Piratage. Quoi, qui, pourquoi...
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Pour Ergo Proxy la première moitié de la série est très bien c'est ensuite que ça part en couille. Et si ça pouvait être la qualité moyenne d'une oeuvre pour ado, ce serait tellement génial.
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Le blog impertinent des littératures de l'imaginaire :
http://propos-iconoclastes.blogspot.com
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J'espère bien que non. C'est vraiment trop fanique et trop otaku. Ca ne parle qu'aux gens qui ont déjà les références. Je préfère nettement une série plus populaire comme "Code Geass" qui se prend moins au sérieux, très ado (dans le genre filles à moitié nues et gros robot) et très bien construite avec une fin superbe (dans les meilleures fin de séries d'animation que je connaisse).Fabien Lyraud a écrit :Pour Ergo Proxy la première moitié de la série est très bien c'est ensuite que ça part en couille. Et si ça pouvait être la qualité moyenne d'une oeuvre pour ado, ce serait tellement génial.
"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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Je reviens sur les bouquins, où mon écureuil adoré à farpaitement raison. Le seul chose qui freine encore le piratage des bouquins, c'est le petit nombre de bouquins sous format déjà numérisé. C'est long de scanner un livre et de faire tourner l'OCB (pardon, l'OCR, pas pu m'empêcher...
) : la preuve, les sites qui numérisent déjà les livres de plus de 70 ans demandent très souvent des bras en renfort pour mettre en lignes ces textes gratuits. Seul les très grosses sorties (Eragon ou HP) sont scannés avant leur sortie papier.
Bien sûr quand l'offre en France sera la même qu'aux States, ça va changer, comme c'est en train de changer là bas...

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"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
- orcusnf
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d'ailleurs, ils indiquent souvent et à plusieurs reprises dans l'épisode subbé d'acheter la version licenciée quand elle sortira en france, preuve que c'est plus un travail de fan qu'une véritable volonté de nuire, c'est même une sorte de pub...ah zut je me suis démasqué.erion a écrit : La plupart des gros groupes de fansubs (ceux qui ont entre 10 et 12 personnes s'occupant de plusieurs séries en même temps, avec un site dédié, tout ça) ont créé leur propre règle morale d'arrêter de sous-titrer des épisodes dès que la série est achetée par un éditeur local.
http://www.fantastinet.com l'actualité de la littérature de l'imaginaire
Enfin, c'est un encouragement très... rhétorique, hein. Tout le monde sait ce qu'il en est en réalité.orcusnf a écrit : d'ailleurs, ils indiquent souvent et à plusieurs reprises dans l'épisode subbé d'acheter la version licenciée quand elle sortira en france, preuve que c'est plus un travail de fan qu'une véritable volonté de nuire, c'est même une sorte de pub...ah zut je me suis démasqué.
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- orcusnf
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ouais évidemment, mais les groupes subbeurs sont meilleurs que ceux de streaming, euh prennent carrément les version licenciées. ( mais bon en même temps, je viens de voir cow boy bebop à 50€ pour l'intégrale, alors que ça a plus de 10 ans, ya des moments, faut pas abuser non plus)Erion a écrit :Enfin, c'est un encouragement très... rhétorique, hein. Tout le monde sait ce qu'il en est en réalité.orcusnf a écrit : d'ailleurs, ils indiquent souvent et à plusieurs reprises dans l'épisode subbé d'acheter la version licenciée quand elle sortira en france, preuve que c'est plus un travail de fan qu'une véritable volonté de nuire, c'est même une sorte de pub...ah zut je me suis démasqué.
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- Jean-Claude Dunyach
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Comparons avec la musique et les films.Le_navire a écrit :Le seul chose qui freine encore le piratage des bouquins, c'est le petit nombre de bouquins sous format déjà numérisé. C'est long de scanner un livre et de faire tourner l'OCB (pardon, l'OCR, pas pu m'empêcher...)
Transformer un CD de musique en MP3 ? 5 minutes sur itunes, sur PC ou Mac, sans connaissance particulière. Qualité obtenue ? Ca dépend du paramétrage des mp3, mais en général bonne. Facilité d'utilisation du mp3 ? Enorme : c'est directement écoutable sur la plupart des chaînes stéréos récentes, les baladeurs numériques, etc. Et ça se copie/télécharge en un rien de temps.
Donc un morceau de musique en mp3 est facile à obtenir, à utiliser et à copier, et le résultat obtenu est suffisamment proche de l'original pour satisfaire la quasi-totalité des utilisateurs. Et c'est gratuit.
Côté films, recopier un DVD ou le transformer en film .AVI est assez simple - plein de programmes existent pour ce faire - quoi qu'un peu long (plusieurs heures, une nuit au maximum). Après, ça se regarde sur une télé si on a un disque multimédia, ou un lecteur DVD qui lit les AVI (c'est le cas de tous ceux qui ont moins de deux ou trois ans). La qualité est plutôt bonne, surtout si le DVD est récent.
Donc, un film est assez facile à obtenir - on parle surtout de téléchargement mais c'est méconnaître les réseaux de copie entre potes (vous n'imaginez pas le nombre de gens qui se baladent avec un disque dur de poche de quelques centaines de gigaoctets quand ils vont à une soirée chez les copains, manière d'échanger leurs bibliothèques) - et s'utilise comme un DVD.
Par contre, un bouquin scanné doit être vérifié (les OCR ne sont pas parfaits), c'est une opération assez longue et peu automatisable, surtout pour le grand public. La qualité n'est pas toujours au rendez vous, en particulier pour les bouquins mélangeant textes et images. Et on ne peut lire le fichier que sur un ordinateur, donc dans des conditions d'utilisation très différentes du livre.
Changez les conditions d'utilisation des fichiers texte, habituez le public à lire sur des e-books, et il y aura du piratage. Mais pour l'instant, la situation entre la musique, les films et les livres n'est pas vraiment comparable.
Je compte pour 1. Comme chacun de vous...
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- bormandg
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Bon, y'a longtemps qu'on a généralisé et déformé; le mot n'était pas déposé sous copyright.justi a écrit :Alors, quelques petites remarques et anecdotes sur le piratage.
1. Le mot me semble peu approprié. Un pirate, pour moi, ça aborde des navires, ça tue des gens, ça viole des femmes, ça a une jambe en bois ou un crochet en guise de main.
Je saute quelques remarques que je ne conteste pas, faute de connaissance du sujet.
Dans la mesure où le mot "capitaliste" désigne les accapareurs pré-capitalistes qui prétendent continuer à ignorer les droits des petits actionnaires, que le capitalisme voulait défendre, passons sur ce mot. En revanche il est inacceptable d'appeler "libéral" le système féodaliste et impunitariste qui prétend nier les droits desz non accapareurs.justi a écrit : 4. La loi Hanopi me paraît donc, comme beaucoup d'autres, une loi capitaliste, libérale et scélérate, destinée à protéger les acquis injustifiés d'une minorité de sociètés, de stars et d'actionnaires privilégiés. Elle ne s'intèresse en aucun cas à l'art et à la création.
Tu as oublié... Si on n'est pas allé jusqu'à une loi d'interdiction des cassettes, c'était parce que les constructeurs de magnétophones ont contré la propagande de leurs confrères des maisons de disques. Pour les K7 vidéo, on a eu la loi Filloux, tu t'en rappelles?justi a écrit :5. Je ne me rappelle pas qu'on ait fait un tel foin lors de l'apparition des K7 audio, qui causaient pourtant elles aussi un nombre considérable de copies illégales.
Certains ont compris que ce "piratage" leur apporte une publicité gratuite et n'attaque pas (encore) leurs marges.justi a écrit :7. On peut trouver assez facilement des e-books copiés sur internet. En anglais et en espagnol principalement, le monde francophone accusant un réel retard dans ces pratiques. Oui, il est facile de trouver Fondation et ses suites (en anglais) sur la mule, par exemple. Je ne crois pas que, à l'heure actuelle, les pratiques de "piratage" littéraire causent un immense préjudice aux éditeurs.
C'est tout pour l'instant

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
http://www.ecrans.fr/Hadopi-Jamendo-rip ... ,6620.html
Hadopi : Jamendo riposte avec le remerciement gradué
La plateforme de musique libre Jamendo prend le contrepied de la loi Hadopi pour promouvoir son modèle gratuit, légal et ouvert.
par Alexandre Hervaud
tags : musique , creative commons , droits d’auteur , HADOPI
CC Alexandre Hervaud
Site référence en matière de musique sous licence libre (le dernier Nine Inch Nails l’était) Jamendo est une plateforme disponible en sept langues proposant un catalogue varié – tous les styles étant représentés, même le heavy metal grec- et comptant déjà plus de 500 000 membres inscrits. Gratuites et sous licence Creative Commons, les pistes peuvent être écoutées sur le site, en streaming ou téléchargés en mp3 de bonne qualité.
Surfant sur l’actualité et en réaction à la notion de riposte graduée prévue par la loi « Création et Internet », Jamendo vient d’annoncer sa volonté d’instaurer le « remerciement gradué ». Le principe est simple, et tient lui aussi en trois étapes. La première : pour un titre téléchargé -gratuitement, rappelons-le- via Jamendo, l’internaute recevra un mail de remerciement. Pour la deuxième, inspirée par l’envoi de courrier recommandé prôné par la loi débattue actuellement, il s’agira d’envoyer par la poste à l’internaute une lettre de remerciement ainsi que des documents promotionnels (stickers, communiqués, etc.). Et pour les « multi-récidivistes », comme Jamendo les surnomme ironiquement sur son blog, un mois d’abonnement Internet sera remboursé en cas de parrainage d’un lieu public (bar, restaurant) nouvellement inscrit à Jamendo PRO.
« On souhaitait montrer qu’il y a une autre voie au tout repressif, et qu’il existe des artistes qui ont tout compris au web », nous a confié Sylvain Zimmer, le fondateur du site, depuis son bureau au Luxembourg. « C’est une action en accord avec notre mentalité. Nous ne tapons pas sur les majors, d’ailleurs nous ne sommes pas anti-système, ça nous arrive d’écouter Madonna ou Radiohead ». Depuis quelques temps, Jamendo, qui se veut une véritable alternative à la Sacem en rétribuant les artistes de manière plus juste, propose deux solutions pour « monétiser » la musique de son catalogue. D’une part en proposant de sonoriser des lieux publics, qui paient une modique somme pour pouvoir diffuser en streaming des morceaux sous licence libre. D’une autre, en proposant à des sociétés de production d’utiliser les morceaux en bande-son : une piste a ainsi récemment été choisie par la chaîne franco-allemande Arte pour illustrer un documentaire.
« Dès la semaine prochaine, une interface automatique sera mise en place pour les sociétés désirant utiliser un morceau en illustration sonore, elles pourront l’acheter directement en ligne, sans intermédiaire, et recevront le certificat d’utilisation par mail avec le morceau », prévient Zimmer, qui suit attentivement les débats sur la loi Hadopi. « Il faut montrer que de nouveaux modèles peuvent s’imposer ».
Hadopi : Jamendo riposte avec le remerciement gradué
La plateforme de musique libre Jamendo prend le contrepied de la loi Hadopi pour promouvoir son modèle gratuit, légal et ouvert.
par Alexandre Hervaud
tags : musique , creative commons , droits d’auteur , HADOPI
CC Alexandre Hervaud
Site référence en matière de musique sous licence libre (le dernier Nine Inch Nails l’était) Jamendo est une plateforme disponible en sept langues proposant un catalogue varié – tous les styles étant représentés, même le heavy metal grec- et comptant déjà plus de 500 000 membres inscrits. Gratuites et sous licence Creative Commons, les pistes peuvent être écoutées sur le site, en streaming ou téléchargés en mp3 de bonne qualité.
Surfant sur l’actualité et en réaction à la notion de riposte graduée prévue par la loi « Création et Internet », Jamendo vient d’annoncer sa volonté d’instaurer le « remerciement gradué ». Le principe est simple, et tient lui aussi en trois étapes. La première : pour un titre téléchargé -gratuitement, rappelons-le- via Jamendo, l’internaute recevra un mail de remerciement. Pour la deuxième, inspirée par l’envoi de courrier recommandé prôné par la loi débattue actuellement, il s’agira d’envoyer par la poste à l’internaute une lettre de remerciement ainsi que des documents promotionnels (stickers, communiqués, etc.). Et pour les « multi-récidivistes », comme Jamendo les surnomme ironiquement sur son blog, un mois d’abonnement Internet sera remboursé en cas de parrainage d’un lieu public (bar, restaurant) nouvellement inscrit à Jamendo PRO.
« On souhaitait montrer qu’il y a une autre voie au tout repressif, et qu’il existe des artistes qui ont tout compris au web », nous a confié Sylvain Zimmer, le fondateur du site, depuis son bureau au Luxembourg. « C’est une action en accord avec notre mentalité. Nous ne tapons pas sur les majors, d’ailleurs nous ne sommes pas anti-système, ça nous arrive d’écouter Madonna ou Radiohead ». Depuis quelques temps, Jamendo, qui se veut une véritable alternative à la Sacem en rétribuant les artistes de manière plus juste, propose deux solutions pour « monétiser » la musique de son catalogue. D’une part en proposant de sonoriser des lieux publics, qui paient une modique somme pour pouvoir diffuser en streaming des morceaux sous licence libre. D’une autre, en proposant à des sociétés de production d’utiliser les morceaux en bande-son : une piste a ainsi récemment été choisie par la chaîne franco-allemande Arte pour illustrer un documentaire.
« Dès la semaine prochaine, une interface automatique sera mise en place pour les sociétés désirant utiliser un morceau en illustration sonore, elles pourront l’acheter directement en ligne, sans intermédiaire, et recevront le certificat d’utilisation par mail avec le morceau », prévient Zimmer, qui suit attentivement les débats sur la loi Hadopi. « Il faut montrer que de nouveaux modèles peuvent s’imposer ».
Pour le point 4, je suis tout à fait disposé à ne garder que l'adjectif "scélérate" pour qualifier cette loi.bormandg a écrit :Dans la mesure où le mot "capitaliste" désigne les accapareurs pré-capitalistes qui prétendent continuer à ignorer les droits des petits actionnaires, que le capitalisme voulait défendre, passons sur ce mot. En revanche il est inacceptable d'appeler "libéral" le système féodaliste et impunitariste qui prétend nier les droits desz non accapareurs.justi a écrit : 4. La loi Hanopi me paraît donc, comme beaucoup d'autres, une loi capitaliste, libérale et scélérate, destinée à protéger les acquis injustifiés d'une minorité de sociètés, de stars et d'actionnaires privilégiés. Elle ne s'intèresse en aucun cas à l'art et à la création.
Tu as oublié... Si on n'est pas allé jusqu'à une loi d'interdiction des cassettes, c'était parce que les constructeurs de magnétophones ont contré la propagande de leurs confrères des maisons de disques. Pour les K7 vidéo, on a eu la loi Filloux, tu t'en rappelles?justi a écrit :5. Je ne me rappelle pas qu'on ait fait un tel foin lors de l'apparition des K7 audio, qui causaient pourtant elles aussi un nombre considérable de copies illégales.
Pour le point 5, non je ne me souviens pas de la loi Filloux. Faut dire que je suis belge. Mais, manifestement, j'ai sous-estimé la levée de boucliers occasionnée par les K7 en leur époque (cfr également commentaire de bb) et je retire donc ma remarque.
Voilà voilà...
tout d'accord sauf sur ce point : du moment qu'on a une liseuse, (aux US c'est le cas de plus de 2 millions de personnes, même si en France on est encore que quelques dizaines de milliers) on lit tout dessus, la manip est hyper simple.Jean-Claude Dunyach a écrit :. Et on ne peut lire le fichier que sur un ordinateur, donc dans des conditions d'utilisation très différentes du livre.
"Ils ne sont grands que parce que vous êtes à genoux"
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Et les livres-lus ? Quelqu'un sait si on peut les télécharger sur le net ? Après tout, c'est un support cd, donc piratable...
Je pense par exemple au "polar suédois" d'Oncle Joe (Millenium, pour ne pas le nommer), qu'on trouve d'ores et déjà dans sa version cd. Là je suis au travail, je peux pas vérifier s'il est disponible, mais j'avoue que je serai assez curieux de savoir si ce type de produit aussi est disponible au téléchargement...
Quelqu'un se dévoue, où je ronge mon frein en attendant de voir par moi-même ?
Je pense par exemple au "polar suédois" d'Oncle Joe (Millenium, pour ne pas le nommer), qu'on trouve d'ores et déjà dans sa version cd. Là je suis au travail, je peux pas vérifier s'il est disponible, mais j'avoue que je serai assez curieux de savoir si ce type de produit aussi est disponible au téléchargement...
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La meilleure preuve que l' homme n' est pas fait pour le travail, c' est que ça le fatigue... (Mark Twain)
- orcusnf
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tu veux parler des livres audios ? Je sais qu'en Allemagne, c'est un support très répandu, et qu'une grande partie des best sellers finissent par s'y retrouver. Donc on peut probablement les télécharger. ( le rayon livre audio est plus grand que le rayon sf d'ailleurs...)M le maudit a écrit :Et les livres-lus ? Quelqu'un sait si on peut les télécharger sur le net ? Après tout, c'est un support cd, donc piratable...
Je pense par exemple au "polar suédois" d'Oncle Joe (Millenium, pour ne pas le nommer), qu'on trouve d'ores et déjà dans sa version cd. Là je suis au travail, je peux pas vérifier s'il est disponible, mais j'avoue que je serai assez curieux de savoir si ce type de produit aussi est disponible au téléchargement...
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Moi qui suis un grand naïf, voilà ce que j'aimerais voir plus souvent comme piratage: la mise à disposition de trucs qu'il est impossible de se procurer en payant.
Je suis vraiment à côté de la plaque, hein?
D'ailleurs, et ça doit toujours exister, bien sûr, je me souviens que de mon temps, on appelait plutôt "pirates", en musique, des enregistrements de tel ou tel concert public qui par ailleurs n'était pas édité (i.e qu'il était parfaitement impossible d'avoir autrement). Là, ça avait un peu de gueule...
Parfois, ces "pirates" poussaient les éditeurs à sortir les enregistrements piratés dans de meilleures conditions sonores(à partir d'une autre source, meilleure, ou en nettoyant la source d'origine utilisée par le pirate). Voilà une activité qui voulait dire quelque chose. Les temps ont bien changé, je parie que mes pirates constituent aujourd'hui une infime minorité de ce que l'on appelle le piratage, que moi j'appellerais plutôt contrefaçon...
Oncle Joe
Je suis vraiment à côté de la plaque, hein?
D'ailleurs, et ça doit toujours exister, bien sûr, je me souviens que de mon temps, on appelait plutôt "pirates", en musique, des enregistrements de tel ou tel concert public qui par ailleurs n'était pas édité (i.e qu'il était parfaitement impossible d'avoir autrement). Là, ça avait un peu de gueule...
Parfois, ces "pirates" poussaient les éditeurs à sortir les enregistrements piratés dans de meilleures conditions sonores(à partir d'une autre source, meilleure, ou en nettoyant la source d'origine utilisée par le pirate). Voilà une activité qui voulait dire quelque chose. Les temps ont bien changé, je parie que mes pirates constituent aujourd'hui une infime minorité de ce que l'on appelle le piratage, que moi j'appellerais plutôt contrefaçon...
Oncle Joe
Dans certains cas, on peut même télécharger légalement ce genre de choses, et à profusion.Lensman a écrit :Moi qui suis un grand naïf, voilà ce que j'aimerais voir plus souvent comme piratage: la mise à disposition de trucs qu'il est impossible de se procurer en payant.
Je suis vraiment à côté de la plaque, hein?
Jette un coup d'œi ici, par exemple.
(Tous les fans du Grateful Dead, s'il y en a parmi nous, devraient vraiment cliquer sur le lien ci-dessus.)