peu de fantaisie pour la fantasy, quelques tentatives désesprérées, par manque de nouveautés SF intéressantes (merci à Lucas d'avoir refait une trilogie star wars pour les volumes apparus dans sa suite en librairie, merci)
Le coté pratique des nouveaux J'ai lu (nouveaux, enfin, qu'on me comprenne, ceux dont la tranche a cessé d'être colorée), c'est qu'en librairie, on repère tout de suite sf et fantasy.
Je me suis tout de même commise dans le genre, s'il y en a eu vingt, c'est déjà beaucoup, si on dépasse ce nombre on le doit au Disque monde :
Mathieu Gaborit Les chroniques du crépuscule,
Silverberg le recueil Légendes,
John Barnes Le vin des dieux,
G G Kay L'arbre de l'été (pas eu le courage de lire la suite),
Leiber Epées et démons,
Card le premier de la série d'Alvin le Faiseur,
Holdstock La forêt des Mythagos,
Calvo Wonderful,
Beagle La dernière licorne,
Tolkien et son Seigneur des anneaux, sans ça qui peut comprendre la trilogie de P Jackson ?,
Pratchett qui n'est pas vraiment de la fantasy tout en en étant,
et le sieur Eddings (les pierres précieuses m'ont attirée).
J'en profite pour rappeler ici la création assez récente du club de soutien à Eddings, totalisant d'ores et déjà deux membres, Jérôme trésorier et moi-même, sous-fifre maître ès calomnies sirupeuses. Il me semble que c'est le lieu où recruter.
Fantasy !!!
Modérateurs : Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Mon plus vieux souvenir de Fantasy est une trilogie dont j'ai malheureusement oublié et les titres et le nom de l'auteur. J'étais petite (enfin pas si petite que ça vu que je n'étais plus reléguée dans la catégorie enfant de la bibliothèque) et ces romans ne sont probablement pas aussi géniaux que dans mon souvenir. Mais ils m'ont marquée, profondément. Notamment le poème qui les accompagnait.
Je le mets ici (enfin les bribes dont je me souviens) pour le cas où cela évoquerait quelque chose à quelqu'un susceptible de m'aider à combler mes trous de mémoire. Je crois me souvenir qu'il était sensiblement plus long, et je sens bien que plusieurs tournures et mots ne sont pas ce qu'ils devraient être. Enfin l'idée est là...
"Quand Thyie régnait en Heijmur, s'en virent des cavaliers.
Trois étaient d'or et l'une était de givre.
Belle était elle, et fatale autant que belle
Et donnait la mort à tous ceux qui la suivaient.
Les hommes se meurent, le nombre de loups est grand.
Et l'hiver avance inexorablement."
Ces quelques lignes gardent, sur moi, leur pouvoir d'évocation, un souffle épique et mélancolique, un mélange de merveilleux et de fatalisme qui me fascine toujours autant.
Edit : Pour le club de soutien à Eddings... comment se passe le recrutement?
Je le mets ici (enfin les bribes dont je me souviens) pour le cas où cela évoquerait quelque chose à quelqu'un susceptible de m'aider à combler mes trous de mémoire. Je crois me souvenir qu'il était sensiblement plus long, et je sens bien que plusieurs tournures et mots ne sont pas ce qu'ils devraient être. Enfin l'idée est là...
"Quand Thyie régnait en Heijmur, s'en virent des cavaliers.
Trois étaient d'or et l'une était de givre.
Belle était elle, et fatale autant que belle
Et donnait la mort à tous ceux qui la suivaient.
Les hommes se meurent, le nombre de loups est grand.
Et l'hiver avance inexorablement."
Ces quelques lignes gardent, sur moi, leur pouvoir d'évocation, un souffle épique et mélancolique, un mélange de merveilleux et de fatalisme qui me fascine toujours autant.
Edit : Pour le club de soutien à Eddings... comment se passe le recrutement?