Fahrenheit 451 adapté en BD
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- Stéphane
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Fahrenheit 451 adapté en BD
Lu dans Castermag de printemps 2010 (magazine des éditions Casterman) :
Voilà sans doute l’une des histoires les plus belles et les plus fortes qu’on ait jamais écrites sur la magie des livres et la puissance incomparable de l’imaginaire. Dans ce monde de l’avenir qui pourrait si facilement être le nôtre, le corps des pompiers occupe une place singulière. Ces hommes, en effet, sont chargés par les autorités de brûler les livres interdits par la loi, dans de grands autodafés libérateurs censés purifier la société de toute pensée déviante ou perturbatrice.
Le héros de Fahrenheit 451, Guy Montag, est l’un de ces pompiers. Un homme ordinaire, satisfait de ce métier qu’il exerce depuis dix ans. Mais un soir en quittant son service, il fait la connaissance d’une jeune fille intrigante, Clarisse Mc Clellan, avec laquelle il sympathise. Clarisse a des goûts plutôt étranges – marcher dans les bois, regarder la lune, déambuler sous la pluie –, et raconte des choses saugrenues mais troublantes, comme cette curieuse histoire selon laquelle autrefois, les pompiers éteignaient les incendies au lieu de les allumer. A son contact, Montag va découvrir le pouvoir des livres, et peu à peu devenir l’un de ces réfractaires qu’il est pourtant censé combattre… Fahrenheit 451 (le titre fait référence à la température exacte de combustion du papier exprimée selon la norme américaine, en degrés Fahrenheit) est l’un des plus célèbres romans qu’ait produit la science-fiction américaine d’après-guerre. Adapté au cinéma par François Truffaut dans les années 60, le livre devient désormais une bande dessinée, avec la participation active de son auteur le légendaire Ray Bradbury, toujours fringuant à 90 ans, qui en signe la préface. Menée de main de maître, l’adaptation est réalisée par Tim Hamilton, illustrateur de presse réputé et auteur de bande dessinée.
Sortie en mai.
Voilà sans doute l’une des histoires les plus belles et les plus fortes qu’on ait jamais écrites sur la magie des livres et la puissance incomparable de l’imaginaire. Dans ce monde de l’avenir qui pourrait si facilement être le nôtre, le corps des pompiers occupe une place singulière. Ces hommes, en effet, sont chargés par les autorités de brûler les livres interdits par la loi, dans de grands autodafés libérateurs censés purifier la société de toute pensée déviante ou perturbatrice.
Le héros de Fahrenheit 451, Guy Montag, est l’un de ces pompiers. Un homme ordinaire, satisfait de ce métier qu’il exerce depuis dix ans. Mais un soir en quittant son service, il fait la connaissance d’une jeune fille intrigante, Clarisse Mc Clellan, avec laquelle il sympathise. Clarisse a des goûts plutôt étranges – marcher dans les bois, regarder la lune, déambuler sous la pluie –, et raconte des choses saugrenues mais troublantes, comme cette curieuse histoire selon laquelle autrefois, les pompiers éteignaient les incendies au lieu de les allumer. A son contact, Montag va découvrir le pouvoir des livres, et peu à peu devenir l’un de ces réfractaires qu’il est pourtant censé combattre… Fahrenheit 451 (le titre fait référence à la température exacte de combustion du papier exprimée selon la norme américaine, en degrés Fahrenheit) est l’un des plus célèbres romans qu’ait produit la science-fiction américaine d’après-guerre. Adapté au cinéma par François Truffaut dans les années 60, le livre devient désormais une bande dessinée, avec la participation active de son auteur le légendaire Ray Bradbury, toujours fringuant à 90 ans, qui en signe la préface. Menée de main de maître, l’adaptation est réalisée par Tim Hamilton, illustrateur de presse réputé et auteur de bande dessinée.
Sortie en mai.
- bormandg
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D'autant plus que, si je me souviens bien, les BDs n'étaient pas brulées. Dans le film, en tout cas.Nébal a écrit :On pourra la brûler ?
(Pardon, c'était facile...)
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
Dès l'instant qu'il y avait du texte, si.
Tout ce qui contient du texte est banni dans le film de Truffaut, et renvoyé aux seuls livres interdits ; on voit bien Montague "lire" des sortes de BD, mais elles sont sans texte ; d'où le générique audio, également...
Tout ce qui contient du texte est banni dans le film de Truffaut, et renvoyé aux seuls livres interdits ; on voit bien Montague "lire" des sortes de BD, mais elles sont sans texte ; d'où le générique audio, également...
Hop : Cédric FERRAND, Wastburg
J'aurais préfèré que quelqu'un s'attelle à "La chute de la Maison Usher 2" , ma Chronique martienne préfèrée , sur un thème très proche , avec quelques moments de pur bonheur à retranscrire graphiquement (l'emmurement tiré de "La barrique d'Amontillado" par exemple) .
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"