Avec Les Légendaires, Patrick Sobral est en train de réussir un joli coup. Sa série en est déjà à sept tomes en quatre ans et un huitième est prévu pour le mois d’octobre prochain. Pas mal alors que c’est la première série de sa bibliographie. Les raisons de ce succès ? Sans doute le dynamisme et l’humour de son intrigue et de son dessin qui tire clairement du côté du manga sans forcément en adopter tous les lieux communs.
Gryfenfer et son passé
Dans un monde où tous les adultes sont redevenus à jamais des enfants (tout du moins physiquement), le groupe de héros appelé « Les Légendaires » a deux semaines devant lui pour inverser les effets de cette malédiction. Alors qu’ils sont en chemin pour retrouver la fameuse et mystérieuse Corne de Sygma (évidemment indispensable pour leur quête), une jeune fille leur demande si elle peut se joindre à eux. Elle aussi veut devenir une « Légendaire » ! De son côté, Gryf a un drôle de comportement qui a à voir avec son passé et celui de son peuple...
Passionnant et vivant
Il est étonnant de voir comment, alors qu’elle en déjà au septième tome, l’intrigue de Patrick Sobral ne s’essouffle pas. Son scénario reste aujourd’hui encore (un peu comme Monster Allergy) frais et passionnant. Mais c’est moins pour le récit principal et la quête que pour ses héros rigolos et les rebondissements permanents qu’on y trouve au fil des planches. Un récit fait de révélations et d’adversaires multiples à affronter. Et le dynamisme de l’intrigue se retrouve au niveau du dessin. Patrick Sobral aime multiplier les dialogues et les cases, s’attardant sur les situations coquasses et tous les détails composant ses scènes. Son trait, d’inspiration manga, est lui aussi particulièrement dynamique, tout en mouvement.
Le résultat est donc brillant et ce nouveau tome n’échappe pas à la règle. Il réussit à relancer l’intérêt de l’intrigue avec deux histoires parallèles qui nous permet à la fois d’en savoir plus sur Gryf, mais aussi de découvrir un peu plus les règles implicites qui unissent les Légendaires par le biais de la jeune apprentie. Une série qui semble bien partie pour alimenter l’imaginaire des enfants pendant encore de nombreux tomes.
Gryfenfer et son passé
Dans un monde où tous les adultes sont redevenus à jamais des enfants (tout du moins physiquement), le groupe de héros appelé « Les Légendaires » a deux semaines devant lui pour inverser les effets de cette malédiction. Alors qu’ils sont en chemin pour retrouver la fameuse et mystérieuse Corne de Sygma (évidemment indispensable pour leur quête), une jeune fille leur demande si elle peut se joindre à eux. Elle aussi veut devenir une « Légendaire » ! De son côté, Gryf a un drôle de comportement qui a à voir avec son passé et celui de son peuple...
Passionnant et vivant
Il est étonnant de voir comment, alors qu’elle en déjà au septième tome, l’intrigue de Patrick Sobral ne s’essouffle pas. Son scénario reste aujourd’hui encore (un peu comme Monster Allergy) frais et passionnant. Mais c’est moins pour le récit principal et la quête que pour ses héros rigolos et les rebondissements permanents qu’on y trouve au fil des planches. Un récit fait de révélations et d’adversaires multiples à affronter. Et le dynamisme de l’intrigue se retrouve au niveau du dessin. Patrick Sobral aime multiplier les dialogues et les cases, s’attardant sur les situations coquasses et tous les détails composant ses scènes. Son trait, d’inspiration manga, est lui aussi particulièrement dynamique, tout en mouvement.
Le résultat est donc brillant et ce nouveau tome n’échappe pas à la règle. Il réussit à relancer l’intérêt de l’intrigue avec deux histoires parallèles qui nous permet à la fois d’en savoir plus sur Gryf, mais aussi de découvrir un peu plus les règles implicites qui unissent les Légendaires par le biais de la jeune apprentie. Une série qui semble bien partie pour alimenter l’imaginaire des enfants pendant encore de nombreux tomes.