Yvan a écrit :Lucie, je comprends bien qu'un éditeur ne lit pas un manuscrit comme un lecteur, mais avec un interligne double et des pages recto, y a moyen de prendre trois fois plus de notes qu'il n'y a de texte... Et puis, le coup de 'pas de tabulations', ça me choque un peu. Il y en a dans presque tous les livres et je m'imagine très mal effacé mes tabulations pour rentrer dans un moule qui semble superflu...
Alors il y a deux choses différentes. Glyphe désire, pour les manuscrits :
• Recto seul
• Double interligne
• 1500 à 2000 caractères par page (ou 230 à 300 mots)
• Pages numérotées
• Reliure spiralée ou toilée (qui permet une ouverture facile du document).
Pour des raisons de coût, nous ne pouvons retourner les manuscrits refusés que s'ils sont accompagnés d'une enveloppe timbrée pour le retour.
Pour des raisons d'organisation et de coût, les Editions Glyphe n'acceptent pas les manuscrits adressés par courriel.
Quant à cette histoire de tabulations, c'est un conseil aux auteurs. Quand on maquette le texte, les tabulations foutent tout en l'air, parce que les logiciels dont se servent les éditeurs utilisent les tabulations pour les tableaux, par exemple. Il vaut bien mieux ne pas débuter un paragraphe par une tabulation ou par une espace, et faire une mise en page type "format", "paragraphe", "retrait de première ligne positif". Ca n'est pas la même chose quand on travaille sur le fichier.
Ce genre de recommandations peut paraître absurde, mais quand on voit ce qu'on reçoit parfois, c'est... indispensable !
D'autres recommandations concernent plus particulièrement les ouvrages scientifiques et n'ont donc pas d'intérêt pour les collections publiant de la fiction. Ne pas oublier que Glyphe est, à l'origine, un éditeur d'essais sur l'histoire de la médecine...