Arina Tanemura est née en 1978. Elle fait ses débuts dans le magazine shôjo Ribon en 1996 et après un one-shot intitulé I.O.N. en 1997, elle commence sa première série, Kamikaze Kaito Jeanne (qui a connu aussi une adaptation animée), en 7 tomes. Elle enchaine plusieurs autres séries dont la plus connue en France est Princesse Sakura (Glénat). On lui doit également Full Moon – A la recherche le la pleine lune et The Gentlemen’s Alliance cross, toutes deux publiées chez Kana.
La jeune héroïne traverse des épreuves...
La jeune Maron Kusakabe est une lycéenne de seize ans tout à fait ordinaire, si ce n’est qu’elle peut se transformer et devenir la réincarnation de Jeanne d’Arc, pour chasser les démons qui se camouflent dans les œuvres d’art.
La jeune héroïne traverse des épreuves...
La jeune Maron Kusakabe est une lycéenne de seize ans tout à fait ordinaire, si ce n’est qu’elle peut se transformer et devenir la réincarnation de Jeanne d’Arc, pour chasser les démons qui se camouflent dans les œuvres d’art.
Elle reçoit pour ce faire l’aide d’une ange, Finn. Après bien des péripéties, il s’avère que cette dernière est une ange déchue qui complote avec Satan pour faire souffrir Maron...
et gagne en maturité !
Kamikaze Kaito Jeanne est une excellente introduction au shôjo manga : on y retrouve tous les principaux ingrédients du genre, à savoir une lycéenne normale capable de se transformer en jeune fille dotée de pouvoirs magiques, les inévitables histoires de cœur et autres triangles amoureux, une héroïne maladroite... les lecteurs de Sailor Moon et autres magical girl seront en terrain connu, les autres pourront découvrir les codes de ce type de récit dans une série courte, au ton léger et aux personnages attachants.
Les dessins correspondent aux canons du genre, avec des décors minimalistes et l’accent porté sur les personnages, avec de nombreux gros plans sur les visages, notamment. Le trait de l’auteur est assez doux, et agréable à l’œil, même si on sent parfois que la série date un peu, l’auteur s’étant affirmée davantage par la suite. Reste que le dessin est très efficace et vient dynamiser le récit, avec un découpage de plus en plus maîtrisé au fil des volumes.
Sans être très originale, Kamakaze Kaito Jeanne est une série courte qui fait une porte d’entrée satisfaisante au shôjo manga.
et gagne en maturité !
Kamikaze Kaito Jeanne est une excellente introduction au shôjo manga : on y retrouve tous les principaux ingrédients du genre, à savoir une lycéenne normale capable de se transformer en jeune fille dotée de pouvoirs magiques, les inévitables histoires de cœur et autres triangles amoureux, une héroïne maladroite... les lecteurs de Sailor Moon et autres magical girl seront en terrain connu, les autres pourront découvrir les codes de ce type de récit dans une série courte, au ton léger et aux personnages attachants.
Les dessins correspondent aux canons du genre, avec des décors minimalistes et l’accent porté sur les personnages, avec de nombreux gros plans sur les visages, notamment. Le trait de l’auteur est assez doux, et agréable à l’œil, même si on sent parfois que la série date un peu, l’auteur s’étant affirmée davantage par la suite. Reste que le dessin est très efficace et vient dynamiser le récit, avec un découpage de plus en plus maîtrisé au fil des volumes.
Sans être très originale, Kamakaze Kaito Jeanne est une série courte qui fait une porte d’entrée satisfaisante au shôjo manga.