Dossier libraire
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Dossier libraire
Un petit mot pour vous signaler notre dossier autour des Libraires. Ils parlent de leur métier, de la place de la SF, de la fantasy et de la Bit Lit dans leurs rayons, des ventes etc.
C'est ici
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Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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Quand je vois un libraire dire ça :
Je voudrais réagir sur la question de la surproduction :
1- Les littérature de l'imaginaire ne sont pas un marché de masse mais se composent de plusieurs marchés de niches. Donc que les éditeurs essaient de se positionner sur de nombreuses niches en même temps implique une production abondante.
2- Ce qui ajoute à la production pléthorique c'est qu'aujourd'hui on préfère traduire des romans d'exploitation en SF ou en fantasy plutôt que de publier des auteurs francophones sur ce créneau. Et je préférais des romans d'exploitation de qualité écrit par des auteurs français que des ouvrages assez mauvais par des anglosaxons. Je suis de ceux qui pensent qu'il ne fallait pas traduire Goodkind, mais plutôt publier de la BCF francophone. En plus certains auteurs français qui oeuvre sur ce créneau finissent par s'autopublier rajoutant à la cacophonie. Je sais bien qu'en SF la littérarture d'exploitation c'est de grosses licences commerciales, mais bon......
Ca me fait très plaisir; Ca fait très longtemps que je défends ce type de SF là que l'on a laissé de coté au profit de la seule littérature d'idées. La SF est aussi une littérature d'univers et une littérature d'images ce qui a été un peu perdu de vue, il me semble.« Amis éditeurs, si vous me lisez, je vous en prie : mes clients et moi-même voulons du space opera, des aliens, des planètes lointaines et toutes ces sortes de choses ! »
Je voudrais réagir sur la question de la surproduction :
1- Les littérature de l'imaginaire ne sont pas un marché de masse mais se composent de plusieurs marchés de niches. Donc que les éditeurs essaient de se positionner sur de nombreuses niches en même temps implique une production abondante.
2- Ce qui ajoute à la production pléthorique c'est qu'aujourd'hui on préfère traduire des romans d'exploitation en SF ou en fantasy plutôt que de publier des auteurs francophones sur ce créneau. Et je préférais des romans d'exploitation de qualité écrit par des auteurs français que des ouvrages assez mauvais par des anglosaxons. Je suis de ceux qui pensent qu'il ne fallait pas traduire Goodkind, mais plutôt publier de la BCF francophone. En plus certains auteurs français qui oeuvre sur ce créneau finissent par s'autopublier rajoutant à la cacophonie. Je sais bien qu'en SF la littérarture d'exploitation c'est de grosses licences commerciales, mais bon......
Bienvenu chez Pulp Factory :
http://pulp-factory.ovh
Le blog impertinent des littératures de l'imaginaire :
http://propos-iconoclastes.blogspot.com
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Le blog impertinent des littératures de l'imaginaire :
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+ 42Fabien Lyraud a écrit :Quand je vois un libraire dire ça :
Ca me fait très plaisir;« Amis éditeurs, si vous me lisez, je vous en prie : mes clients et moi-même voulons du space opera, des aliens, des planètes lointaines et toutes ces sortes de choses ! »
sans faire une généralité d'un cas particulier le Summer Star Wars (challenge littéraire de blogueurs consacré au space et planet opera - sur une période de 3 mois) a du succès . L'édition 2010 c'était 109 chroniques de romans ou nouvelles (parfois très borderline) pour seulement 27 participants... et uniquement sur du sapce op. Nous ne nous attendions pas à ce que les blogueurs (une toute partie de la blogosphère) apprécient autant le genre.
(et l'édition de cette année lancée il y a 15 jours sur sapce et planet op démarre bien : 15 participants pour 38 billets et deux auteurs qui tirent déjà leur épingle du jeu : Bordage et Scalzi et j'ai ouïe dire que Destination ténèbres était au programme de certains blogueurs).
et puis pour les librairies à visiter pour les amateurs d’Imaginaire : à Lille en plus du furet (dont le rayon SF s'est réduit ...) il y a la Librairie des Quatre Chemins avec une excellente équipe de libraires.
Malheureusement, les progrès de la science sont souvent comme une hache dans les mains d’un criminel pathologique - Albert Einstein
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Le SLF veut indemniser les libraires pour les offices forcés
C'est un article d'Actualitté...
Le Syndicat de la Librairie Française souhaite mettre en place un mécanisme pour indemniser les libraires qui reçoivent des livres non demandés de la part des (grands) éditeurs. Cela leur demande de sortir automatiquement de la trésorerie pendant plusieurs mois avant de pouvoir retourner les livres...
Voici le communiqué officiel et le mécanisme d'indemnisation...
Le Syndicat de la Librairie Française souhaite mettre en place un mécanisme pour indemniser les libraires qui reçoivent des livres non demandés de la part des (grands) éditeurs. Cela leur demande de sortir automatiquement de la trésorerie pendant plusieurs mois avant de pouvoir retourner les livres...
Voici le communiqué officiel et le mécanisme d'indemnisation...
Jérôme
'Pour la carotte, le lapin est la parfaite incarnation du Mal.' Robert Sheckley
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30 ans pour se rendre compte des vices cachés de la loi de 1981 ? Enfin ça n'empêche pas le même SLF de défendre la loi sur le prix unique du livre numérique.le SLF a écrit :Aujourd’hui, la librairie a de moins en moins de marge de manoeuvre pour financer ces coûts « qualitatifs » dans un système où l’éditeur fixe la marge commerciale du libraire en maîtrisant à la fois la remise qu’il lui octroie et le prix de vente au public grâce à la loi de 1981 sur le prix unique du livre dont nul ne conteste par ailleurs les bienfaits pour la création éditoriale et sa diffusion.
Perseverare...
Le message ci-dessus peut contenir des traces de second degré, d'ironie, voire de mauvais esprit.
Son rédacteur ne pourra être tenu pour responsable des effets indésirables de votre lecture.
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- dracosolis
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Sauf si la fin du monde les arrête.dracosolis a écrit :Ils vont mettre trente ans encore, t'inquiète^^
"If there is anything that can divert the land of my birth from its current stampede into the Stone Age, it is the widespread dissemination of the thoughts and perceptions that Robert Heinlein has been selling as entertainment since 1939."