L'Appel de l'imaginaire

Posé la question à un journaliste de la PQR. Réponse :

"Pas de freins, tout est question de choix, donc de subjectivité de la part des journalistes. Il suffit de tomber sur un qui apprécie le genre. Encore faut-il que les éditeurs fassent leur job. Il semble évident que nombre d'éditeurs de SF ou de fantastique ne savent pas communiquer. Je le vois très bien ici au bureau où nous ne recevons jamais de bouquins de ce genre, alors que les éditeurs de littérature générale nous abreuvent de leurs productions ! "

Il semble que l'on ne se rend pas compte que des éditeurs de l'imaginaire ne peuvent pas abreuver la presse de SP parce qu'ils sont sur des tirages limités.

Au moins, c'est un avis clair et tranché...
Après si, pour lui, communiquer, c'est juste balancer du SP à la chaîne, c'est sûr qu'on n'est pas sur les mêmes schémas. Tout dépend aussi qui il représente et de qui il parle en disant "nombre d'éditeurs de SF ou de fantastique".

Fabien Lyraud a écrit :Il semble que l'on ne se rend pas compte que des éditeurs de l'imaginaire ne peuvent pas abreuver la presse de SP parce qu'ils sont sur des tirages limités.

Faut faire un ciblage sur un nombre de médias restreints.

Fabien Lyraud a écrit :Posé la question à un journaliste de la PQR. Réponse :

"Pas de freins, tout est question de choix, donc de subjectivité de la part des journalistes. Il suffit de tomber sur un qui apprécie le genre. Encore faut-il que les éditeurs fassent leur job. Il semble évident que nombre d'éditeurs de SF ou de fantastique ne savent pas communiquer. Je le vois très bien ici au bureau où nous ne recevons jamais de bouquins de ce genre, alors que les éditeurs de littérature générale nous abreuvent de leurs productions ! "

Il semble que l'on ne se rend pas compte que des éditeurs de l'imaginaire ne peuvent pas abreuver la presse de SP parce qu'ils sont sur des tirages limités.

C'est une bonne réflexion. En gros, ce qui se dessine, c'est que bon nombre d'émissions littéraires ne parlent pas d'imaginaire. Mais on peut aussi se demander si les éditeurs leur envoient des livres (la poule, l'oeuf toussa). En tout cas, il n'est pas à exclure que nous portions aussi une part de responsabilité (même en ayant conscience du coût des envois des SP etc).

Fabien Lyraud a écrit :Posé la question à un journaliste de la PQR. Réponse :

"Pas de freins, tout est question de choix, donc de subjectivité de la part des journalistes. Il suffit de tomber sur un qui apprécie le genre. Encore faut-il que les éditeurs fassent leur job. Il semble évident que nombre d'éditeurs de SF ou de fantastique ne savent pas communiquer. Je le vois très bien ici au bureau où nous ne recevons jamais de bouquins de ce genre, alors que les éditeurs de littérature générale nous abreuvent de leurs productions ! "

Il semble que l'on ne se rend pas compte que des éditeurs de l'imaginaire ne peuvent pas abreuver la presse de SP parce qu'ils sont sur des tirages limités.

Dis, tu pourrais à défaut de son nom, nous filer le journal ?

Le journal c'est le Populaire du Centre.

Fabien Lyraud a écrit :Le journal c'est le Populaire du Centre.

Merci