Euh, Oncle Joe, pour l'intérieur, il y a aussi une maquette.Stéphane, il est question de TEXTE, pas de maquette de couverture...
On a assez râlé sur certaines ici, d'ailleurs...
A+
Patrice
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Comme le dit Joseph, on parle du texte.Stéphane a écrit : Mais je ne vais pas plus m'engouffrer dans le piège que tu me tends... Faisons au maximum que les handicapés aient accès aux mêmes choses que les non handicapés. Mais ne demandons pas aux artistes de voir d'une façon différente de la façon dont ils voient (au sens propre, ou encore plus au sens figuré).
J'ai fait une petite allusion à l'intérieur, aussi...Patrice a écrit :Salut,
Euh, Oncle Joe, pour l'intérieur, il y a aussi une maquette.Stéphane, il est question de TEXTE, pas de maquette de couverture...
On a assez râlé sur certaines ici, d'ailleurs...
A+
Patrice
Oui, on peut aussi passer des photos des Becher en couleur par confort, mais on dénature leur œuvre.Lensman a écrit : On peut avoir la maquette, telle que la voit le maquettiste, et que l'on va apprécier comme telle.
Après avoir apprécié la maquette, y compris celle des pages intérieures avec le texte, rien n'empêche de procéder à des modificactions de confort.
Sur la base de 6,5 milliards d'êtres (officiellement) humains, le 0,00000000001% restant représente 0,065% d'un individu, soit environ 40 g de bidoche. De quel petit fragment de ton anatomie ne te fous-tu pas ?Virprudens a écrit :Je ne vois pas en quoi se foutre des handicapés est mal.
Chacun d'entre nous se fout de 99,99999999999% de l'humanité, alors ...franchement, les handicapés ...
Je savais pas que Lamarck avait fini par avoir raison, tiens ? Je pensais plutôt que les espèces avaient évolué par sélection naturelle et élimination des inadaptés. En fait, même, j'avais dans l'idée que la civilisation humaine avait progressé précisément quand on avait aidé les plus faible, adapté la société à ceux qui n'étaient pas forcément les plus forts et les plus performants.Stéphane a écrit : Or, c'est en s'adaptant qu'on évolue, qu'on apprend, qu'on se sensibilise. Sinon, l'humain serait encore un mollusque pataugeant dans les hauts-fonds d'une mer du paléocène.
Réaction excessive et qui n'a pas beaucoup de sens...Stéphane a écrit :Merci pour les maquettistes : c'est vraiment leur dire que leur travail ne sert à rien.Erion a écrit :Ben non, parce que les lecteurs choisiront la taille de caractère et la mise en page qui leur est la plus agréable. Du coup, peu importe ce que choisissent les auteurs.marc a écrit :Mais si, justement. Tu auras toujours des auteurs qui rempliront plus vite les pages en utilisant des polices de caractères plus grandes et des interlignes plus larges. Le numérique ne change rien au calcul.Erion a écrit :Vivement les livres numériques, on ne sera plus embarrassé par cette question.
(En fait, ça fait râler les éditeurs que de laisser aux lecteurs la possibilité de choisir quelque chose qui leur plaît)
Ce qui enlève tout un aspect de l'édition : choisir le format qui convient au projet (parfois le choix est commercial, et parfois non, mais les gens comme toi s'en foutent, ce qui comptent c'est de vendre des bouquins)
Mouarf !Stéphane a écrit :Vision purement égoïste du lecteur qui croit que l'objet littéraire (le texte et le livre) doit s'adapter à lui, et qu'il ne doit pas s'adapter à l'objet littéraire.
C'est vrai que le maquettiste est l'élément indispensable d'un roman et le sauveur de l'humanité. Au moins.Or, c'est en s'adaptant qu'on évolue, qu'on apprend, qu'on se sensibilise. Sinon, l'humain serait encore un mollusque pataugeant dans les hauts-fonds d'une mer du paléocène.
Allôôôô ? On parle pas du même, là.Cibylline a écrit :Des bons maquettistes, on en a besoin pour faire des sites web
Tout de même, un texte reste un texte, et il peut avoir plusieurs éditions, plusieurs présentations.Stéphane a écrit :Oui, on peut aussi passer des photos des Becher en couleur par confort, mais on dénature leur œuvre.Lensman a écrit : On peut avoir la maquette, telle que la voit le maquettiste, et que l'on va apprécier comme telle.
Après avoir apprécié la maquette, y compris celle des pages intérieures avec le texte, rien n'empêche de procéder à des modificactions de confort.
Vision purement égoïste du lecteur qui croit que l'objet littéraire (le texte et le livre) doit s'adapter à lui, et qu'il ne doit pas s'adapter à l'objet littéraire.
Or, c'est en s'adaptant qu'on évolue, qu'on apprend, qu'on se sensibilise. Sinon, l'humain serait encore un mollusque pataugeant dans les hauts-fonds d'une mer du paléocène.
Après, je ne nie pas les avantages de l'évolution technologique. Mais ne mélangeons pas tout.
Désolée, mais en l'occurrence, perso, je parle bien du même artiste. La personne qui a un tel sens graphique que, sur une page papier, une page web, un salon, un bout de trottoir... elle sait assembler chaque élément pour rendre le tout plus beau.Daelf a écrit :Allôôôô ? On parle pas du même, là.Cibylline a écrit :Des bons maquettistes, on en a besoin pour faire des sites web
(P*tain que je hais ce domaine où le même terme désigne quinze trucs différents >__<)
Comme ce n'est pas exactement la même technique entre un roman et une nouvelle. Mais ça reste de l'écriture. (On peut faire la même avec l'aquarelle, l'huile... Le mec reste un peintre avant tout.)Fifokaswiti a écrit :Juste pas la même technique.Cibylline a écrit :mais c'est le même art.