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Je viens de finir le deuxième tome de "Cendres", de Mary Gentle.
La trad de Patrick Marcel, bien que très élégante, est parfois un poil ampoulé. On peut dire aussi que Mme Gentle prend son temps.
Mais au final, j'ai eu du mal à lâcher ces deux tomes, tard le soir, tellement c'est bien fait.
Je vais peut-être quand même faire une petite pause, là (c'est comme les scones de supermarché, il ne faut pas abuser du béton armé).
La trad de Patrick Marcel, bien que très élégante, est parfois un poil ampoulé. On peut dire aussi que Mme Gentle prend son temps.
Mais au final, j'ai eu du mal à lâcher ces deux tomes, tard le soir, tellement c'est bien fait.
Je vais peut-être quand même faire une petite pause, là (c'est comme les scones de supermarché, il ne faut pas abuser du béton armé).
je viens de finir Wachild de Karin Lowachee au Bélial , c'est intéressant mais c'est aussi un premier roman avec des tas d'imperfections et d' approximations , on y débarque dans une station spatiale en plein déjeuner dans un restaurant , et la station sapatiale est abordée par des aliens hostiles sans que rien ne l'ait laissé prévoir ...L'auteure semble ne rien connaître des notions relativistes de déplacement et cela nuit à la vraisemblance de l'ensemble . Quant aux E.T. , ils sont bien trop humains à mon goût .
Cela dit , le côté psychologique du personnage est plutôt fouillé et ne manque pas d'attacher le lecteur même si les autres protagonistes semblent par comparaison bienfalots (en particulier ceux du Warboy et de son alter ego/ennemi Azarcon qui sont plutôt caricaturés).
Cela dit , le côté psychologique du personnage est plutôt fouillé et ne manque pas d'attacher le lecteur même si les autres protagonistes semblent par comparaison bienfalots (en particulier ceux du Warboy et de son alter ego/ennemi Azarcon qui sont plutôt caricaturés).
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- jlavadou
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Et ?...Hoêl a écrit :on y débarque dans une station spatiale en plein déjeuner dans un restaurant , et la station sapatiale est abordée par des aliens hostiles sans que rien ne l'ait laissé prévoir ...
Qu'est-ce qu'on en a à faire ? J'ose imaginer que le space opera est devenu suffisamment mature pour que chaque nouvel auteur n'ait pas à réinventer à chaque fois toute la physique et perdre du temps à l'appliquer juste pour prouver qu'il a fait des recherches et qu'il pourrait faire une thèse sur le sujet. L'intérêt de Warchild n'est pas là.L'auteure semble ne rien connaître des notions relativistes de déplacement et cela nuit à la vraisemblance de l'ensemble .
Et moi je suis bien content que les auteurs s'éloignent des monstres à 5 pattes des space op d'antan.Quant aux E.T. , ils sont bien trop humains à mon goût .
Ce sont des chefs de guerre. En tant que tels, ils doivent se forger une personnalité impénétrable, une image de guerrier impassible et froid. Alors oui, on peut dire que c'est une caricature, mais qui va de pair avec leur fonction... Et justement, Lowachee arrive petit à petit, subtilement, à égratigner cette caricature pour montrer ce qui se cache dessous.Cela dit , le côté psychologique du personnage est plutôt fouillé et ne manque pas d'attacher le lecteur même si les autres protagonistes semblent par comparaison bienfalots (en particulier ceux du Warboy et de son alter ego/ennemi Azarcon qui sont plutôt caricaturés).
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Exactement, La relativité restreinte, dans le S.op. cela commence même à faire ch, avec ses voyages interminables, ces décalages temporelles obligatoires, qui finissent même par tuer la dynamique des S.O. - je vais aller bouffer de l'ET sur la planète Tartempion et compte tenu de la distance et de la RR, je serais de retour dans trois siècles toujours aussi jeune !!!!! - Bon ça va, dans l'intervalle - la fiancée éplorée aura le temps de prendre de nombreux amants - après elle pourra toujours se faire cryogèner en attendent le retour de son héros. Tous ça pour faire réaliste ! dans un space-opéra! bof.. C'est ce que j'aime le moins chez Reynolds par exemple.Qu'est-ce qu'on en a à faire ?
A mort Einstein

Ou alors faut extrapoler la RG avec ses étrangetés topologiques ou la MQ avec ses concepts contre intuitif, sinon les récits deviennent largement statique,- et prévisible
le S.O. ça doit bouger, vite !
Cette vision du chef de guerre ma paraît elle-même caricaturale ; pour ce qui me concerne , je n'apprécie la caricature que dans le cadre de la satire .jlavadou a écrit :Et ?...Hoêl a écrit :on y débarque dans une station spatiale en plein déjeuner dans un restaurant , et la station sapatiale est abordée par des aliens hostiles sans que rien ne l'ait laissé prévoir ...
Et le warboy débarque , sauve le héros comme tout bon deus ex machina qui se respecte ! C'est le tournant majeur du roman et la ficelle me paraît un peu grosse .
Qu'est-ce qu'on en a à faire ? J'ose imaginer que le space opera est devenu suffisamment mature pour que chaque nouvel auteur n'ait pas à réinventer à chaque fois toute la physique et perdre du temps à l'appliquer juste pour prouver qu'il a fait des recherches et qu'il pourrait faire une thèse sur le sujet. L'intérêt de Warchild n'est pas là.L'auteure semble ne rien connaître des notions relativistes de déplacement et cela nuit à la vraisemblance de l'ensemble .
Certes , néanmoins l'auteure a choisi un décor , la vision des voyages dans l'espace a évolué depuis Edmond Hamilton ou Jack Williamson , et il m'est difficile d'imaginer quelqu'un observer un combat spatial à travers la"baie vitrée" d'un des vaisseaux impliqués dans ledit combat... D'accord , l'intérêt du roman n'est pas là , n'empêche qu'un pêu de rigueur ne fait pas de mal .Et moi je suis bien content que les auteurs s'éloignent des monstres à 5 pattes des space op d'antan.Quant aux E.T. , ils sont bien trop humains à mon goût .
Je parlais du plan psychologique .Ce sont des chefs de guerre. En tant que tels, ils doivent se forger une personnalité impénétrable, une image de guerrier impassible et froid. Alors oui, on peut dire que c'est une caricature, mais qui va de pair avec leur fonction... Et justement, Lowachee arrive petit à petit, subtilement, à égratigner cette caricature pour montrer ce qui se cache dessous.Cela dit , le côté psychologique du personnage est plutôt fouillé et ne manque pas d'attacher le lecteur même si les autres protagonistes semblent par comparaison bienfalots (en particulier ceux du Warboy et de son alter ego/ennemi Azarcon qui sont plutôt caricaturés).
Cela dit , je le répète , le roman présente de réelles qualités , le passage de la narration à la 2ème personne à celle à la première personne lorsque le héros échappe à Falcon est fort bien vu , la thématique sur l'homosexualité est évoquée avec beaucoup de finesse et j'aime beaucoup l'autodéfinition du personnage dans les dernières phrases du livre .
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
- Eons
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Terminé. En fait, toute la fin est dans l'épilogue de quelques pages, et on se dit, après s'être farci au total près de 4 000 pages : « Tout ça pour ça ? »Eons a écrit :Bon courage. J'ai attaqué la suite en question, Le gouffre de l'Absolution : j'en suis à peu près au quart, et il ne s'est encore pratiquement rien passé.Algernon a écrit :Terminé L'Arche de la Rédemption d'Alastair Reynolds. Long, très long, trop long. Les Inhibiteurs attaquent enfin, c'est chouette de revoir les personnages du premier tome, j'aime beaucoup ce qu'est devenu Le Spleen de l'Infini et la fin m'a bien plu. Assez pour me plonger dans la suite. Enfin... pas directement.

Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr
- Eons
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J'ai attaqué Olympos, la suite d'Ilium. Pour le moment, deux remarques :
1) À en croire la page 5, la traduction serait d'un certain Jean-Michel Brèque !
2) Tout ce qui est technologie avancée est qualifié de "quantique" – plus encore que dans le premier tome, il me semble ! Je suis surpris que personne n'y ait encore mangé de hamburger quantique.
1) À en croire la page 5, la traduction serait d'un certain Jean-Michel Brèque !

2) Tout ce qui est technologie avancée est qualifié de "quantique" – plus encore que dans le premier tome, il me semble ! Je suis surpris que personne n'y ait encore mangé de hamburger quantique.

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La traduction attribuée à mon lointain cousin, c'est un running gag : Pocket avait déjà commis la même bourde sur le 1er tirage d'Ilium (les tirages suivants ont été corrigés).Eons a écrit :J'ai attaqué Olympos, la suite d'Ilium. Pour le moment, deux remarques :
1) À en croire la page 5, la traduction serait d'un certain Jean-Michel Brèque !![]()
2) Tout ce qui est technologie avancée est qualifié de "quantique" – plus encore que dans le premier tome, il me semble ! Je suis surpris que personne n'y ait encore mangé de hamburger quantique.
Il subsiste d'autres coquilles, mais elles sont également à l'échelle des quanta.
JDB
Terminé Pixel Juice de Noon il y a quelques jours. Ben c'est génial. Voilà.
Listen now. Whoever you are, with these eyes of yours that move themselves along this line of text; whoever, wherever, whenever. If you can read this sentence, this one fragile sentence, it means you're alive. (Jeff Noon - Falling out of cars)
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Mis la plupart de mes lectures en pause pour me consacrer aux zombies de Max Brooks avec World War Z et le Guide de survie en territoire zombie.
Il vient de dégringoler de trente places dans ma PAL.
...Eons a écrit :Terminé. En fait, toute la fin est dans l'épilogue de quelques pages, et on se dit, après s'être farci au total près de 4 000 pages : « Tout ça pour ça ? »Eons a écrit :Bon courage. J'ai attaqué la suite en question, Le gouffre de l'Absolution : j'en suis à peu près au quart, et il ne s'est encore pratiquement rien passé.Algernon a écrit :Terminé L'Arche de la Rédemption d'Alastair Reynolds. Long, très long, trop long. Les Inhibiteurs attaquent enfin, c'est chouette de revoir les personnages du premier tome, j'aime beaucoup ce qu'est devenu Le Spleen de l'Infini et la fin m'a bien plu. Assez pour me plonger dans la suite. Enfin... pas directement.
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- Eons
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Globalement, ce n'est pas que l'histoire soit mauvaise, mais pour terminer avec une chute tout juste digne d'une novella, ça déçoit... Bref, la montagne qui accouche d'une souris.Amra a écrit :...Eons a écrit :Terminé. En fait, toute la fin est dans l'épilogue de quelques pages, et on se dit, après s'être farci au total près de 4 000 pages : « Tout ça pour ça ? »Eons a écrit :Bon courage. J'ai attaqué la suite en question, Le gouffre de l'Absolution : j'en suis à peu près au quart, et il ne s'est encore pratiquement rien passé.Algernon a écrit :Terminé L'Arche de la Rédemption d'Alastair Reynolds. Long, très long, trop long. Les Inhibiteurs attaquent enfin, c'est chouette de revoir les personnages du premier tome, j'aime beaucoup ce qu'est devenu Le Spleen de l'Infini et la fin m'a bien plu. Assez pour me plonger dans la suite. Enfin... pas directement.
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