Des vieux souvenirs du temps de Clair d'Ozone?Urgesat a écrit :N'est-ce pas ?Roland C. Wagner a écrit :Urgesat a écrit :Je m'intéresse particulièrement à la thématique de la liberté dans la SF
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Patrice
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Ben , y'a quelques littérateurs ici dont c'est le cheval de bataille... à toi de deviner lesquels...Pontiac a écrit :Et pourquoi c'est drôle, vous pouvez développer ?Urgesat a écrit :N'est-ce pas ?Roland C. Wagner a écrit :Urgesat a écrit :Je m'intéresse particulièrement à la thématique de la liberté dans la SF
"Tout est relatif donc rien n'est relatif !"
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Urgesat
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Ça ne nous rajeunit pas ! C'est vrai que Roland et moi, nous nous sommes rencontrés il y a un bon moment maintenant (Clair d'Ozone, oui et aussi Garichankar, SFère...). CePatrice a écrit :Salut,
Des vieux souvenirs du temps de Clair d'Ozone?Urgesat a écrit :N'est-ce pas ?Roland C. Wagner a écrit :Urgesat a écrit :Je m'intéresse particulièrement à la thématique de la liberté dans la SF
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Patrice
est aussi une référence à quelques discussions musclées que nous avons eu jadis sur Culture SF.-
Dominique Raymond Poirier
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Nouveau venu.
Bonsoir,
Ayant écrit un roman fantastique sur le thème des dimensions temporelles parallèles (Minutes), et une anti-utopie (Grandoria), je suis bien obligé de me présenter en tant qu’auteur, même si l’aperçu que je vais vous donner de mes lectures passées est bien mince pour avoir cette prétention, et me ridiculisera peut-être.
J’ai lu mon premier roman de SF lorsque je devais avoir 12 ou 13 ans, je pense, il y a donc environ 38 ans : c’était un vieil exemplaire, trouvé parmi d’autres livres chez moi, de "Le Neuf de Pique", par Jean Amila (publié en 1956).
Peu avant cela, j’étais allé voir "2001: L’Odyssée de l’Espace", que suis retourné voir une seconde fois le lendemain même tant il m’avait impressionné. Encore aujourd’hui, je ne connais toujours rien de plus ultime, à mon goût, dans le genre SF. J’ai regardé ce film des dizaines de fois depuis, et continue de le regarder régulièrement puisque je ne parviens pas à m’en lasser, et j'ai lu le livre trois ou quatre fois, en français et en anglais.
C’est pourquoi j’ai fini par lire et à énormément apprécier tout ce que Clarke a écrit, excepté les produits de ses collaborations ultérieures (à partir de 1988) qui m’ont déçues.
J’ai commencé à lire Clarke, vers l’âge de 14 ans, en même temps que les romans de van Vogt (tous, je crois). Asimov, Heinlein et Lovecraft ("Dans l'abîme du temps" fut mon préféré de ce dernier auteur, et l’un de mes préférés en général) sont venus peu après. Enfin, beaucoup plus tard, ai-je enfin été capable de vraiment apprécier et aimer Dick. Ma plus récente découverte fut Ayn Rand, dans un genre plus anti-utopique que réellement fantastique. J’en oublie, bien sûr, mais je pense cependant que ces derniers ne doivent pas être vraiment nombreux.
En fait, j’ai lu bien plus d’essais que de romans, toutes catégories confondues, traitant de sujets éclectiques, lesquels m’inspirent plus que la fiction ; la mécanique quantique et la psychiatrie racontent des histoires qui sont fantastiques parce qu'on sait que, de plus, elles sont vraies...
Ayant écrit un roman fantastique sur le thème des dimensions temporelles parallèles (Minutes), et une anti-utopie (Grandoria), je suis bien obligé de me présenter en tant qu’auteur, même si l’aperçu que je vais vous donner de mes lectures passées est bien mince pour avoir cette prétention, et me ridiculisera peut-être.
J’ai lu mon premier roman de SF lorsque je devais avoir 12 ou 13 ans, je pense, il y a donc environ 38 ans : c’était un vieil exemplaire, trouvé parmi d’autres livres chez moi, de "Le Neuf de Pique", par Jean Amila (publié en 1956).
Peu avant cela, j’étais allé voir "2001: L’Odyssée de l’Espace", que suis retourné voir une seconde fois le lendemain même tant il m’avait impressionné. Encore aujourd’hui, je ne connais toujours rien de plus ultime, à mon goût, dans le genre SF. J’ai regardé ce film des dizaines de fois depuis, et continue de le regarder régulièrement puisque je ne parviens pas à m’en lasser, et j'ai lu le livre trois ou quatre fois, en français et en anglais.
C’est pourquoi j’ai fini par lire et à énormément apprécier tout ce que Clarke a écrit, excepté les produits de ses collaborations ultérieures (à partir de 1988) qui m’ont déçues.
J’ai commencé à lire Clarke, vers l’âge de 14 ans, en même temps que les romans de van Vogt (tous, je crois). Asimov, Heinlein et Lovecraft ("Dans l'abîme du temps" fut mon préféré de ce dernier auteur, et l’un de mes préférés en général) sont venus peu après. Enfin, beaucoup plus tard, ai-je enfin été capable de vraiment apprécier et aimer Dick. Ma plus récente découverte fut Ayn Rand, dans un genre plus anti-utopique que réellement fantastique. J’en oublie, bien sûr, mais je pense cependant que ces derniers ne doivent pas être vraiment nombreux.
En fait, j’ai lu bien plus d’essais que de romans, toutes catégories confondues, traitant de sujets éclectiques, lesquels m’inspirent plus que la fiction ; la mécanique quantique et la psychiatrie racontent des histoires qui sont fantastiques parce qu'on sait que, de plus, elles sont vraies...
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Don Lorenjy
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Soslan
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Bienviendu !
"La Lune commence où avec le citron finit la cerise" (André Breton)
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bormandg
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Re: Nouveau venu.
Un petit jeune (10 ans de moins que moi).... mais qui fut presque aussi précoce que moi (si je ne compte pas les Jules Verne ou les BDs découvertes plus tôt, j'ai attaqué le FN Anticipation à 12 ans). Bienvenue donc....Dominique Raymond Poirier a écrit :Bonsoir,
J’ai lu mon premier roman de SF lorsque je devais avoir 12 ou 13 ans, je pense, il y a donc environ 38 ans :
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."
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Dominique Raymond Poirier
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Merci à tous pour votre chaleureux accueil.
Un souvenir en appelle un autre, Bormandg, car maintenant que vous me parlez de Jules Vernes, il se pourrait bien que j’ai lu « De la Terre à la Lune » avant « Le Neuf de Pique », en y réfléchissant. Mais là, ce devait être mon instituteur qui nous avait recommandé cette lecture. Le vague souvenir que j’ai aujourd’hui de la couverture de ce livre me fait penser qu’il devait s’agir d’une édition « Jeune Hachette » ou quelque chose comme ça (couverture épaisse avec pelliculage, de couleur vert clair).
Je m’égare…
Et bien je vais te décevoir Don Lorenjy : non, je n’ai encore jamais lu un seul Vance, je crois, et personne ne m’en avait parlé avant toi. Désolé.
Mais je vais y jeter un coup d’œil, maintenant. Ce qu’en dit Wikipedia a l’air d’être intéressant, en effet.
Oui, Lensman, mon premier van Vogt fut « A la poursuite des Slans », dont j’avais immédiatement saisi la métaphore (évidente) de l’ostracisme qui frappe bien souvent les surdoués. Puis il y eut « Les Armuriers d’Isher », puis « Le Monde des A », et c’est ainsi que les autres suivirent…
J’avais oublié de citer un autre de mes favoris, Neil Stephenson, qui, à mon sens peut être assimilé au genre fantastique (associé au « mouvement postcyberpunk » aux Etats-Unis). Neil Stephenson est une tête pleine d’une intelligence et d’une culture époustouflantes. Dans un certain sens, et, pour le degré de sa culture plutôt que pour la richesse de son vocabulaire, je le considère comme un « Umberto Eco du genre fantastique ».
Un souvenir en appelle un autre, Bormandg, car maintenant que vous me parlez de Jules Vernes, il se pourrait bien que j’ai lu « De la Terre à la Lune » avant « Le Neuf de Pique », en y réfléchissant. Mais là, ce devait être mon instituteur qui nous avait recommandé cette lecture. Le vague souvenir que j’ai aujourd’hui de la couverture de ce livre me fait penser qu’il devait s’agir d’une édition « Jeune Hachette » ou quelque chose comme ça (couverture épaisse avec pelliculage, de couleur vert clair).
Je m’égare…
Et bien je vais te décevoir Don Lorenjy : non, je n’ai encore jamais lu un seul Vance, je crois, et personne ne m’en avait parlé avant toi. Désolé.
Mais je vais y jeter un coup d’œil, maintenant. Ce qu’en dit Wikipedia a l’air d’être intéressant, en effet.
Oui, Lensman, mon premier van Vogt fut « A la poursuite des Slans », dont j’avais immédiatement saisi la métaphore (évidente) de l’ostracisme qui frappe bien souvent les surdoués. Puis il y eut « Les Armuriers d’Isher », puis « Le Monde des A », et c’est ainsi que les autres suivirent…
J’avais oublié de citer un autre de mes favoris, Neil Stephenson, qui, à mon sens peut être assimilé au genre fantastique (associé au « mouvement postcyberpunk » aux Etats-Unis). Neil Stephenson est une tête pleine d’une intelligence et d’une culture époustouflantes. Dans un certain sens, et, pour le degré de sa culture plutôt que pour la richesse de son vocabulaire, je le considère comme un « Umberto Eco du genre fantastique ».
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Dominique Raymond Poirier
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Bibliothèque verte, probablement.Dominique Raymond Poirier a écrit :Le vague souvenir que j’ai aujourd’hui de la couverture de ce livre me fait penser qu’il devait s’agir d’une édition « Jeune Hachette » ou quelque chose comme ça (couverture épaisse avec pelliculage, de couleur vert clair).
Les beaux livres, c’est aussi par ici : www.eons.fr