Non, je m'insurge, l'adjectif "pimpant" est uniquement réservé à Pascal !Daylon a écrit :Serge L. étant définitivement plus pimpant, quand même.Virprudens a écrit :(après GK, évidemment)
Appel à textes : Escales 2010
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Tiens, à propos : petit conseil stratégique aux débutants.
Ecrire court augmente statistiquement vos chances d'être sélectionnés.
J'entends par là que l'anthologiste (ou le directeur de revue, pour généraliser la remarque) aura moins de scrupule à acheter une nouvelle de vingt-mille signes qu'une novella de cent cinquante mille. Pas à cause du prix, juste parce que ça laisse moins de place au sommaire pour les autres auteurs. Pour qu'une très très longue novella soit retenue, il faut *vraiment* qu'elle soit bonne (ie : que sa longueur soit justifiée, qu'on ne puisse pas imaginer l'histoire mieux racontée plus court).
A l'inverse, il es aussi difficile de réussir une nouvelle ultra-courte (moins de trois pages) : dans neuf cas sur dix, ça donne un gag, un truc à chute anecdotique qui se prend pour un coup d'éclat (la chute n'est pas la formule sine qua non de la nouvelle de SF, contrairement à ce qu'on croit souvent).
De toute façon, on est là sur un terrain compliqué. Identifier la bonne longueur pour une histoire, c'est – guru talk – l'une des étapes cruciales de l'apprentissage et l'une des plus difficiles.
Dans le doute : ni trop long, ni trop court.
Ecrire court augmente statistiquement vos chances d'être sélectionnés.
J'entends par là que l'anthologiste (ou le directeur de revue, pour généraliser la remarque) aura moins de scrupule à acheter une nouvelle de vingt-mille signes qu'une novella de cent cinquante mille. Pas à cause du prix, juste parce que ça laisse moins de place au sommaire pour les autres auteurs. Pour qu'une très très longue novella soit retenue, il faut *vraiment* qu'elle soit bonne (ie : que sa longueur soit justifiée, qu'on ne puisse pas imaginer l'histoire mieux racontée plus court).
A l'inverse, il es aussi difficile de réussir une nouvelle ultra-courte (moins de trois pages) : dans neuf cas sur dix, ça donne un gag, un truc à chute anecdotique qui se prend pour un coup d'éclat (la chute n'est pas la formule sine qua non de la nouvelle de SF, contrairement à ce qu'on croit souvent).
De toute façon, on est là sur un terrain compliqué. Identifier la bonne longueur pour une histoire, c'est – guru talk – l'une des étapes cruciales de l'apprentissage et l'une des plus difficiles.
Dans le doute : ni trop long, ni trop court.
- Thorismond
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Aussi minime que soit ma chance ou mon talent, le défi mérite d'être relevé !
Peut-être qui sait, cette fois je gagnerais plus d'un exemplaire de "transparence"?
Enfin, écrire est déjà une belle récompense... la barre est haute, tant mieux!
Navré, Serge devra probablement supporter quelques pages de mon cru.
Peut-être qui sait, cette fois je gagnerais plus d'un exemplaire de "transparence"?
Enfin, écrire est déjà une belle récompense... la barre est haute, tant mieux!
Navré, Serge devra probablement supporter quelques pages de mon cru.
- orcusnf
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Ya de l'ambition derrière. Si je calcule approximativement, et en considérant que un lune d'encre se vend 25€ et qu'on consacre 10% aux droits d'auteurs, ça fait au moins 2000 exemplaires vendus, soit au moins 3-4000 pour être vraiment rentable ?Les auteurs sélectionnés se partageront 5000 euros d'avance sur droits
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
On fait une Lunes d'encre.
Pour le dixième anniversaire de la collection.
Avec tout ce que ça suppose d'exposition médiatique, de curiosité, de com.
Et on veut *vraiment* des grands textes au sommaire.
Il n'y aucune raison pour ne pas se montrer ambitieux.
(Mais pour les détails concrets, c'est avec GD qu'il faut voir.)
Pour le dixième anniversaire de la collection.
Avec tout ce que ça suppose d'exposition médiatique, de curiosité, de com.
Et on veut *vraiment* des grands textes au sommaire.
Il n'y aucune raison pour ne pas se montrer ambitieux.
(Mais pour les détails concrets, c'est avec GD qu'il faut voir.)
Sauf que là c'est 6%. Mais bien tenté.orcusnf a écrit :Ya de l'ambition derrière. Si je calcule approximativement, et en considérant que un lune d'encre se vend 25€ et qu'on consacre 10% aux droits d'auteurs, ça fait au moins 2000 exemplaires vendus, soit au moins 3-4000 pour être vraiment rentable ?Les auteurs sélectionnés se partageront 5000 euros d'avance sur droits
- Roland C. Wagner
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