Et un certain nombre d'autres choses, comme l'"Histoire secrète"MF a écrit :Mouhahahahaha !!!!! Simon Bréan cité en même temps que Guillaume Musso
bon, ce serait pas con d'expliquer à Baptiste Liger la différence entre uchronie et voyage dans le temps...
Simon Bréan - La Science-fiction en France
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- bormandg
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Oh, je trouve que l'article n'est pas mal du tout. Il s'adresse à un grand public aux préoccupations assez éloignées de l'uchronie. Comme tel, il me semble livrer des informations essentielles et bien organisées.
Je le trouve plus précis que ce texte, par exemple...
Le journaliste n'avait pas la place d'utiliser toutes les infos données par Eric Henriet ou moi, mais il donne beaucoup de détails, quand même.
Voici ce que j'avais indiqué concernant les points soulevés :
Je le trouve plus précis que ce texte, par exemple...
Le journaliste n'avait pas la place d'utiliser toutes les infos données par Eric Henriet ou moi, mais il donne beaucoup de détails, quand même.
Voici ce que j'avais indiqué concernant les points soulevés :
Mais je dois dire qu'une définition trop rigide de l'uchronie est regrettable - l'intervention d'un voyageur temporel qui donne lieu à une modification étudiée en détail me semble pouvoir entrer dans une même catégorie.L’uchronie comprend tout texte fictionnel postulant une divergence autonome des événements historiques, par rapport à ce que nous en savons. Il faut donc la distinguer des récits de voyages dans le temps (qui présentent des modifications provoquées par des voyageurs temporels, volontairement ou non) et des récits d’histoire secrète (qui imaginent que des événements, importants ou mineurs, se sont déroulés sans qu’aucun historien n’en ait trouvé la trace, par exemple l’enlèvement de Louis XIV imaginé par Dumas dans Le Vicomte de Bragelonne). Elle partage des traits communs avec le steampunk (récit situé dans une ambiance XIXe siècle, et postulant des avancées techniques fondées sur l’acier et la vapeur), mais ne se confond pas avec lui.
Ce dont on ne peut parler, il faut le faire.
nous sommes d'accord, Assouline a, me semble-t-il, simplement voulu répondre à Ligersilramil a écrit :Oh, je trouve que l'article n'est pas trop mal. Il s'adresse à un grand public aux préoccupations assez éloignées de l'uchronie. Comme tel, il me semble livrer des informations essentielles et bien organisées.
Je le trouve plus précis que ce texte, par exemple...
sauf qu'il me semble bien que ce n'est pas ce que fait Stephen King, pour ne citer que lui...Mais je dois dire qu'une définition trop rigide de l'uchronie est regrettable - l'intervention d'un voyageur temporel qui donne lieu à une modification étudiée en détail me semble pouvoir entrer dans une même catégorie.
... et puis ce n'est pas tant l'examen dans le détail que la "réalité" de la divergence qui me semble important ; plutôt l'émergence d'un "monde de référence" crédible
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- bormandg
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Personnellement je tiens à limiter l'uchronie de façon assez stricte (partir de l'Histoire connue et étudier les conséquences d'une divergence), et je refuse d'y inclure aussi bien les interventions de voyageurs temporels (ex. D'Or et d'émeraude), que les mondes parallèles (type Sliders), ou les cas d'histoires alternatives construits à partir du monde désiré (type Millecrabe), et surtout les "Histoires inconnues" (Lady Di a fait semblant de mourir, par exemple). Il est déjà assez difficile de séparer les oeuvres qui appartiennent à la fiction spéculative et celles qui sont écrites pour la littgen; si on se met à mettre tout et n'importe quoi sous le label, on finira par y inclure la totalité de l'oeuvre d'Alexandre Dumas. Voire la totalité de la fiction...
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putain quel pisse froid méprisant celui là ! (je parle de l'auteur de "ce texte"^^)silramil a écrit :Oh, je trouve que l'article n'est pas mal du tout. Il s'adresse à un grand public aux préoccupations assez éloignées de l'uchronie. Comme tel, il me semble livrer des informations essentielles et bien organisées.
Je le trouve plus précis que ce texte, par exemple...
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donc le jeu de l'esprit (déjà) ça n'a aucun intérêt ?
ben il doit aimer la sf aussi...
- bormandg
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Le texte d'Assouline serait tout à fait acceptable si son titre n'était pas incomplet: le "vain gadget de l'uchronie" concerné est l'usage de l'uchronie par Pierre Bayard dans le livre critiqué. Tel qu'il est écrit, l'article d'Assouline n'attaque pas l'uchronie, mais bien exclusivement son emploi dans le livre concerné. Que les réactions prétendent généraliser l'attaque et répondre sur les autres oeuvres de la branche prouve, seulement, que Assouline aurait dû intituler son article "De l'emploi de l'uchronie comme un vain gadget par certain auteur".dracosolis a écrit :putain quel pisse froid méprisant celui là ! (je parle de l'auteur de "ce texte"^^)silramil a écrit :Oh, je trouve que l'article n'est pas mal du tout. Il s'adresse à un grand public aux préoccupations assez éloignées de l'uchronie. Comme tel, il me semble livrer des informations essentielles et bien organisées.
Je le trouve plus précis que ce texte, par exemple...
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donc le jeu de l'esprit (déjà) ça n'a aucun intérêt ?
ben il doit aimer la sf aussi...
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- dracosolis
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Tu as bien raison. A table!dracosolis a écrit :bon je relirai, Georges mais là c'est pas l'heure
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- bormandg
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Correctif après relecture. Il y a bien dans le texte d'Assouline des généralisations à toute l'uchronie des défauts du seul texte critiqué. Exactement comme dans une regrettable critique par notre académipithecantrope exécré.d'un roman d'Houellebecq dont il généralisait à toute la SF les défauts qui, justement, faisaient rejeter le dit roman par les amateurs de SF. Au temps pour moi et ne tiens pas compte de ma défense imméritée de l'article.bormandg a écrit :Tu as bien raison. A table!dracosolis a écrit :bon je relirai, Georges mais là c'est pas l'heure
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C'est justement en se demandant comment cela aurait pu se passer que l'on cherche à comprendre comment cela s'est passé. En termes techniques cela s'appelle une simulation.On peut croire en effet que, dans l’ordre de la complexité, il y a déjà suffisamment à faire avec ce qui se passe et ce qui s’est passé pour ne avoir à se demander en plus comment cela aurait pu se passer.(P.A)
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J'écrirai même: que l'on parvient à comprendre ce qui s'est passé.
Par ailleurs toute modélisation est génératrice d'uchronies en puissance. En faisant varier certains paramètres, on explore une pluralité de possibles, qu'il s'agisse de physique ou d'économie.
Et on peut aussi bien le faire pour une situation du passé. Je ne m'étendrai pas sur les absurdités philosophiques selon lesquelles rien d'autre n'aurait pu se passer que ce qui s'est passé. Mais l'uchronie, parfois rebaptisée rétroprospective (Jacques Lesourne), devrait être un instrument essentiel des historiens.
Par ailleurs toute modélisation est génératrice d'uchronies en puissance. En faisant varier certains paramètres, on explore une pluralité de possibles, qu'il s'agisse de physique ou d'économie.
Et on peut aussi bien le faire pour une situation du passé. Je ne m'étendrai pas sur les absurdités philosophiques selon lesquelles rien d'autre n'aurait pu se passer que ce qui s'est passé. Mais l'uchronie, parfois rebaptisée rétroprospective (Jacques Lesourne), devrait être un instrument essentiel des historiens.
Mon immortalité est provisoire.
- bormandg
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Traiter d'absurdité philosophique toute la théorie du déterminisme, de la prédestination (et de TA volonté) est peut-être un peu rapide; ceci étant l'uchronie présente différentes variantes plus ou moins vraisemblables, suivant qu'on s'attaque aux faits considérés comme déterminants majeurs (par exemple la mort de Richard Plantagenet à Caylus) en prétendant que les changements qui en auraient découlé auraient été majeurs ou qu'on prétend discerner un courant historique qui aurait résisté au changement d'un tel fait... Derrière toute uchronie, il y a une vision de l'importance relative des faits et de celle des tendances qui rend l'exercice vide pour qui a une vision différente.Gérard Klein a écrit :J'écrirai même: que l'on parvient à comprendre ce qui s'est passé.
Par ailleurs toute modélisation est génératrice d'uchronies en puissance. En faisant varier certains paramètres, on explore une pluralité de possibles, qu'il s'agisse de physique ou d'économie.
Et on peut aussi bien le faire pour une situation du passé. Je ne m'étendrai pas sur les absurdités philosophiques selon lesquelles rien d'autre n'aurait pu se passer que ce qui s'est passé. Mais l'uchronie, parfois rebaptisée rétroprospective (Jacques Lesourne), devrait être un instrument essentiel des historiens.
Ceci étant, c'est comme en physique: l'expérience tranche. Et en histoire, on ne la refait pas. Il y a un fil qui est composé de toutes les expériences réalisées...
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