On ne sait pas beaucoup de choses sur Yvan Lallemand. Avant de devenir écrivain, il était chimiste. Il vit à Bourg-la-Reine et La Légende des Drakel est son premier cycle dont 2 romans sont déjà parus.
Trois enfants pas comme les autres
Après avoir échappé à une tentative d’enlèvement et d’assassinat, Soyal, Hugo et leur petite sœur Victoria sont partis vivre chez leur grand-mère. A cause des évènements des mois précédents, ils veulent se faire oublier et tentent de vivre une vie normale. Mais comment peut-on vivre normalement quand on est des descendants de puissants mages, quand on possède des pouvoirs magiques que l’on tire d’un univers que l’on appelle le Hors-monde et surtout quand on est des enfants ?
Les 2 sœurs et leur frère sont donc rentrés à l’école. Ils doivent passer inaperçus ce qui n’est toujours pas évident. De plus, le soir après leurs cours ils ont des leçons de nature différente avec leur grand-mère. Tout aurait pu se passer très bien si des phénomènes étranges ne s’étaient pas produits. Des couples sont retrouvés inconscients chez eux et les voisins jurent avoir vu leurs enfants disparaître. Le problème c’est que ces couples ne sont pas censés en avoir. Hugo et ses sœurs vont être mêlés à ces affaires car Victoria est la seule à voir des étranges créatures qui semblent être à l’origine de tout. Elle les appelle les cigognes noires.
Un autre problème va se présenter aux enfant Drakel : Richard Langlois, l’adjoint au maire véreux qui avait tenté de les enlever, s’est évadé de prison et en veut toujours aux enfants. Le groupe d’amis qui s’était formé pour protéger ces enfants se retrouve une nouvelle fois pour faire face à ce nouveau problème.
Un style agréable à lire avec une recette qui marche
Dans le deuxième tome de La Légende des Drakel, Yves Lallemand développe un peu plus son univers. Grâce à cette histoire il montre qu’il n’existe pas seulement un Hors-monde mais aussi un Hors-temps auquel Victoria semble reliée. Sa plume est toujours aussi fluide il arrive à tenir en haleine le lecteur en utilisant la même technique que dans le précédent tome : plusieurs personnages et il passe d’un personnage à un autre au moment crucial. La petite nouveauté est qu’il utilise un flash back au début du roman qui nous ramène une semaine avant les évènements contés et qu’il nous faut attendre tout le roman pour avoir la fin de la première action. Cet effet de style est très appréciable.
Trois enfants pas comme les autres
Après avoir échappé à une tentative d’enlèvement et d’assassinat, Soyal, Hugo et leur petite sœur Victoria sont partis vivre chez leur grand-mère. A cause des évènements des mois précédents, ils veulent se faire oublier et tentent de vivre une vie normale. Mais comment peut-on vivre normalement quand on est des descendants de puissants mages, quand on possède des pouvoirs magiques que l’on tire d’un univers que l’on appelle le Hors-monde et surtout quand on est des enfants ?
Les 2 sœurs et leur frère sont donc rentrés à l’école. Ils doivent passer inaperçus ce qui n’est toujours pas évident. De plus, le soir après leurs cours ils ont des leçons de nature différente avec leur grand-mère. Tout aurait pu se passer très bien si des phénomènes étranges ne s’étaient pas produits. Des couples sont retrouvés inconscients chez eux et les voisins jurent avoir vu leurs enfants disparaître. Le problème c’est que ces couples ne sont pas censés en avoir. Hugo et ses sœurs vont être mêlés à ces affaires car Victoria est la seule à voir des étranges créatures qui semblent être à l’origine de tout. Elle les appelle les cigognes noires.
Un autre problème va se présenter aux enfant Drakel : Richard Langlois, l’adjoint au maire véreux qui avait tenté de les enlever, s’est évadé de prison et en veut toujours aux enfants. Le groupe d’amis qui s’était formé pour protéger ces enfants se retrouve une nouvelle fois pour faire face à ce nouveau problème.
Un style agréable à lire avec une recette qui marche
Dans le deuxième tome de La Légende des Drakel, Yves Lallemand développe un peu plus son univers. Grâce à cette histoire il montre qu’il n’existe pas seulement un Hors-monde mais aussi un Hors-temps auquel Victoria semble reliée. Sa plume est toujours aussi fluide il arrive à tenir en haleine le lecteur en utilisant la même technique que dans le précédent tome : plusieurs personnages et il passe d’un personnage à un autre au moment crucial. La petite nouveauté est qu’il utilise un flash back au début du roman qui nous ramène une semaine avant les évènements contés et qu’il nous faut attendre tout le roman pour avoir la fin de la première action. Cet effet de style est très appréciable.