j'ai eu du bol, dans un premier temps je voulais écrire "notre vécu"...dracosolis a écrit :fff intimité, poil au nezMF a écrit :T'es pas non plus obligée de déballer notre intimité partout...
Du sense of wonder à la SF métaphysique
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Sur l'échelle de 0 à 10 du nouveau code d'intérêt des messages pour l'avancement du débat, je donne "moins 2" à celui-là! Et je cote large!dracosolis a écrit :fff intimité, poil au nezMF a écrit :T'es pas non plus obligée de déballer notre intimité partout...dracosolis a écrit :MFmarypop a écrit :<mode>
C'est qui la banane ?
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Oncle Joe
Dans "... littérature d'exploration géographique romancée...", tu as dû sauter le dernier adjectif. Toute une partie de la biblio de Burton est de la fiction, tellement bien faite qu'elle est indémaillable du background de ses explorations.Fabien Lyraud a écrit :C'est du documentaire et non de la fiction et en plus c'est largement teinté de valeurs colonialistes (en tout cas pour ce qui se faisait en France). Je parle uniquement du roman.MF a écrit :C'est moi ou toute la littérature d'exploration géographique romancée (Burton, par exemple [ne pas oublier au passage que c'est le personnage principal du Monde du Fleuve]) va à l'encontre de ce que tu dis ?Fabien Lyraud a écrit :En effet aux 17éme et 18éme l'on trouve toute une littérature de voyage, littérature exotique dont la raison d'être est de parler du relativisme culturel.
...
Après au 19éme plus rien. La littérature est littérature réaliste de critique sociale. L'altérité n'est plus un thème à la mode.
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en péché capital, je vois bien celui que je pourrais te coller là, tonton^^Lensman a écrit :Sur l'échelle de 0 à 10 du nouveau code d'intérêt des messages pour l'avancement du débat, je donne "moins 2" à celui-là! Et je cote large!dracosolis a écrit :fff intimité, poil au nezMF a écrit :T'es pas non plus obligée de déballer notre intimité partout...dracosolis a écrit :MFmarypop a écrit :<mode>
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Verne, il va y avoir quelqu'un pour te dire que c'est pas de la sf mais du "merveilleux scientifique"Nébal a écrit :Euh... Et Verne (justement), c'est du poulet ?
(Pour ne citer qu'un exemple.)
(n'empêche que là aussi MF a eu du bol)

Modifié en dernier par dracosolis le mer. janv. 06, 2010 3:23 pm, modifié 1 fois.
Oué, mais là, c'est pas la question.dracosolis a écrit :Verne, il va y avoir quelqu'un pour te dire que c'est pas de la sf mais du "merveilleux scientifique"Nébal a écrit :Euh... Et Verne (justement), c'est du poulet ?
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Ca l'a été, ça l'a été. Quelque part dans les 300 pages. En même temps que Bradbury.Nébal a écrit :Oué, mais là, c'est pas la question.dracosolis a écrit :Verne, il va y avoir quelqu'un pour te dire que c'est pas de la sf mais du "merveilleux scientifique"Nébal a écrit :Euh... Et Verne (justement), c'est du poulet ?
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C'est donc aussi l'un des aspects du métier de forumeur ?Roland C. Wagner a écrit :
On m'a reproché d'avoir employé (bon, entre autres) le terme "bullshit, or le titre de la première partie du dernier billet de blog de Hal Duncan est "Ordure and Bullshit".
L'un des aspects du métier d'écrivain, c'est la quête du mot juste.
La phrase de Duncan montre bien, en tout cas, que le besoin de rejeter le "mainstream" pour définir et consolider le genre est impérieux... C'est très tentant, et sans doute assez réconfortant, de se définir contre un ordre établi, un académisme littéraire. Sauf que justement, le propre de la littérature est, et a toujours été, de s'en écarter.Roland C. Wagner a écrit : En fait, je voulais suggérer que, si j'avais écrit le billet en question, je m'en serais pris plein la tronche de la part de certaines personnes qui portent aux nues Hal Duncan.
Et là, ben, je rigole.
Quant à Hal Duncan, je ne pense pas que ce soit vraiment lui que certaines personnes "portent aux nues" (encore que ce terme soit exagéré), mais son oeuvre.
François - http://malioutine.overblog.com/
Sophiste !Shalmaneser a écrit :Quant à Hal Duncan, je ne pense pas que ce soit vraiment lui que certaines personnes "portent aux nues" (encore que ce terme soit exagéré), mais son oeuvre.
(Bwahahaha.)
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
Justement, j'ai tendance à penser que la SF n'est que partiellement de la littérature. Il vaut mieux regarder ça comme un phénomène d'ensemble, se manifestant de manières très variées (et notamment socialement), sinon, c'est peu compréhensible, et surtout, ça perdrait pas mal de son intérêt...Shalmaneser a écrit :[Sauf que justement, le propre de la littérature est, et a toujours été, de s'en écarter.
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Toi, tu n'as pas lu l'article.Shalmaneser a écrit :La phrase de Duncan montre bien, en tout cas, que le besoin de rejeter le "mainstream" pour définir et consolider le genre est impérieux... C'est très tentant, et sans doute assez réconfortant, de se définir contre un ordre établi, un académisme littéraire. Sauf que justement, le propre de la littérature est, et a toujours été, de s'en écarter.
Comme je suis d'excellente humeur, je ma réponse à ta réaction ci-dessus sera gentille : je pense que c'est un ramassis de clichés poussiéreux et moisis, indignes du XXIe siècle et des révolutions culturelles (1) qui s'y produiront, qui sont déjà en train de s'y produire.
Œuvre dont cet article fait partie.Shalmaneser a écrit :Quant à Hal Duncan, je ne pense pas que ce soit vraiment lui que certaines personnes "portent aux nues" (encore que ce terme soit exagéré), mais son oeuvre.
(1) Je précise que j'emploie cette expression dans son sens propre, et non dans celui que lui donnaient les maoïstes.
« Regarde vers Lorient / Là tu trouveras la sagesse. » (Les Cravates à Pois)
الكاتب يكتب
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Bien lancé! Tu devrais venir plus souvent sur ce fil, où on aime bien employer des mots et des expressions compliqués (métaphysique, bonne foi, sophisme...)Nébal a écrit :Sophiste !Shalmaneser a écrit :Quant à Hal Duncan, je ne pense pas que ce soit vraiment lui que certaines personnes "portent aux nues" (encore que ce terme soit exagéré), mais son oeuvre.
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Je ne dis pas que la SF n'est que littérature. Je dis simplement qu'on peut étudier les textes de SF comme des textes littéraires, que le champ d'investigation de la SF recoupe celui de la littérature à partir du moment où elle utilise les ressources de la fiction. C'est une perspective possible parmi d'autres.Lensman a écrit :Justement, j'ai tendance à penser que la SF n'est que partiellement de la littérature. Il vaut mieux regarder ça comme un phénomène d'ensemble, se manifestant de manières très variées (et notamment socialement), sinon, c'est peu compréhensible, et surtout, ça perdrait pas mal de son intérêt...Shalmaneser a écrit :[Sauf que justement, le propre de la littérature est, et a toujours été, de s'en écarter.
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