Voici le résumé :
Après La Sibylle de la Révolution, les nouvelles aventures de Marie-Adélaïde Lenormand, célèbre voyante : une enquête très documentée sur les pas d’un serial killer.
5 août 1794. La mort de Robespierre met un terme à la Grande Terreur et à la surenchère de la violence. Fouché, qui a sinistrement œuvré à Lyon, doit s’expliquer devant la Convention : à la prison des Recluses, à Lyon, des corps de prisonniers ont été retrouvés affreusement mutilés. Marie-Adélaïde Lenormand, cartomancienne réputée et protégée de Joséphine de Beauharnais, aide un petit groupe de Lyonnais à traquer ce monstre d’un genre nouveau. Mais l’enquête leur réserve bien des surprises. Assaillie par des visions d’une violence inouïe, la sibylle pressent sa propre fin. Au cœur des bas-fonds de la capitale, la mort plane…
L’auteur et son univers
Né en 1962, Nicolas Bouchard vit près de Limoges. La Ville noire, publié chez Flammarion, a reçu le Prix des Incorruptibles 2004. Aux éditions Belfond, il publie tout d’abord Aziza et la malédiction (2006) puis le premier opus des aventures de Marie-Adélaïde Lenormand, La Sibylle de la Révolution (2009).
Plus âpre, plus sombre, avec un goût marqué pour les ambiances macabres, le second tome, Le Traité des supplices, a de quoi effrayer ! Influencé par la littérature noire, du roman gothique de Lewis au thriller contemporain comme Le Silence des agneaux, en passant par le fantastique de HP Lovecraft et Edgar Poe, Nicolas Bouchard y aborde la thématique du serial killer. Également parsemé de références à la science-fiction, au manga, à l’opéra et, surtout, à l’ésotérisme, l’univers multiforme de Nicolas Bouchard est toujours au service d’une démarche historique des plus rigoureuse. Au cours de ses recherches, il a ainsi découvert l’existence du « plus grand bordel de France » à la Salpêtrière, de la morgue de la Grande geôle, du pillage sans vergogne des églises et des guérillas entre bandes rivales…
L’environnement idéal pour son intrigue !
