Christian Bernard Couprie enseigne le français l'histoire et la géographie. Il a publié plusieurs recueils poétiques et un roman historique Les chemins de l'aube. A travers cette histoire fantastique, il met en prise avec du paranormal des hommes, femmes et enfants qui règlent leur rustique vie quotidienne sur les exigences de la nature.
Une malédiction ?
Les quelques habitants des Maisons Blanches voient d'un mauvais œil l'arrivée d'un étranger vagabond. Après leurs tentatives pour le chasser, commence une série d'événements bizarres. La nature se tait et la grande faucheuse commence une furieuse moisson. Les survivants se savent menacés par cette malédiction qui semble frapper le hameau…Qui en réchappera ?
Aux antipodes de nos modernités cathodiques
Ce livre décrit assez justement les microsociétés qui subsistent dans quelques rares villages : la solidarité des habitants mais aussi leur repli, leur rusticité maladroite, leurs archaïsmes. La suspicion d'une malédiction joue sur la culpabilité des personnages affinant leurs sentiments, les incitant à l'introspection. C'est aussi un bel ode à la Nature dans lequel la poésie cisèle joliment le fantastique, offrant au lecteur quelques bouffées de chlorophylle ou des odeurs de chaume. Le narrateur interpelle son auditoire tel un conteur durant les veillées au coin du feu. Ce récit d'une facture très traditionnelle, respectant le rythme calme des saisons, aux antipodes de nos modernités névrosées et cathodiques, se savoure comme une balade en forêt ou un pot au feu maison.
Une malédiction ?
Les quelques habitants des Maisons Blanches voient d'un mauvais œil l'arrivée d'un étranger vagabond. Après leurs tentatives pour le chasser, commence une série d'événements bizarres. La nature se tait et la grande faucheuse commence une furieuse moisson. Les survivants se savent menacés par cette malédiction qui semble frapper le hameau…Qui en réchappera ?
Aux antipodes de nos modernités cathodiques
Ce livre décrit assez justement les microsociétés qui subsistent dans quelques rares villages : la solidarité des habitants mais aussi leur repli, leur rusticité maladroite, leurs archaïsmes. La suspicion d'une malédiction joue sur la culpabilité des personnages affinant leurs sentiments, les incitant à l'introspection. C'est aussi un bel ode à la Nature dans lequel la poésie cisèle joliment le fantastique, offrant au lecteur quelques bouffées de chlorophylle ou des odeurs de chaume. Le narrateur interpelle son auditoire tel un conteur durant les veillées au coin du feu. Ce récit d'une facture très traditionnelle, respectant le rythme calme des saisons, aux antipodes de nos modernités névrosées et cathodiques, se savoure comme une balade en forêt ou un pot au feu maison.