Né à Istanbul en 1969, Alper Canigüz, y a passé une enfance remplie de bagarres et de livres. Après des études de psychologie à l’université du Bosphore, il a fait paraître son premier roman, "Doux rêves".

 

"L’Assassinat d’Hicabi Bey", son deuxième roman, a remporté un large succès populaire.

 

 

 

Alper Kamu, 5 ans, joue au foot et a réussi à persuader ses parents de ne pas le mettre à la maternelle. Il joue avec des racailles du quartier, il lit, aide son ami, qui a un an de plus que lui, à faire ses devoirs. Il est amoureux de sa voisine qui a environ 18 ans.

 

Quand un soir, un meurtre se produit dans le voisinage. Il a vu le mort Hicabi Bey. Il a vu l’assassin s’enfuir. Il se prend pour un détective.

 

 

 

Un roman très médiocre. Le petit garçon a cinq ans mais il traîne dans la rue dite "des gros mots" traite tout le monde d’imbéciles… Un décalage qui trouble énormément le lecteur lors de sa lecture car le garçon est prétentieux, peu sympathique et on ne s’attache pas à lui.

 

Un humour qui ne me touche pas.

 

Je me suis arrêtée à la moitié du livre, l’enquête était trop fade pour continuer.