Adieu, Ken Russell
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Re: Adieu, Ken Russell
Comment "rendre hommage" à un cinéaste en disant du mal de son oeuvre !Lensman a écrit :http://next.liberation.fr/cinema/010123 ... est-decede
Grrr

- bormandg
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N'empêche que je préfère quelqu'un dont Libération dit du mal. Une bio positive de Ken Russel dans Libé m'aurait forcé à réévaluer (dans le sens négatif) les films que j'ai aimés. 

"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
- dracosolis
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Je le revois régulièrement. J'aimerais bien revoir Mahler et Liztomania. Et voir tout ce que je n'ai jamais vu.dracosolis a écrit :du coup j'ai envie de revoir Tommy
- dracosolis
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comment peut-on écrire quelque chose d'aussi con que "Le film, comme la plupart de ses oeuvres, est ampoulé (Tommy est à peine regardable aujourd'hui), mais Tommy a marqué son époque et restera au sommet du box-office pendant quatorze semaines. ?
c'est bien parce qu'il est ampoulé (dans tous les sens du terme - Ah, Pinball Wizard et sa profusion lumineuse) qu'il a marqué son époque et qu'il est resté au box-office aussi longtemps
c'est le propre de l'opéra-rock d'être "ampoulé" ; et c'est bien ce qui fait de Tommy un film intemporel ; il n'est ni plus, ni moins regardable aujourd'hui, qu'il ne l'était hier ou ne le sera demain...
ce mec (l'auteur de l'articulet de Libé) mériterait d'être versé comme critique littéraire de Bit'Lit'
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c'est le propre de l'opéra-rock d'être "ampoulé" ; et c'est bien ce qui fait de Tommy un film intemporel ; il n'est ni plus, ni moins regardable aujourd'hui, qu'il ne l'était hier ou ne le sera demain...
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Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- bormandg
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Remarque, quand ils (parce que je ne fais pas la différence entre les différents critiques de Libé) apprécient quelque chose, tu peux être sûr que ça ne vaut pas le temps perdu, même avec une entrée gratuite.MF a écrit :comment peut-on écrire quelque chose d'aussi con que "Le film, comme la plupart de ses oeuvres, est ampoulé (Tommy est à peine regardable aujourd'hui), mais Tommy a marqué son époque et restera au sommet du box-office pendant quatorze semaines. ?
c'est bien parce qu'il est ampoulé (dans tous les sens du terme - Ah, Pinball Wizard et sa profusion lumineuse) qu'il a marqué son époque et qu'il est resté au box-office aussi longtemps
c'est le propre de l'opéra-rock d'être "ampoulé" ; et c'est bien ce qui fait de Tommy un film intemporel ; il n'est ni plus, ni moins regardable aujourd'hui, qu'il ne l'était hier ou ne le sera demain...
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"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
je ne parlais pas de l'appréciation que faisait ce "journaliste" de l’œuvre de K. Russel (il a le droit d'aimer ou de détester) mais de son (apparente) incapacité à placer Tommy dans son contexte et, partant, de l'absurdité qu'il y a à reprocher à ce film son coté ampoulébormandg a écrit :Remarque, quand ils (parce que je ne fais pas la différence entre les différents critiques de Libé) apprécient quelque chose, tu peux être sûr que ça ne vaut pas le temps perdu, même avec une entrée gratuite.
p'tain, à croire qu'il n'a jamais vu Gary Glitter en concert...
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