. Jahn en 1979.
Ce laboratoire se proposait d'étudier avec des moyens scientifiques les interactions entre l'esprit humain et de la matière (PES, télékinésie, etc...).
Jahn est aux antipodes de l'illuminé new age. Professeur émérite de l'institut d'ingénierie et de science appliquée, un des deux ou trois plus grand spécialistes mondiaux de la propulsion.
Pour lui, l'esprit humain peut, dans une certaine mesure, altérer le fonctionnement de machines plus ou moins complexes, ou accéder à d'autres niveaux de perceptions distantes. L'approche avec laquelle il analysait ces phénomènes était particulièrement rigoureuses, ce qui n'empêchait l'administration de Princeton de trouver embarrassant ce laboratoire.
Non, c'est pas une plaisanterie. Mais heureusement, ce ne sont que les vraiment grosses colères, et ça n'arrive qu'assez rarement.