Roger Judenne a toujours aimé raconter des histoires. Après une enfance passée en plein cur de la Beauce (il est né en 1948 à Châtres), il écrit son premier roman à 17 ans. Même si celui-ci n'est pas publié, ce n'est que partie remise. Depuis, il a multiplié les uvres pour la jeunesse (une quinzaine) et reçu le prix "Enfance du Monde - UNICEF" en 1988 pour Les Diables de Séville.
Le pouvoir des mots
Lionel est un écrivain à succès. Il enchaîne les polars avec bonheur. Sauf que ces derniers temps il est touché de plein fouet par le syndrome de la page blanche. Six mois qu'il n'a pas réussit à aligner trois lignes. Sa rencontre avec un enfant un peu espiègle va lui permettre de relancer la machine. Surtout que depuis quelques jours, ce qu'il écrit à une fâcheuse tendance à se réaliser.
Mouais
Avis mitigé en refermant ce livre. Si le sujet est prometteur, son traitement est un peu simpliste. L'histoire d'amitié entre l'écrivain et l'enfant est cousue de fil blanc même si elle possède de bons moments. Et surtout, même pour des enfants, le livre est très très court. Peut-être à conseiller à des bambins que les gros pavés d'Harry Potter rebutent. Une demi-réussite donc...
La chronique de 16h16