Éditeurs français
Modérateurs : Estelle Hamelin, Eric, jerome, Jean, Travis, Charlotte, tom, marie.m
Salut, Mireldar!
En fait, Joseph Altairac est un de mes pseudos...
Je pense avoir (à peu près) compris la question, mais je me garderais bien d'y répondre, car cela demanderait du travail...
Pour le problème des bénévoles, je suis d'accord avec Jean-Claude.
Rien n'interdit, cependant, de communiquer avec les professionnels et de leurs faire amicalement des suggestions. Cela se fait d'ailleurs assez souvent. Mais chacun son rôle. Ils ont leurs responsabilités professionnelles, c'est déjà considérable à gérer.
Sur les réponses types (problème soulevé par un autre camarade), vraiment, je pense qu'il est difficile de faire autrement. S'il y a quelque chose à dire (par exemple, cela arrive, si l'éditeur se rend compte que le manuscrit pourrait intéresser un collègue), l'éditeur le signale s'il en a la possibilité.
Il faut bien se rendre compte que les éditeurs ne sont pas un service d'aide à l'écriture. Cela regarde d'autres intervenants.
Evidemment, tout cela a dû déjà être dit dix mille fois ici, mais on aime bien redire les mêmes choses et, ma foi, tout le monde n'a pas en tête en permanence tout ce qui a été déjà dit, et il faut penser aux nouveaux arrivants...
En tout cas, pas d'inquiétude: un très bon manuscrit trouve toujours un débouché (je dis bien un "très bon"...)
Joe
En fait, Joseph Altairac est un de mes pseudos...
Je pense avoir (à peu près) compris la question, mais je me garderais bien d'y répondre, car cela demanderait du travail...
Pour le problème des bénévoles, je suis d'accord avec Jean-Claude.
Rien n'interdit, cependant, de communiquer avec les professionnels et de leurs faire amicalement des suggestions. Cela se fait d'ailleurs assez souvent. Mais chacun son rôle. Ils ont leurs responsabilités professionnelles, c'est déjà considérable à gérer.
Sur les réponses types (problème soulevé par un autre camarade), vraiment, je pense qu'il est difficile de faire autrement. S'il y a quelque chose à dire (par exemple, cela arrive, si l'éditeur se rend compte que le manuscrit pourrait intéresser un collègue), l'éditeur le signale s'il en a la possibilité.
Il faut bien se rendre compte que les éditeurs ne sont pas un service d'aide à l'écriture. Cela regarde d'autres intervenants.
Evidemment, tout cela a dû déjà être dit dix mille fois ici, mais on aime bien redire les mêmes choses et, ma foi, tout le monde n'a pas en tête en permanence tout ce qui a été déjà dit, et il faut penser aux nouveaux arrivants...
En tout cas, pas d'inquiétude: un très bon manuscrit trouve toujours un débouché (je dis bien un "très bon"...)
Joe
- Mîreldar
- Messages : 30
- Enregistré le : mar. avr. 10, 2007 9:45 pm
- Localisation : Montréal QC
- Contact :
Alain le Bussy fait un petit compte rendu de Boréal et la Convention sur SFmag. Il glisse un mot sur la politique culturelle du Québec. C'est par ici