Trolls et Fantasy : Bonjour Paul ! Merci d’avoir accepté de répondre à nos questions. Alors, La perle et l’enfant, premier tome de la Pucelle de Diable-Vert, est également ton premier roman. Est-ce que tu peux nous parler un peu de la genèse du projet ?
Paul Beorn : Je me suis dit un jour « et si j’écrivais de la fantasy, pour changer ? » Ce roman est le résultat de cette idée bizarre… A vrai dire, Tolkien a été une lecture d’enfant et ce monsieur m’a marqué à vie, mais j’écrivais jusque là de la littérature dite « blanche ».
Avec « La Pucelle », je voulais écrire un mélange de fantasy et de fantastique : l’héroïne fait face à des forces inconnues pour elle, des forces surnaturelles - même dans son monde. Je voulais aussi un personnage modeste, humain, dont je pouvais comprendre les réactions et les préoccupations. Je voulais jouer sur la langue pour concocter une atmosphère étrange, celle d’un autre monde, et enfin, je voulais –de façon très souterraine– traiter de thèmes actuels dans un monde de fantasy. Le thème d’un personnage modeste qui se bat pour conserver son libre-arbitre dans une société où tout est fait pour le séduire et le tromper.
ITW Paul Béorn
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ITW Paul Béorn
Paul Béorn est en interview ici. Il revient sur la génèse de La Pucelle de Diable-Vert
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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