Derniers livres lus

[Eric]

Le prend pas mal, mais... comment dire... ta signature est... laisse moi trouver le mot... encombrante. Voilà ! Encombrante.

[Nébal]

Pardon, pardon...

C'est corrigé. Je l'f'rai pu.

[Eric]

Pas grave.

Merci.

[Nick_Holmes]

Hop, un peu de pub pour mon site :

chronique de la grande anthologie de la fantasy

@+,
NicK.

Mais, mais ... tu aimes ça en plus ???

Oui grand fou.

@+,
NicK.

[Nick_Holmes]

Bon, j'ai fini Axiomatique et ça picote un peu ... et des fois ça arrache bcp.
Dommage que le niveau soit inégal. Il faudrait faire un mix des idées de T. Chiang et le style d'Egan (surtout pour la chute des nouvelles) et pour moi ce serait génial.

@+,
NicK.

[marc]

Bon, j'ai fini Axiomatique et ça picote un peu ... et des fois ça arrache bcp.
Dommage que le niveau soit inégal. Il faudrait faire un mix des idées de T. Chiang et le style d'Egan (surtout pour la chute des nouvelles) et pour moi ce serait génial. .

Depuis que j'ai lu "Isolation" j'attends de trouver "Axiomatique" en occase, en espérant que ses nouvelles sont meilleurs que ses romans.

[Eric]

Bon, et personne n'a encore attaqué Glyphes ?

Vous attendez quoi ?

[kibu]

Un chèque ?

PS : la vénalité est la vraie valeur de l'avenir.

[Patrice]

Salut,

Bon, et personne n'a encore attaqué Glyphes ?

Vous attendez quoi ?

D'avoir des sous pour acheter des livres de SF neufs. Impensable en ce moment et ça n'est pas près de s'arranger...

A+

Patrice

[rmd]

Bon, et personne n'a encore attaqué Glyphes ?

Vous attendez quoi ?

De l'avoir acheté ?

C'est Mr scylla qui va etre content de me voir

[Lensman]

"Glyphes"? J'ai trouvé ça excellent. Pour le coup, moi qui ai généralement du mal à juger le style (je suis toujours épaté en voyant les appréciations péremptoires des copains, je ne sais pas comment ils font...), voilà un auteur qui a un sacré sens de la description, bien mis en valeur dans un roman qui tourne autour du rapport entre ce que l'on voit et ce que cela provoque dans notre tête. Au début, j'étais un peu énervé par le côté "thriller" ou roman d'espionnage avec les sempiternelles rivalités entre services secrets et autres complots bidons, mais cela devient autre chose au fil de la lecture, avec un vrai travail sur les personnage, et un enjeu passionnant, avec une fin ouverte au bon sens du terme (c'est-à-dire pas n'importe quoi qui se termine en eau de boudin, comme on lit souvent).

[Papageno]

Je dois dire que c'est le coté thriller annoncé qui me fait hésiter!
Le thriller m'a toujours un peu gonflé. Mais après la lecture de la chronique d'Eric et avec ton appréciation positive, je vais peut-être me laissé tenter!

[Lensman]

Bon, on ne rembourse pas si déçu, mais tu pourras visiblement le revendre sans peine...
En plus de celle d'Eric, à laquelle j"adhère entièrement, il y a une bonne critique aussi sur le Cafard.

[Eric]

Le côté thriller est le fil d'Ariane qui permet à McAuley de dévider son intrigue, mais attention, ce n'est pas un Ludlum. On va beaucoup plus loin que du simple divertissement (même si le divertissement n'est pas un gros mot).

[systar]

A vue de nez (c'est-à-dire uniquement en lisant ta critique, Eric), on a un roman de type métalittéraire, c'est-à-dire qui s'interroge sur le mode de fonctionnement des littératures de l'imaginaire. En effet, que sont ces glyphes, sinon des métaphores de métaphores? Eric écrit que c'est un livre sur le pouvoir de suggestion, on peut même parler d' "invocation" au sens mythique (cf les analyses passionnantes de Cassirer sur le mythe, qu'on peut largement appliquer au mode de fonctionnement de la SF et plus encore de la fantasy), c'est-à-dire de l'acte d'appeler une chose pour la rendre présente (invoquer une divinité, c'est la faire parvenir au milieu des fidèles, la rendre présente). Or, ce pouvoir-là, clairement, est bien celui de la métaphore (entre autres pouvoirs, mais sachons ne pas nous éparpiller), que j'ai tendance à définir de plus en plus (j'ai pondu des pages au kilo à ce sujet sur mon petit blog BASKET et SF) comme des redistributions ou des conversions d'énergie (celle du mot qui devient une énergie mentale, ce qui se passe quand on lit un roman et que l'on se met à voir le monde dont le livre parle, quand il y en a une genèse "intentionnelle", sorry pour le jargon). Là c'est intéressant, tout ce que le thème des glyphes permet d'envisager avec la théorie controversée: on aurait naissance de mondes uniquement à partir d'activité mentale/nerveuse... qu'est-ce, sinon la thèse de tout ce qu'on a appelé, en philo, l'idéalisme? (qu'il soit absolu ou transcendantal, au-delà des nuances il reste l'idée du rôle prédominant de l'esprit humain dans la constitution d'un monde perceptible et habitable).
Bon, je sais pas si je suis clair...
A signaler tout de même: souriez discrètement en lisant la quatrième de couverture, où on vous explique que c'est la première fois qu'il y a le thème des glyphes en littérature de l'imaginaire... Faut-il rappeler, juste au passage, l'existence d'un livre qui a fait un peu de bruit ces derniers temps, et où les glyphes jouent un rôle prédominant: la horde du contrevent...? (fin de la parenthèse damasiophile)
A l'occasion, il faudra que je le lise, tout de même, ce roman, il a l'air super bien, tout comme le dernier Vinge, qu'on évoquait rapidement jeudi soir.