Oui. Ça ne fonctionne pas toujours comme eux l'ont prévu, mais il y a toujours une "bonne raison" (en tout cas dans "Sans parler du chien", que je viens de rerererelire – pour la première fois en me souvenant de tous les détails, et c'est assez réjouissant )Soslan a écrit :Et j'aimerais bien voir si les historiens nouveaux modèle de Connie Willis sont décris avec assez de crédibilité. Ont-ils le souci d'éviter les perturbations du cours de l'Histoiresilramil a écrit :moi, je trouve ça vexant.20minutes a écrit :Oxford, futur proche. L'université est définitivement dépoussiérée : historien est devenu un métier à haut risque. Car désormais, pour étudier le passé, il faut le vivre. Littéralement.
Et le postulat de Connie Willis est vraiment celui-là ? Qu'un témoin fait un meilleur historien ?
Cela me semble de la dernière absurdité.
Ils jouent principalement des rôles de "figurants" dans le lieu et l'époque qu'ils visitent. Dans Sans Parler du Chien, pour approcher une famille victorienne, une historienne joue le rôle d'une cousine avec qui les gens avaient échangé des lettres mais qu'ils n'avaient jamais rencontrée.et si c'est le cas, comment mènent-ils leurs investigations, enquêtes "de terrain", fouilles ?
(Mais savoir pourquoi, du coup, les historiens n'ont pas trouvé de rencontre documentée puisque les gens en question étaient persuadés avoir rencontré a cousine… Là on jette l'éponge. On va dire que les circonstances de la fin de la visite font qu'ils n'ont jamais écrit là-dessus et n'ont jamais plus tenté de contacter ladite cousine…)