Jack Campbell est un ancien officier de la marine américaine. Depuis sa retraite, il écrit des livres, surtout des histoires de guerre et d'armée sous son vrai nom : John G Hemry. Le pseudonyme de Campbell lui sert à produire une série de livres – la saga de La Flotte Perdue – racontant l'histoire d'un héros du combat spatial : John Geary. Quatre tomes sont déjà parus au États-Unis, dont deux traduits en français. Deux autres sont encore prévus dans les années qui viennent.
Votre mission : sauver la flotte de l'Alliance !
Black Jack Geary est une légende depuis un siècle. Il fut l'un des héros des premiers combats entre l'Alliance (les bons) et les Syndics (les méchants). De nos jours, alors que la guerre continue et qu'elle draine les forces vives de toute la galaxie, son nom est un cri de ralliement, son courage et son sacrifice - il est mort pour sauver son équipage - sont cités en exemple.
Oui, mais voilà que John Geary n'est pas mort... Sa capsule d'hibernation a été retrouvée par la flotte partie détruire le système central des Syndics. Et quand l'expédition se transforme en désastre, il ne reste que lui pour prendre le commandement. Si une partie des équipages voit en lui le héros qu'ils imaginent, d'autres le considèrent plus comme une gêne pour leurs ambitions.
Est-il vraiment au niveau de sa légende ? Pourra-t-il ramener la flotte perdue jusque chez elle, avec l'arme qu'elle transporte et qui pourrait enfin terminer cette guerre atroce ? Ou n'est-il qu'un malheureux soldat, bombardé capitaine après sa "mort" et incapable de commander à toute une flotte ?
Plus qu'il n'y paraît
Nous avons dans ce tome, du space opera, du vrai, avec des vaisseaux qui s'écharpent à des vitesses relativistes, qui tirent des missiles capables de détruire des planètes, avec des hommes – et des femmes quand même aussi – vaillants et féroces. Du solide !
Avec le curriculum vitae de l'auteur, nous plongeons bien sûr dans une projection spatiale de ce qu'est la Marine. Les grades, les comportements, les tactiques, tout est calqué sur la vie antérieure de Campbell. Il s'amuse à jouer de son univers connu en le transportant dans l'Espace.
Pourtant, il met plus que simplement des combats spatiaux dans son histoire... Son héros, projeté dans son propre futur, confronté à un cauchemar qui lui a déjà coûté une vie – et tout ce qu'il connaissait – doit à la fois résoudre les problèmes de la Flotte et faire face à sa propre image distordue et magnifiée par un siècle de vénération pour ce qu'il n'a jamais été.
Ce n'est pas un grand roman, ni très bien écrit, ni d'une grande portée, mais il contient ce qu'il faut pour quelques heures de détente, avec un soupçon de réflexion en plus.
Votre mission : sauver la flotte de l'Alliance !
Black Jack Geary est une légende depuis un siècle. Il fut l'un des héros des premiers combats entre l'Alliance (les bons) et les Syndics (les méchants). De nos jours, alors que la guerre continue et qu'elle draine les forces vives de toute la galaxie, son nom est un cri de ralliement, son courage et son sacrifice - il est mort pour sauver son équipage - sont cités en exemple.
Oui, mais voilà que John Geary n'est pas mort... Sa capsule d'hibernation a été retrouvée par la flotte partie détruire le système central des Syndics. Et quand l'expédition se transforme en désastre, il ne reste que lui pour prendre le commandement. Si une partie des équipages voit en lui le héros qu'ils imaginent, d'autres le considèrent plus comme une gêne pour leurs ambitions.
Est-il vraiment au niveau de sa légende ? Pourra-t-il ramener la flotte perdue jusque chez elle, avec l'arme qu'elle transporte et qui pourrait enfin terminer cette guerre atroce ? Ou n'est-il qu'un malheureux soldat, bombardé capitaine après sa "mort" et incapable de commander à toute une flotte ?
Plus qu'il n'y paraît
Nous avons dans ce tome, du space opera, du vrai, avec des vaisseaux qui s'écharpent à des vitesses relativistes, qui tirent des missiles capables de détruire des planètes, avec des hommes – et des femmes quand même aussi – vaillants et féroces. Du solide !
Avec le curriculum vitae de l'auteur, nous plongeons bien sûr dans une projection spatiale de ce qu'est la Marine. Les grades, les comportements, les tactiques, tout est calqué sur la vie antérieure de Campbell. Il s'amuse à jouer de son univers connu en le transportant dans l'Espace.
Pourtant, il met plus que simplement des combats spatiaux dans son histoire... Son héros, projeté dans son propre futur, confronté à un cauchemar qui lui a déjà coûté une vie – et tout ce qu'il connaissait – doit à la fois résoudre les problèmes de la Flotte et faire face à sa propre image distordue et magnifiée par un siècle de vénération pour ce qu'il n'a jamais été.
Ce n'est pas un grand roman, ni très bien écrit, ni d'une grande portée, mais il contient ce qu'il faut pour quelques heures de détente, avec un soupçon de réflexion en plus.