Le coup de gueule de Bernard Werber
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Je ne sais pas, c'est peut-être un exemple à part mais les amateurs de musique que je connais et qui s'intéressent à la country, ou à une certaine frange du rock influencée par la country et l'"americana", sont aussi ceux qui s'intéressent le plus aux textes des chansons. Ils sont effectivement minoritaires, mais je pense comme Erion que le manque d'intérêt pour la country en France est sans doute lié à l'importance des textes.Lucie a écrit :Il est possible aussi que ce qu'on appelle country en France ne soit pas tout à fait la même chose que ce qu'on appelle country aux USA (la programmation du festival de Mirande est parfois surréaliste, et c'est là que c'est le meilleur). De plus, les Français qui écoutent de la country se fichent des paroles : ils ne les comprennent pas.
- Jean-Claude Dunyach
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Bien d'accord...Sand a écrit :On peut aussi apprendre à relativiserLucie a écrit :Il est possible aussi que ce qu'on appelle country en France ne soit pas tout à fait la même chose que ce qu'on appelle country aux USA (la programmation du festival de Mirande est parfois surréaliste, et c'est là que c'est le meilleur). De plus, les Français qui écoutent de la country se fichent des paroles : ils ne les comprennent pas.
Mais même si les maisons de disque l'affirment elles-mêmes, je persiste à dire que c'est faux : il y a quand même quelque chose qui s'exporte en France sous le nom de country !
edit : après, c'est peut-être le mot "exportation" qu'il nous faudrait définir![]()
Quand on dit "les nouvelles ça se vend pas", bien sûr que quelques recueils et quelques anthologies sont achetés...
Ce n'est pas pour autant que l'affirmation est mensongère. Les mots sont importants mais la langue est souple.
Aux USA, la Country c'est un truc énorme, avec des radios spécialisées, des stars dont on n'a jamais entendu parler par ici, tout un imaginaire associé à ça, etc. En France, on voit certes passer quelques trucs qui s'exportent sous ce nom mais c'est epsilonesque. Et, au passage, mettre Sanseverino sous l'étiquette Country (dans le lien de Lucie), c'est à se taper le cul par terre

Je compte pour 1. Comme chacun de vous...
http://www.dunyach.fr/
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Il y a Sanseverino, cette année ? Je n'avais pas vu ! Remarque, après Little Bob, Charlie Mc Coy, et Bill Wyman, plus rien ne m'étonneJean-Claude Dunyach a écrit :Bien d'accord...Sand a écrit :On peut aussi apprendre à relativiserLucie a écrit :Il est possible aussi que ce qu'on appelle country en France ne soit pas tout à fait la même chose que ce qu'on appelle country aux USA (la programmation du festival de Mirande est parfois surréaliste, et c'est là que c'est le meilleur). De plus, les Français qui écoutent de la country se fichent des paroles : ils ne les comprennent pas.
Mais même si les maisons de disque l'affirment elles-mêmes, je persiste à dire que c'est faux : il y a quand même quelque chose qui s'exporte en France sous le nom de country !
edit : après, c'est peut-être le mot "exportation" qu'il nous faudrait définir![]()
Quand on dit "les nouvelles ça se vend pas", bien sûr que quelques recueils et quelques anthologies sont achetés...
Ce n'est pas pour autant que l'affirmation est mensongère. Les mots sont importants mais la langue est souple.
Aux USA, la Country c'est un truc énorme, avec des radios spécialisées, des stars dont on n'a jamais entendu parler par ici, tout un imaginaire associé à ça, etc. En France, on voit certes passer quelques trucs qui s'exportent sous ce nom mais c'est epsilonesque. Et, au passage, mettre Sanseverino sous l'étiquette Country (dans le lien de Lucie), c'est à se taper le cul par terre.

C'est parce que nous sommes passés par la case "La Vieille Édentée et le Troll Incontinent."Lisore a écrit :Mais, effectivement, le phénomène est intéressant (j'ai loupé dix pages, ça doit être pour ça que je ne comprends pas le rapport...)
Après ça, tous les chemins mènent...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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La country ça peut faire bon ménage avec la SF en plus :
http://scifisongs.blogspot.com/2008/05/music.html
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Ah ben tiens :
http://io9.com/5509927/warner-bros-deci ... ed-is-kill
Why is Warners spending millions of dollars to adapt a Japanese novel you've never heard of? Well, because it sounds awesome.
The world of Japanese literature can be alienating to western readers — primarily, I suppose, because most of it's in Japanese. But there are gems to be found, and Hiroshi Sakurazaka's novel is one of them. All You Need is Kill follows one young soldier — recruited to fight an alien invasion — who cannot die. Actually, he can die...and does, on the battlefield, every day, only to wake up every morning to do it all over again. And, each new day finds this recruit getting stronger and smarter — until he figures out how to stop the cycle.
Originally published in Japan by Shueisha and imported by VIZ Media's Haikasoru imprint, Kill was adapted by Dante Harper — who most recently tackled Disney's upcoming Black Hole remake and who took a gamble and wrote Kill on spec, only to reap a seven-figure payday. So pleased were Warner with Harper's script that they agreed to a clause in the contract that would all but demand that All You Need is Kill would start shooting within a year.
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"There's an old Earth saying, Captain. A phrase of great power and wisdom. A consolation to the soul, in times of need : Allons-y !" (The Doctor)
http://melkine.wordpress.com/
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MOUAHAHAHA !
35 pages de topic depuis le 29 mars, hallucine ! Je n'aurais jamais cru que le gars des fourmis déclenchait de telles passions !
Perso, je n'ai jamais lu aucun de ses livres, même si pour avoir oublié de prendre un bouquin pour un trajet en avion, je me suis déjà payé chez le RELAY des aérogares un certain nombre de daubes et quelques bonnes surprises (comme la série des P TREMAYNE comme polars) mais ceux là ne m'ont jamais tenté !
Pour la country, nous avons un bal folk/country organisé dans le village dans quelques semaines, viendez, il y aura du monde, et même des enragés qui savent danser (pour ceux qui préfèrent regarder que de se taper la honte à se trémousser)
Pour le mariage de la country avec la SF, je vous recommande le scénario "espécial" de Jean ...
A+
35 pages de topic depuis le 29 mars, hallucine ! Je n'aurais jamais cru que le gars des fourmis déclenchait de telles passions !
Perso, je n'ai jamais lu aucun de ses livres, même si pour avoir oublié de prendre un bouquin pour un trajet en avion, je me suis déjà payé chez le RELAY des aérogares un certain nombre de daubes et quelques bonnes surprises (comme la série des P TREMAYNE comme polars) mais ceux là ne m'ont jamais tenté !
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Le seul bon humain est un humain mort, et encore, généralement, il pue
(proverbe Xeno récupéré sur un fanzine à la convention de SF de Bordeaux il y a très, très longtemps).
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- dracosolis
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C'est moi.dracosolis a écrit :OKIriathul a écrit :je ne remercierai jamais assez le type qui m'a fait découvrir ce forum sur la country sf de werber
encore merci le type
qui t'a envoyé ici ?
(merci Iria, tu gardes tes rotules cette fois-ci)
La discussion sur Werber m'intéressait. J'ai mis la vidéo sur deux forums non-SF pour voir comment ça réagissait.
J'ai eu ceci (florilège) :
Ce qui me fait penser qu'on peut parler du bonhomme, de ce qu'il dit, de ce qu'il écrit, et n'être pas d'accord, le tout sans sortir les couteaux ni les grandes orgues.Pas SFistes a écrit :"... il ne fait que reprendre les propos de nombreux critiques actuels sur la littérature, à savoir qu'elle ne véhicule plus de grandes idées ou de grandes histoires mais qu'elle est très centrée sur l'individu... (Eric Naulleau ne dit pas autre chose...) "
"Quant aux préjugés sur la littérature dite populaire, ça ne veut pas dire grand-chose quand on sait que Alexandre Dumas, Jules Verne, Victor Hugo et même le grand Balzac ont été classés dans la littérature populaire à leur époque..."
"La “chiantitude” n’est pas nécessairement l’appanage des biographies. Combien de fictions ne sont-elles pas navrantes de platitude ?
Il s’agit là à mon avis d’un faux débat. Il y a des auteurs chiants et d’autres qui ont le talent de la narration, quel que soit leur propos."
"J'ai l'impression que les sujets, les angles d'attaques changent avec les époques et leurs préoccupations, et que les auteurs qui "restent" peuvent être tout à fait de leur époque, ou tout à fait à contre courant, mais qu'ils ont toujours un petit quelque chose "en plus", leur nombril leur servirait pour tisser un lien imaginaire avec les nombrils de ceux qui lisent..."
"Ma petite théorie personnelle c'est que c'est une question d'architecture dans laquelle l'espace qu'on accorde à l'autre est primordiale. L'autre étant à la fois le lecteur et l'autre en général, le monde. Peu importe quels matériaux on utilise, c'est le travail par lequel on les agence entre eux qui va faire une oeuvre. "
"J'ai commencé Les fourmis. Je ne suis pas allée bien loin dans ma lecture. J'ai trouvé ça très chiant et sans intérêt. Une vrai perte de temps pour moi de lire ce genre de livre.
Par contre, j'aime beaucoup les livres autobiographique. J'ai du mal à analyser pourquoi. Je crois que j'aime bien ce qui est vrai, ce qui se rapproche de la vraie vie, ce qui est sincère. J'aime bien la façon dont un écrivain peut parler du réel."
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