L'Appel de l'imaginaire

Heu, mars c'est les Oniriques (Meyzieu), Livre Paris, Rue des Livres (Rennes) et en avril il y a maintenant le salon fantasy de Vallauris vers la fin du mois. C'est pas non plus comme si le calendrier était désert.

Personnellement je trouve ça très clair!! Merci pour ce travail!

Ce n'est pas directement un podcast sur l'imaginaire en tant que genre, mais Mélanie Fazi, Laurent Genefort et moi proposons depuis 2 ans Procrastination, 15' sur l'écriture (tout particulièrement de nos genres, forcément, on se refait pas) tous les 15 jours : http://lioneldavoust.com/procrastinatio...

Pas à ma connaissance.

De manière générale, je ne vois guère d'auteur qui ne serait pas prêt à jouer le jeu, et pour les maisons d'édition, il devrait être possible de compter sur toutes celles qui ont participé activement au mois de l'imaginaire.

Olivier, je ne dis pas autre chose dans l'article. Le mois de l'imaginaire me semble jeter des bases saines, parce que qu'il capitalise sur l'aspect vivant de nos littératures et son tissu communautaire, c’est-à-dire en misant sur la proximité plutôt que sur les grosses machines commerciales. (ça n'...

C'est très juste, Olivier, les gens identifient bien mieux "SF" qu'imaginaire. Le souci, c'est qu'on ne peut pas proposer de la fantasy classique à un fan d'icelle sous l'étiquette SF, parce que s'il ne sait pas nécessairement ce que c'est, il sait que ça n'est pas ce qu'il aime. En anglais, on dit ...

"Littératures de l'imaginaire" recouvre juste un raccourci pour "littératures des MONDES imaginaires". Ça me semble assez vaste pour coller à tous les genres, et le mot "imaginaire" stimule l'évasion, l'imagination, la création… on est d'accord, toute littérature est imaginaire, mais cette appellati...

Je pense au contraire que l'organisation en "task forces" est très adaptée. Tout le monde n'a pas toutes les compétences et le chantier est extrêmement vaste. Des axes ont été définis et il est fort possible que ce soit en appliquant une pression sur tous ces axes à la fois que les choses bougent, e...

Ça me semble une excellente idée et je connais des libraires (spécialisés, par contre) qui ont fidélisé une importante communauté ainsi.

Je pense que le premier truc à faire c'est d'arrêter de chercher à réinventer la roue dès qu'un truc nous a coincés : nouveaux termes ? nouveaux prix littéraires ? Pourquoi ne pas capitaliser plutôt sur l'existant ? Si nous rencontrons des problèmes avec les formules actuelles, ce n'est pas nécessai...

Petit état des lieux que j'avais fait en 2014 après avoir participé à une TR sur ce sujet à la Worldcon.

http://lioneldavoust.com/2014/quelques- ... -langlais/

Comme c'est le sujet, à titre personnel je trouve que ce serait un merveilleux moyen de se casser les dents très fort : http://lioneldavoust.com/2017/ne-faison ... maginaire/

(Ce post ne fait que reprendre ma brève intervention le matin des EG)

Nos couvertures sont une identité de genre : y toucher (qu’on le veuille ou non) est très risqué, car c’est notre public qu’on va perdre. Arrêter de morceler, par contre, ça paraît sensé. Il est difficile d’entrer dans nos genres car ils sont aussi une affaire de spécialistes pointus. Nous avons des...

Comme on a besoin d’estimations chiffrées pour situer précisément l’impact de nos littératures, je crois qu’il serait intéressant, pour les sites qui en disposent, d’obtenir leurs statistiques de fréquentation s’ils sont prêts à les donner. Pour ma part, je suis vraiment à la frange niveau contenu (...