Au rythme de deux à trois romans par an, Roland C. Wagner trace sa route tranquillement en science-fiction, complétant ainsi une bibliographie déjà bien fournie. Il a signé au total plus d’une quarantaine de livres ! Parmi eux, on signalera le récent La Saison de la sorcière chez J’ai Lu, petit roman cinglant imaginant une France colonisée par les Etats-Unis pour la « protéger du terrorisme ». Autre grand succès de Roland C. Wagner, la série des Futurs Mystères de Paris chez L’Atalante avec un détective non violent et parfois malchanceux dans un futur bigarré et complètement fou. Deux œuvres bien différentes pour un auteur capable d’explorer bien des thèmes comme s’en rendront compte ses nouveaux lecteurs avec Les Aventuriers des Etoiles, un roman à destination cette fois de l’espace. Pour la petite histoire, sachez que ce livre se compose de deux aventures du Capitaine Lit de Roses. La première a été publiée sous le doux titre des Psychopompes de Klash chez Mnémos il y a quelques années déjà. La seconde est, elle, parue en feuilleton dans la revue Bifrost.
3 000 ans et toujours une bouteille de whisky pas très loin…
Le Capitaine Lit de Roses est un véritable baroudeur de l’Espace. Fort en gueule et en muscles, il a l’âge canonique d’environ 3 000 ans après quelques sauts involontaires dans le futur pendant ses aventures. Surtout cet aventurier, un peu trafiquant à ses heures, possède une chance incroyable qui lui permet de se sortir de toutes les situations. C’est pour cette raison qu’il est choisi pour escorter un drôle de trio sur Klash, une planète sur laquelle se joue le sort de l’humanité (un voleur, un enfant aux drôles de pouvoirs et une jeune femme pas franchement volontaire pour cette mission). Là bas, une mystérieuse découverte risque de déclencher une guerre entre trois peuples importants de la galaxie. Au Capitaine d’emmener rapidement ses passagers à bon port et à eux d’empêcher le conflit. Mais les événements vont très vite se compliquer...
Remuant !
Les Aventuriers des étoiles fait partie de ces romans tout entier tournés vers l’aventure et l’action. Sa principale force est l’imagination débridée de Wagner dès qu’il s’agit d’inventer des peuples ou des animaux extraterrestres tous plus bizarres les uns que les autres. On se régalera par exemple de la bestiole bleue très affectueuse qui se nourrit essentiellement de métal (sympa dans un vaisseau spatial). Où de ce peuple d’extraterrestres qui jouent aux touristes et arrivent par millions sur Klash pour prendre des photos de tout et de n’importe quoi. Wagner sait y faire pour colorer un récit et dresser une galerie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres. C’est son atout majeur pour relever le goût de ces deux histoires qui raviront les amateurs de Space Opera et d’aventures. Au final, on dira que l’ensemble est distrayant, sans plus certes, mais susceptible de vous faire passer un bon moment. Un peu comme une bonne petite comédie au cinéma. On ne se roule pas par terre et l’on ne pleure pas plus qu’on agrippe l’accoudoir, mais en sortant, on ne regrette pas d’avoir voulu voir le film.
3 000 ans et toujours une bouteille de whisky pas très loin…
Le Capitaine Lit de Roses est un véritable baroudeur de l’Espace. Fort en gueule et en muscles, il a l’âge canonique d’environ 3 000 ans après quelques sauts involontaires dans le futur pendant ses aventures. Surtout cet aventurier, un peu trafiquant à ses heures, possède une chance incroyable qui lui permet de se sortir de toutes les situations. C’est pour cette raison qu’il est choisi pour escorter un drôle de trio sur Klash, une planète sur laquelle se joue le sort de l’humanité (un voleur, un enfant aux drôles de pouvoirs et une jeune femme pas franchement volontaire pour cette mission). Là bas, une mystérieuse découverte risque de déclencher une guerre entre trois peuples importants de la galaxie. Au Capitaine d’emmener rapidement ses passagers à bon port et à eux d’empêcher le conflit. Mais les événements vont très vite se compliquer...
Remuant !
Les Aventuriers des étoiles fait partie de ces romans tout entier tournés vers l’aventure et l’action. Sa principale force est l’imagination débridée de Wagner dès qu’il s’agit d’inventer des peuples ou des animaux extraterrestres tous plus bizarres les uns que les autres. On se régalera par exemple de la bestiole bleue très affectueuse qui se nourrit essentiellement de métal (sympa dans un vaisseau spatial). Où de ce peuple d’extraterrestres qui jouent aux touristes et arrivent par millions sur Klash pour prendre des photos de tout et de n’importe quoi. Wagner sait y faire pour colorer un récit et dresser une galerie de personnages tous plus loufoques les uns que les autres. C’est son atout majeur pour relever le goût de ces deux histoires qui raviront les amateurs de Space Opera et d’aventures. Au final, on dira que l’ensemble est distrayant, sans plus certes, mais susceptible de vous faire passer un bon moment. Un peu comme une bonne petite comédie au cinéma. On ne se roule pas par terre et l’on ne pleure pas plus qu’on agrippe l’accoudoir, mais en sortant, on ne regrette pas d’avoir voulu voir le film.