Rêves de Gloire - R.C. Wagner
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- Eons
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Parceque ceux d'ActuSF ne corrigent jamais leurs erreurs ?
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- Eons
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- Jacques Ah !
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Roland Wagner est vraiment un personnage d'exception... ludwing ;
Artiste polymorphe, écrivain et président d'un Groupe d'Entraide Mutuel : le Social Art Postal Club de Choisy-le-Roi. Site : http://jacquesabeasis.e-monsite.com ;
Deux mois au moins que je suis dans ce livre...
Au bout de 150 pages, j'ai accroché. Avant, ce qui l'a sauvé c'est qu'il n'était jamais pénible à lire, juste un peu indifférent...
Au bout de 250 pages, j'ai commencé à comprendre le principe. J'ai arrêté d'essayer de prendre des notes mentales pour savoir où en étaient untel ou untel, j'ai arrêté d'essayer de démêler le "vrai" du "uchronique", jusque dans le langage utilisé... j'ai lâché prise en somme.
Au bout de 450 pages, j'ai commencé à subir l'addiction. Difficile de lâcher le bouquin, le suspens devient concret, l'immersion commence à laisser place à la trame narrative...
Au bout de 550 pages, je commence à comprendre les tenants, mais pas du tout les aboutissants.
Rarement un (gros) livre m'aura tenu en me donnant aussi peu, en tout cas aussi peu de ce que j'attends habituellement. Je suppose un énorme travail (ou une incroyable alchimie) sur le rythme, qui seul permet de tenir le lecteur sans l'aider, sans le lasser, sans l'étourdir. J'attends le verdict des 100 dernières pages pour me faire mon avis, mais j'ai déjà envie de le faire lire autour de moi...
Au bout de 150 pages, j'ai accroché. Avant, ce qui l'a sauvé c'est qu'il n'était jamais pénible à lire, juste un peu indifférent...
Au bout de 250 pages, j'ai commencé à comprendre le principe. J'ai arrêté d'essayer de prendre des notes mentales pour savoir où en étaient untel ou untel, j'ai arrêté d'essayer de démêler le "vrai" du "uchronique", jusque dans le langage utilisé... j'ai lâché prise en somme.
Au bout de 450 pages, j'ai commencé à subir l'addiction. Difficile de lâcher le bouquin, le suspens devient concret, l'immersion commence à laisser place à la trame narrative...
Au bout de 550 pages, je commence à comprendre les tenants, mais pas du tout les aboutissants.
Rarement un (gros) livre m'aura tenu en me donnant aussi peu, en tout cas aussi peu de ce que j'attends habituellement. Je suppose un énorme travail (ou une incroyable alchimie) sur le rythme, qui seul permet de tenir le lecteur sans l'aider, sans le lasser, sans l'étourdir. J'attends le verdict des 100 dernières pages pour me faire mon avis, mais j'ai déjà envie de le faire lire autour de moi...
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"Il aura fallu des millions d'années à l'espèce humaine pour descendre des arbres et seulement dix de plus pour se mettre en vitrine." R. Powers
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- Jacques Ah !
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Rloand Wagner a aussi une réputation qui permet de lire ses ouvrages jusqu'au bout, mais souvent les derniers 40% des bouquins qu'il fait publier sont un étalage de sauces digne d'un Mac Do, trop facile, peut-être... ludwing ;
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Bon, des fois, je suis très, mais vraiment très con.
Se décider à lire "Rêves de gloire" à la mort de son auteur n'en est qu'une triste illustration.
Enfin passons, juste pour indiquer à ceux qui, comme moi, ont des a priori négatifs avec les uchronies, que ce bouquin est vraiment loin au-delà. Je n'imaginais même pas que cela pouvait être ça, une uchronie.
Merci Roland.
Se décider à lire "Rêves de gloire" à la mort de son auteur n'en est qu'une triste illustration.
Enfin passons, juste pour indiquer à ceux qui, comme moi, ont des a priori négatifs avec les uchronies, que ce bouquin est vraiment loin au-delà. Je n'imaginais même pas que cela pouvait être ça, une uchronie.
Merci Roland.
- Jacques Ah !
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C'est vrai que le marché commercial s'emballe à la mort d'un auteur et ça, c'est pas très glorieux !
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- bormandg
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Tu as vu ça où, que le marché s'emballait? Parce que si c'était le cas, ce ne serait que la reconnaissance (au sens "reconnaître la valeur de l'auteur") qu'il doit à Roland.
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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