Richard Matheson
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Richard Matheson
Dans les auteurs fantastiques incontournables, il y a sans aucun doute Richard Matheson, aussi bien pour Je suis une légende que pour toutes ses nouvelles. On se souvient de Journal d'un Monstre bien sûr mais il y en a des dizaines qui sont géniales;
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- Eric
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Ai-je déjà mentionné à quel point je trouvais Je suis une légende surrestimé ?
C'est Bifrost je crois qui avait fait un dossier Matheson disant qu'il avait largement bénéficié de traductions trop enthousiastes, et qu'il avait publié un nombre tout à fait indécent de merde, qui le plaçait résolument dans la catégorie des auteurs surrestimés.
C'est Bifrost je crois qui avait fait un dossier Matheson disant qu'il avait largement bénéficié de traductions trop enthousiastes, et qu'il avait publié un nombre tout à fait indécent de merde, qui le plaçait résolument dans la catégorie des auteurs surrestimés.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Hue... Dix fois ?Eric a écrit :Ai-je déjà mentionné à quel point je trouvais Je suis une légende surrestimé ?
Et alors ?
Si un auteur produit une oeuvre géniale dans un tissu de merde, quelle importance ?
Il faut bien du fumier pour faire pousser les fleurs...
C'est moins grave que si c'était pire ! (S.A.)
- jlavadou
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Tout pareil aussi. Et c'est d'autant plus remarquable que d'habitude les histoires de vampires m'ennuient. Mais j'avais adoré cet angle d'attaque, avec cet homme isolé pour qui la lutte est infinie et complètement intégrée à son quotidien. La fin m'a un tout petit peu déçu mais je ne vois pas comment il aurait pu faire mieux. En fait l'histoire ne méritait pas de fin.Herbefol a écrit :Tout pareil, j'ai descendu le livre à une vitesse proprement inhabituelle.
- Eric
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Ben désolé, ça doit venir de moi. J'ai trouvé les prémices de l'intrigue sans intérêt, l'histoire asez saugrenue et l'ambiance générale plutôt chiante.
En fait le tout m'a surtout laissé une vraie impression d'ennui.
En fait le tout m'a surtout laissé une vraie impression d'ennui.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- blodhorn
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je me retrouve le cul entre deux chaises et les valseuses à l'air, erf...
alors oui, je l'ai lu d'une traite et j'ai apprécier cette lecture sur l'instant pour son ambiance et la totale mais avec le temps j'avoue ne plus garder de souvenir si idyllique de cette oeuvre.
alors oui, je l'ai lu d'une traite et j'ai apprécier cette lecture sur l'instant pour son ambiance et la totale mais avec le temps j'avoue ne plus garder de souvenir si idyllique de cette oeuvre.
A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire
Je pense qu'il est avant tout un excellent nouvelliste.
L'homme qui rétrécit est un bon bouquin aussi.
Je trouve aussi que son fils a beaucoup de talent, et comme pour le père, je préfère ses nouvelles.
L'homme qui rétrécit est un bon bouquin aussi.
Je trouve aussi que son fils a beaucoup de talent, et comme pour le père, je préfère ses nouvelles.
L'enfer est quelque chose que nous pouvons créer. C'est finalement cela qui fascine.
Thomas M. Disch - Camp de concentration
Thomas M. Disch - Camp de concentration
Si ça peut te rassurer, j'ai tenté de le commencer il y a quelques années et j'ai laissé tomber aubout d'une vingtaine de pages. J'y reviendrai sans doute un jour pour me faire un avis, mais le début ne m'a pas laissé un souvenir impérissable.Eric a écrit :Ai-je déjà mentionné à quel point je trouvais Je suis une légende surrestimé ?
Je ne suis pas trop branchée vampires, en même temps, ça vient peut-être de là.
- Fred Combo
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Je garde moi aussi un excellent souvenir de Je suis une Légende. Je me souviens l'avoir lu d'une traite, puis de m'être fait un gros recueil de nouvelles du même auteur (Miasmes de mort ? un gros bouquin cartonné), et Le jeune homme, la mort et le temps. Par contre, je n'avais pas aimé la maison des damnés.
Il fait partie des auteurs que j'ai adoré à une époque (comme Bradbury, par exemple), mais auxquels j'ai complètement cessé de m'intéresser par la suite, sans trop savoir pourquoi. Est-ce que d'autres personnes ont été victimes de ce syndrome ? Pour ma part, je ne pense pas que ce soit dû à une évolution personnelle du lecteur, puisqu'on peut relire le même livre à des ages différents et trouver, justement, un intérêt différent en les relisant. Alors quoi ?
Il fait partie des auteurs que j'ai adoré à une époque (comme Bradbury, par exemple), mais auxquels j'ai complètement cessé de m'intéresser par la suite, sans trop savoir pourquoi. Est-ce que d'autres personnes ont été victimes de ce syndrome ? Pour ma part, je ne pense pas que ce soit dû à une évolution personnelle du lecteur, puisqu'on peut relire le même livre à des ages différents et trouver, justement, un intérêt différent en les relisant. Alors quoi ?
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- Charlotte
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J'ai lu Je suis une légende d'une traite comme touit le monde apparemment, je me suis même faite gaulée en cours d'anglais à le bouquiner plutôt qu'à suivre la prof. Maintenant je l'ai lu jeune et je ne suis pas sûre qu'il me plairait autant aujourd'hui.
Il a tout de même le grand mérite d'avoir transformé une figure exclusivement fantastique, le vampire, en un élément science-fictif.
Emballée par le bouquin, je me suis donc jetée sur L'Homme qui rétrécit, auquel j'ai moins adhéré.
Il a tout de même le grand mérite d'avoir transformé une figure exclusivement fantastique, le vampire, en un élément science-fictif.
Emballée par le bouquin, je me suis donc jetée sur L'Homme qui rétrécit, auquel j'ai moins adhéré.
J'ai récemment regardé une vieille adaptation italienne de ce roman au cinéma, sur la chaîne Ciné FX (merci la 9Box).Charlotte a écrit :J'ai lu Je suis une légende d'une traite comme touit le monde apparemment, je me suis même faite gaulée en cours d'anglais à le bouquiner plutôt qu'à suivre la prof. Maintenant je l'ai lu jeune et je ne suis pas sûre qu'il me plairait autant aujourd'hui.
Il a tout de même le grand mérite d'avoir transformé une figure exclusivement fantastique, le vampire, en un élément science-fictif.
C'était assez rigolo, le personnage reste hyper zen, barricadé dans sa baraque à écouter de la zique alors que des hordes de vampires encerclent son logis. Joie suprême, il tue même un caniche vampirisé!