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Au cinéma cette semaine
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Au cinéma cette semaine

 LE TOUT NOUVEAU TESTAMENT
 
Dieu existe. Il habite à Bruxelles. Il est odieux avec sa femme et sa fille. On a beaucoup parlé de son fils, mais très peu de sa fille. Sa fille c’est moi. Je m’appelle Ea et j’ai dix ans. Pour me venger j’ai balancé par SMS les dates de décès de tout le monde…
  
 
ECRAN LARGE : « On sera plus circonspects sur la construction de l’ensemble, qui donne le sentiment d’assister à une suite de sketch un peu inégaux plus qu’à un récit structuré. » 
 
MAD MOVIES : « C'est plutôt drôle, ça fait montre d'une hérésie salutaire à l'heure où on nous bassine avec les religions à longueur d'antenne, mais l'absence totale d'identité de la mise en scène fait davantage ressembler le résultat à l'émission spéciale d'un comique télé qu'à un long métrage de cinéma. »
 
A VOIR – A LIRE : « Drôle et maussade, tendre et cruel, mais toujours bienveillant, Le Tout Nouveau Testament est un hymne à la vie et au bonheur réjouissant et revigorant. »
 
PREMIERE : «Drôle de poème carburant à la métaphysique, bâti sur des effets de rimes visuelles ou des références tordues, "Le Tout Nouveau Testament" est un film aussi vénère et généreux que son héroïne. » 
 
CRITIKAT : « Une purge innommable. » 
 
LES INROCKUPTIBLES : « Le niveau des interrogations existentielles de Van Dormael est celui de tout bon manuel de coaching personnel. »
 
CEMETERY OF SPLENDOUR
 
Des soldats atteints d’une mystérieuse maladie du sommeil sont transférés dans un hôpital provisoire installé dans une école abandonnée. Jenjira se porte volontaire pour s’occuper de Itt, un beau soldat auquel personne ne rend visite. Elle se lie d’amitié avec Keng, une jeune médium qui utilise ses pouvoirs pour aider les proches à communiquer avec les hommes endormis.
 
 
 
 
  
 

Cemetery of splendour, Bande-annonce, Sortie le... par pyramidedistribution
 
FILM DE CULTE : « Il y a ici une foi en l'imaginaire comme une foi dans les contes et une foi dans le cinéma et ses possibilités infinies. » 
 
ECRAN LARGE : « Alors que l’ennui pourrait poindre, c’est la poésie qui apparaît finalement. Une poésie, fluide et immensément délicate, qui invite le spectateur à la même rêverie que celle qui étreint les personnages. » 
 
A VOIR – A LIRE : « Apichatpong Weerasethakul signe une œuvre dont la beauté ne se livre pas au premier regard mais à travers une lente expérience des sens. » 
 
PREMIERE : « La sidération, permanente, apaisante, émane de détails anodins, comme cette particule flottant sur l’eau miroitante. Un rêve éveillé. » 
 
CRITIKAT : « Révéler ce qu’on ne peut pas voir, voilà ce que fait Apichatpong en grand chaman du cinéma d’aujourd’hui. »
 
TELERAMA : « Tels les grands films qui explorent le monde onirique (Mulholland Drive et Inland Empire, de David Lynch, par exemple), Cemetery of splendour devient une sorte d'enquête dans un labyrinthe mental, où le spectateur garde le champ libre pour imaginer l'essentiel . »
 

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