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La Maison de Rosenstrasse, c'est moi qui l'ai fait prendre chez J'ai lu, et j'en suis très fier.
Un des meilleurs Moorcock, avec Le chien de guerre, un autre Von Bek, que j'ai également publié.

Le reste, sauf Voici l'Homme, est dispensable.

Aheum.

Je sais, je devrais pas, mais...

Mother London, dispensable ?

Aheum.

Gérard Klein a écrit :La Maison de Rosenstrasse, c'est moi qui l'ai fait prendre chez J'ai lu, et j'en suis très fier.
Un des meilleurs Moorcock, avec Le chien de guerre, un autre Von Bek, que j'ai également publié.

Le reste, sauf Voici l'Homme, est dispensable.

Quant à moi, je classe les deux mésaventures du lecteur des pérégrinations de Glogauer en tête des Moorcock dispensables.

Ben , moi , Le chien de guerre , je l'ai ailleurs (et ça date pas d'hier) chez un tout petit éditeur français dont les couv. étaient en noir rouge et blanc (j'ai la flemme d'aller chercher) .
Alors , qui le premier , hein ?

Moi, j'ai un vieux Voici l'homme en l'Âge d'Homme, na na nère... (dédicacé par Moorcock... Hoël n'en voudrait pas...)

Oncle Joe

C'est nous les champions, c'est nous les champions... tiens au fait, c'est bientôt les JO de Londres ; on va manger du rosbif et de haricots verts à tous les repas pendant un mois !!! ludwing ;

Whaaaaaaa j ai trouvé, au fin fond d un bouquiniste, une nouvelle version du champion éternelle. il commence à prendre de la place celui la sur mes étagères !

C est une nouvelle indépendante "La pierre d'achoppement" ou notre héros préféré est incarné en Catharz. Cette nouvelles fait 6 pages et c est en fait un auto pastiche. Moorcock pousse volontairement les traits du héros au maximum. La fin est totalement grivoise et humoristique... Vu que l objet de la nouvelle est en rapport à l une de ses parties les plus intimes "légèrement" modifiée. 

Vous trouverez cette petite perle dans un recueil de nouvelles éditées par l Atalante pour ses 10 ans (en 1999). C était un cadeau offert par les libraires à leurs clients. Bon courage pour le trouver ! Pour vous aider voici ses références :

ISBN 2-84172-912-5

Et sa fiche :

www.noosfere.com/icarus/livres/niourf.a ... re=-324770

Bien moi, Moorcock, je le trouve trop anglais, c'est un peu comme Druillhet, ça ne ressemble plus à rien dès que ça sort des références ultra-classiques... Je regrette qu'il n'ai pas exploité Arioch et la cité qui rêve au-delà des fugitives aventures du champion éternel.

Je pense que c'est aussi la maladie de R.E. Howard avec Conan : faire du super-Tarzan simplement pour le fun... ou pour vendre à un public d'inhibés ; ludwing ;

J'aurais aussi apprécié de parcourir cet univers dans un autre contexte mais la série est déjà plutôt longue. Cela m'a pris plus de 10 ans pour la trouver et la lire... du coup y replonger, même pour 6 pages, est un moment nostalgique et jouissif.

je ne boude pas mon plaisir ceci dit certains des tomes sont géniaux mais d'autres proches du navet...

Une intégrale de BD de Rork vient de sortir, elle reprend en partie l'iconographie de Elric et de Moebius ; à voir ;

Salut tout le monde,

Me voici de retour pour une bonne raison, un nouvel opus du champion éternel !!!!

Il est sorti il y a 1 an mais je ne le savais pas. En rattrapant mon retard de lecture des news de la page d’accueil du site, mon cœur a fait un bon quand j’ai vu que vous en parliez !

Kaboul et autres souvenirs de la troisième guerre mondiale



Et voici sa fiche http://www.gallimard.fr/Catalogue/DENOE ... e-mondiale
Ou https://www.noosfere.org/livres/Niourf. ... 2146600375

On suit l’histoire d’un espion russe baladé à travers notre monde contemporain puis au beau milieu de la 3e guerre mondiale. Chaque chapitre est une nouvelle tranche de vie en route vers l’apocalypse. L’un d’entre eux a déjà été publié comme nouvelle indépendante dans « Déjeuners d’affaires avec l’antéchrist ». C’est une première raison de le relier comme dernier avatar de la lignée Von Beck.

L’écriture est d’une grande maturité. Sa réflexion et la philosophie qui la sous-tend m’a beaucoup plu. Le style est épuré, simple mais d’une grande nostalgie / profondeur. C’est un roman atypique mais qui me rappelle par bien des aspects « La maison Rosentrasse ». Une autre raison de le relier à la ligné Von Beck.

Merci Monsieur Moorcock, a l’aube d’une vie, vous nous faite un magnifique cadeau. J’en recommande vivement sa lecture

J’ai mis à jour le premier message de ce sujet comme dernier tome des Von Beck.