Les fausses-références
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- Eric
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Les fausses-références
J'appelle fausse-références, les classiques incontournables, qu'après lecture vous auriez finalement bien contournés.
Le Monde des Non A, et Les Joueurs du Non A de Van Vogt. Déjà évoqué, c'est écrit avec les pieds, et idéologiquement c'est assez moche.
Je suis une légende, de Matheson. Que j'ai vraiment trouvé sans intérêt.
La Foire aux atrocités, de Ballard, qui est à la SF ce que Metal Machine Music de Lou Reed est au rock. C'est illisible.
Tout Elric, que j'ai trouvé cliché à mort et assez puéril (en fait pour tout dire j'ai un problème avec Moorcock. J'aime bien le bonhomme, mais je n'ai jamais pu finir un de ses livres).
Les Monades urbaines de Silverberg. Ben oui ! Je fais mon coming out. J'ai toujours trouvé qu'il était très en-dessous de ce qu'il avait produit à la même époque, et je ne comprends pas bien pourquoi on en fait tout un plat à ce point.
Tout Pratchett. OK c'est drôle, on a saisi !
H2G2. C'est marrant, mais à part fournir des private jokes aux fans de SF, c'est un peu léger pour faire un classique, non ?
La Nuit des Temps, de Barjavel. Barbie et Ken sont dans le bac à glaçons d'un congélateur, quand le Dr Mengele vient les réveiller, et là ils se souviennent que c'était bien leur vie avant, avec Bambi et Pampan... Ridicule ET absurde.
En cherchant un peu plus, je suis sûr qu'il doit bien y en avoir d'autres.
Le Monde des Non A, et Les Joueurs du Non A de Van Vogt. Déjà évoqué, c'est écrit avec les pieds, et idéologiquement c'est assez moche.
Je suis une légende, de Matheson. Que j'ai vraiment trouvé sans intérêt.
La Foire aux atrocités, de Ballard, qui est à la SF ce que Metal Machine Music de Lou Reed est au rock. C'est illisible.
Tout Elric, que j'ai trouvé cliché à mort et assez puéril (en fait pour tout dire j'ai un problème avec Moorcock. J'aime bien le bonhomme, mais je n'ai jamais pu finir un de ses livres).
Les Monades urbaines de Silverberg. Ben oui ! Je fais mon coming out. J'ai toujours trouvé qu'il était très en-dessous de ce qu'il avait produit à la même époque, et je ne comprends pas bien pourquoi on en fait tout un plat à ce point.
Tout Pratchett. OK c'est drôle, on a saisi !
H2G2. C'est marrant, mais à part fournir des private jokes aux fans de SF, c'est un peu léger pour faire un classique, non ?
La Nuit des Temps, de Barjavel. Barbie et Ken sont dans le bac à glaçons d'un congélateur, quand le Dr Mengele vient les réveiller, et là ils se souviennent que c'était bien leur vie avant, avec Bambi et Pampan... Ridicule ET absurde.
En cherchant un peu plus, je suis sûr qu'il doit bien y en avoir d'autres.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Je tiens à ce que tu précises un détail qui a son importance :
Ce que tu écris là n'engage absolument que toi.
Il est facile de vomir sur des auteurs, surtout s'ils sont morts. Il est plus difficile d'écrire et de vendre des livres comme l'ont fait ceux que tu cites comme faisant partie de la lie de l'écriture S.F.
Je suis d'accord, le nombre de ventes n'est pas un gage de qualité : un certain nombre de gogos va certainement enrichir BHL en achetant sa dernière ânerie. Mais dans deux ans, son livre aura été balayé vers la poubelle de la littérature, ce qui n'est pas le cas des livres dont tu parles.
Que toi tu n'aimes pas, c'est compréhensible. Tu as le droit. Mais tu présente ton argumentaire comme s'il n'y avait pas d'autre possibilité, comme si toute contestation de ta déclaration était absurde. Et c'est faux. Que tu critiques, d'accord. Mais que tu lances l'anathème sur des auteurs reconnus, je ne suis pas d'accord. Pas du tout. Je respecte immensément certains des auteurs dont tu parles. Pour leur oeuvre, leurs idées (ou leur écriture des idées) ou simplement pour m'avoir fait rêver (oui, même Barjavel ! ).
Se régaler de piétiner le passé n'est pas une approche correcte de l'avenir, ni même du présent. On peut avoir changé et ne plus aimer ce que l'on encensait auparavant. Il n'empêche qu'on l'a aimé un jour et nier sa propre histoire est une erreur et une bêtise.
Voila. Ouf, ça fait du bien de la dire !...
Ce que tu écris là n'engage absolument que toi.
Il est facile de vomir sur des auteurs, surtout s'ils sont morts. Il est plus difficile d'écrire et de vendre des livres comme l'ont fait ceux que tu cites comme faisant partie de la lie de l'écriture S.F.
Je suis d'accord, le nombre de ventes n'est pas un gage de qualité : un certain nombre de gogos va certainement enrichir BHL en achetant sa dernière ânerie. Mais dans deux ans, son livre aura été balayé vers la poubelle de la littérature, ce qui n'est pas le cas des livres dont tu parles.
Que toi tu n'aimes pas, c'est compréhensible. Tu as le droit. Mais tu présente ton argumentaire comme s'il n'y avait pas d'autre possibilité, comme si toute contestation de ta déclaration était absurde. Et c'est faux. Que tu critiques, d'accord. Mais que tu lances l'anathème sur des auteurs reconnus, je ne suis pas d'accord. Pas du tout. Je respecte immensément certains des auteurs dont tu parles. Pour leur oeuvre, leurs idées (ou leur écriture des idées) ou simplement pour m'avoir fait rêver (oui, même Barjavel ! ).
Se régaler de piétiner le passé n'est pas une approche correcte de l'avenir, ni même du présent. On peut avoir changé et ne plus aimer ce que l'on encensait auparavant. Il n'empêche qu'on l'a aimé un jour et nier sa propre histoire est une erreur et une bêtise.
Voila. Ouf, ça fait du bien de la dire !...
C'est moins grave que si c'était pire ! (S.A.)
- Eric
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Re: Les fausses-références
Il me semblait que l'aspect éminemment subjectif de mes assertions était assez évident, pour que je n'ai pas besoin de le préciser.Eric a écrit :Que j'ai vraiment trouvé sans intérêt.
...
que j'ai trouvé cliché à mort et assez puéril.
...
J'ai toujours trouvé qu'il était très en-dessous...
...
c'est un peu léger pour faire un classique, non ?
(Sauf pour les Les Non-A, et Barjavel, qui sont ce que l'on pourrait appeler des "merdes objectives". Il va sans dire)
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
Bah, c'est plutôt plaisant ce déboulonnage
Moi aussi, j'ai adoré La Nuit des Temps, j'en garde un excellent souvenir, n'empêche la formule dévastatrice d'Eric me fait vraiment marrer. L'irrespect ponctuel n'empêche pas l'admiration et vaccine contre l'académisme.
Donc, allez, je m'en offre un aussi, en présentant d'avance mes excuses à la communauté SF
Avez-vous revu Tron, dernièrement ? Sans garder à l'esprit la date à laquelle il a été réalisé, j'ai trouvé ça "inregardable" tellement ça avait vieilli. Et bien, j'ai eu la même sensation en relisant Neuromancien : deux pauvres types qui se la raconte autour d'un amiga.
Voilà, je sors.
Moi aussi, j'ai adoré La Nuit des Temps, j'en garde un excellent souvenir, n'empêche la formule dévastatrice d'Eric me fait vraiment marrer. L'irrespect ponctuel n'empêche pas l'admiration et vaccine contre l'académisme.
Donc, allez, je m'en offre un aussi, en présentant d'avance mes excuses à la communauté SF
Avez-vous revu Tron, dernièrement ? Sans garder à l'esprit la date à laquelle il a été réalisé, j'ai trouvé ça "inregardable" tellement ça avait vieilli. Et bien, j'ai eu la même sensation en relisant Neuromancien : deux pauvres types qui se la raconte autour d'un amiga.
Voilà, je sors.
- jlavadou
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Sans aller jusqu'à dire que je considère ça comme une non-référence, le livre qui m'a le plus déçu par rapport à ce qu'on m'en avait dit est peut-être 2001 L'odyssée de l'espace de Clarke. J'en ai d'ailleurs un souvenir assez vague. C'était bien, mais je n'ai pas accroché autant qu'il l'aurait sans doute fallu. J'ai dû passer à côté de certains aspects philosophiques du livre.
Il y a aussi un auteur que j'ai du mal à lire : Lovecraft. J'ai l'impression que quand on a lu une de ses nouvelles, on a tout lu. Il a un talent indéniable pour installer une atmosphère de terreur mais ça devient très vite lassant car c'est toujours la même chose. Du coup je n'ai pas lu tout ce qui tourne autour de Cthulu, m'arrêtant au recueil La couleur tombée du ciel chez Denoël.
Ce n'est bien sur que mon avis
Il y a aussi un auteur que j'ai du mal à lire : Lovecraft. J'ai l'impression que quand on a lu une de ses nouvelles, on a tout lu. Il a un talent indéniable pour installer une atmosphère de terreur mais ça devient très vite lassant car c'est toujours la même chose. Du coup je n'ai pas lu tout ce qui tourne autour de Cthulu, m'arrêtant au recueil La couleur tombée du ciel chez Denoël.
Ce n'est bien sur que mon avis
- Eric
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Arrêtez de vous excuser de votre avis ! C'est tout le but de ce topic. Etre subjectif ! On a parfaitement le droit de trouver que Lovecraft se répète un peu et que Neuromancien est daté (et d'ailleurs politesse pour politesse, la formule de DuncanI est très bien aussi).
Le but n'est pas de faire une chronique, juste de dire qu'on s'est fait chié en lisant tel ou tel classique du genre.
Le but n'est pas de faire une chronique, juste de dire qu'on s'est fait chié en lisant tel ou tel classique du genre.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
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Re: Les fausses-références
C'est marrant, parce qu'en fait, chacun à ses fausses références.
Moi pour Moorcock par exemple, c'est Corum qui m'est tombé des mains, littéralement. Par contre j'ai adoré Elric.
Dans mes fausses références, il y a quelques épisodes de Dune dont La Maison des mères, où bon ben, il faut bien le dire, j'ai rien entravé de A à Z.
Il y a aussi Radix d'Attanasio, un soit disant Livre univers pompeux et chiant qui traine en longueur. Mon exemplaire avait pris l'eau et avait physiquement doublé de volume. Tout un symbole !
Neuromancien tient aussi bien la corde dans mon hit personnel (mais est-ce que mes soucis d'ordinateurs à l'époque n'y sont pas pour quelque chose), tout comme La malloré d'Edding (une infame copie de la Bellegariade sur 2500 pages) et, honte sur moi, le Maître du haut chateau de K.Dick (j'en garde quasiment aucun souvenir. L'idée est bonne mais le traitement est décevant). Et et, j'allais l'oublier celui là, mais il a une petite palme personnelle, Les Robots d'Asimov. Je l'avais lu sur commande pour organiser un jeux concours sur un le site internet d'une radio parisienne qui fait du rock, et ça a été d'un ennuis sans nom...
Par contre je défendrais becs et ongles Je suis une légende, Pratchett, Les Monades urbaines
A chacun ses bides et ses bonheurs.
Mais la lecture, ça dépend aussi tellement de tout un tas de facteur (fatigue etc) que ce genre d'avis à l'emporte pièce ne peut être que subjectif.
Moi pour Moorcock par exemple, c'est Corum qui m'est tombé des mains, littéralement. Par contre j'ai adoré Elric.
Dans mes fausses références, il y a quelques épisodes de Dune dont La Maison des mères, où bon ben, il faut bien le dire, j'ai rien entravé de A à Z.
Il y a aussi Radix d'Attanasio, un soit disant Livre univers pompeux et chiant qui traine en longueur. Mon exemplaire avait pris l'eau et avait physiquement doublé de volume. Tout un symbole !
Neuromancien tient aussi bien la corde dans mon hit personnel (mais est-ce que mes soucis d'ordinateurs à l'époque n'y sont pas pour quelque chose), tout comme La malloré d'Edding (une infame copie de la Bellegariade sur 2500 pages) et, honte sur moi, le Maître du haut chateau de K.Dick (j'en garde quasiment aucun souvenir. L'idée est bonne mais le traitement est décevant). Et et, j'allais l'oublier celui là, mais il a une petite palme personnelle, Les Robots d'Asimov. Je l'avais lu sur commande pour organiser un jeux concours sur un le site internet d'une radio parisienne qui fait du rock, et ça a été d'un ennuis sans nom...
Par contre je défendrais becs et ongles Je suis une légende, Pratchett, Les Monades urbaines
A chacun ses bides et ses bonheurs.
Mais la lecture, ça dépend aussi tellement de tout un tas de facteur (fatigue etc) que ce genre d'avis à l'emporte pièce ne peut être que subjectif.
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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- Enregistré le : jeu. déc. 15, 2005 4:12 pm
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Tiens, j'en ai une de plus. Volodine. C'est souvent de la SF, comme c'est publié en littérature blanche, les librairies aiment bien, et pourtant, je n'ai jamais pu m'en farcir un seul...
Ah et y'a aussi Ender de Card avec pour moi un scénario digne d'une série télé de bas étage ou d'un dessin animé pour gamin de 6 ans. ("oh, mais quand je jouais à des simulations, j'étais en fait vraiment dans l'espace !!!")
Et je termine par le must du must, les langages de Pao de Vance. Jamais un aussi petit livre ne m'a paru aussi long...
Ah et y'a aussi Ender de Card avec pour moi un scénario digne d'une série télé de bas étage ou d'un dessin animé pour gamin de 6 ans. ("oh, mais quand je jouais à des simulations, j'étais en fait vraiment dans l'espace !!!")
Et je termine par le must du must, les langages de Pao de Vance. Jamais un aussi petit livre ne m'a paru aussi long...
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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Dune: j'ai jamais pu dépasser la moitié du premier.
Clarke: en dehors de rama, ca m'a semblé froid et ennuyeux.
Bradbury m'a toujours gonflé.
Pratchett: ca me fait sourire de temps en temps, ca m'a fait rire une fois (pas deux, une), et j'ai trouvé ca terriblement systématique: c'est toujours la même recette.
Clarke: en dehors de rama, ca m'a semblé froid et ennuyeux.
Bradbury m'a toujours gonflé.
Pratchett: ca me fait sourire de temps en temps, ca m'a fait rire une fois (pas deux, une), et j'ai trouvé ca terriblement systématique: c'est toujours la même recette.
- Eric
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Marrant de voir à quel point Dune divise. Bon, il est vrai que certains tomes sont simplement chiants à crever.
Toujours délicat à conseiller, Dune.
"C'est vachement bien, du moins au début, bon après tu vas devoir te taper 1000 pages vraiment casses-burnes, mais après ça reprend. Hein ? Ah non, désolé, tu ne peux pas comprendre la fin si tu ne t'es pas cogné les passages chiants. Oui je sais c'est dommage."
Toujours délicat à conseiller, Dune.
"C'est vachement bien, du moins au début, bon après tu vas devoir te taper 1000 pages vraiment casses-burnes, mais après ça reprend. Hein ? Ah non, désolé, tu ne peux pas comprendre la fin si tu ne t'es pas cogné les passages chiants. Oui je sais c'est dommage."
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
- Eric
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Ah si deux en plus là qui me sont revenues.
L'Anneau-monde de Niven. Quel ennui !
Le Dieu Nu de Peter F.Hamilton. J'ai tendance à penser que si tu décides de déforester aussi massivement laplanète pour pondre un roman de 4 000 pages, c'est que tu as un message drôlement capital à faire passer. Or ce n'est pas le cas. Il ne reste donc qu'un gros machin hypertrophiée à la limite de l'hydrocéphalie baveuse.
C'est la première fois que je me demande si un bouquin n'a pas 3 000 pages de trop.
L'Anneau-monde de Niven. Quel ennui !
Le Dieu Nu de Peter F.Hamilton. J'ai tendance à penser que si tu décides de déforester aussi massivement laplanète pour pondre un roman de 4 000 pages, c'est que tu as un message drôlement capital à faire passer. Or ce n'est pas le cas. Il ne reste donc qu'un gros machin hypertrophiée à la limite de l'hydrocéphalie baveuse.
C'est la première fois que je me demande si un bouquin n'a pas 3 000 pages de trop.
"Ueeuuggthhhg", laissa échapper Caity. Ce qui aurait pu vouloir dire n’importe quoi.
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- Enregistré le : sam. mars 11, 2006 1:47 pm
Re: Les fausses-références
Je croyais qu'il était question de romans de référence ?jerome a écrit :La malloré d'Edding (une infame copie de la Bellegariade sur 2500 pages)
Je vais être très subjectif, mais celui là en a 4000 de trop, pas trois mille (je veux bien descendre à 3700, mais c'est mon dernier prixeric a écrit : C'est la première fois que je me demande si un bouquin n'a pas 3 000 pages de trop.
Re: Les fausses-références
Celui-là aussi, je me rappelle qu'il m'avait laissée perplexe. Cela dit, je l'ai sans doute lu trop jeune, à l'époque où je dévorais tout ce que je trouvais de Dick (je devais avoir dans les 14 ans). Il faudrait que je lui donne une deuxième chance, mais franchement, je n'en ai pas le courage.jerome a écrit :et, honte sur moi, le Maître du haut chateau de K.Dick (j'en garde quasiment aucun souvenir. L'idée est bonne mais le traitement est décevant).
A priori, je n'accroche pas trop à Douglas Adams non plus, mais il faut le dire que je l'ai lu en accéléré et dans des conditions particulières (j'étais en train de traduire sa biographie), ça n'aide pas.