Auteur de renom, Robin Hobb, alias Megan Lindblom, se fait connaître en France avec ce premier cycle. Elle n'en est pas à son coup d'essai car elle a écrit d'autres livres sous d'autres pseudonymes. Mais c'est véritablement avec L'Assassin royal qu'elle a enfin pris son essor. Elle fait partie de ces auteurs qui ont lancé un renouveau dans la fantasy. Alors que son deuxième cycle, Les Aventuriers de la mer, est en cours de parution chez Pygmalion, elle pense déjà au troisième.
Le secret des anciens
Fitz et ses compagnons sont toujours à la recherche du prince Vérité. Mais ils doivent se méfier car les sbires du prince Rioyal sont à leur poursuite et pour Fitz avancer le long de la voie magique est toujours aussi dangereux. En s'enfonçant de plus en plus dans les montagnes, ils arrivent enfin à retrouver le prince Vérité, mais il n'est plus que l'ombre de lui-même et il s'épuise à tailler un dragon dans un rocher. La vieille Caudron qui les accompagne leur révèle alors le secret des anciens et décide d'aider Vérité dans son œuvre monumentale. Pour sauver son prince, Fitz devra retourner sur ses pas et affronter le clan des artiseurs de Royal ce qui ne sera pas facile car ils sont bien plus puissants que lui.
On s'accroche au personnage jusqu'au bout
Avec ce sixième tome, Robin Hobb conclue avec brio une fresque très originale. Malgré le cliché auquel elle n'a pas échappé avec ce premier cycle, toute cette histoire sort de l'ordinaire. On s'aperçoit en fait que la saga est bien divisée en deux parties. L'une, innocente et juvénile. L'autre beaucoup plus mature et introspective. On le remarque bien dans les commentaires faits par le narrateur en début de chaque chapitre. En six tomes elle ne s'essouffle pas du tout. Le rythme est toujours aussi présent ainsi que la vivacité de ses personnages. Là où l'auteur a très bien réussi c'est dans l'attachement que l'on éprouve envers Fitz. Malgré tout ce qu'il se passe, on sait dès le départ comment tout finira pour lui. Et pourtant on s'accroche à son histoire.
Le secret des anciens
Fitz et ses compagnons sont toujours à la recherche du prince Vérité. Mais ils doivent se méfier car les sbires du prince Rioyal sont à leur poursuite et pour Fitz avancer le long de la voie magique est toujours aussi dangereux. En s'enfonçant de plus en plus dans les montagnes, ils arrivent enfin à retrouver le prince Vérité, mais il n'est plus que l'ombre de lui-même et il s'épuise à tailler un dragon dans un rocher. La vieille Caudron qui les accompagne leur révèle alors le secret des anciens et décide d'aider Vérité dans son œuvre monumentale. Pour sauver son prince, Fitz devra retourner sur ses pas et affronter le clan des artiseurs de Royal ce qui ne sera pas facile car ils sont bien plus puissants que lui.
On s'accroche au personnage jusqu'au bout
Avec ce sixième tome, Robin Hobb conclue avec brio une fresque très originale. Malgré le cliché auquel elle n'a pas échappé avec ce premier cycle, toute cette histoire sort de l'ordinaire. On s'aperçoit en fait que la saga est bien divisée en deux parties. L'une, innocente et juvénile. L'autre beaucoup plus mature et introspective. On le remarque bien dans les commentaires faits par le narrateur en début de chaque chapitre. En six tomes elle ne s'essouffle pas du tout. Le rythme est toujours aussi présent ainsi que la vivacité de ses personnages. Là où l'auteur a très bien réussi c'est dans l'attachement que l'on éprouve envers Fitz. Malgré tout ce qu'il se passe, on sait dès le départ comment tout finira pour lui. Et pourtant on s'accroche à son histoire.