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Il est où le second degré ?Roland C. Wagner a écrit :Tiens, encore un qui n'a pas vu le second degré.Christian a écrit :Je dis haut et fort que je n'ai pas aimé du tout ce Baxter, mal foutu, aux "héros" puant le libéralisme américain sans morale,
Quand on donne un lien, il serait bon qu'il ne faille pas faire encore 3km pour trouver l'info annoncée. Tu aurais pu, par exemple :Christian a écrit :Et si tu te donnais la peine de descendre un peu dans le blog, tu trouverais la citation ci-dessus. Apparemment tu aimes bien les affirmations péremptoires, mais quand on creuse un peu...Eons a écrit :Ton lien, c'est pour Le vieil homme et la guerre, de John Scalzi ! Rien à voir...
Christian a écrit :Elle est où ta question ? Je ne vois qu'un appel à la censure
« Moi, les cons, je ne leur parle pas, ça les instruit ! » (Michel Audiard)Christian a écrit :Et hop ! Il insiste : si on n'aime pas, on ferme sa gueule ? C'est bien ça que tu veux dire ?
"C'est toujours plus facile d'insulter que d'argumenter" (Moi)Eons a écrit :Christian a écrit :Elle est où ta question ? Je ne vois qu'un appel à la censure« Moi, les cons, je ne leur parle pas, ça les instruit ! » (Michel Audiard)Christian a écrit :Et hop ! Il insiste : si on n'aime pas, on ferme sa gueule ? C'est bien ça que tu veux dire ?
Christian a écrit :"C'est toujours plus facile d'insulter que d'argumenter" (Moi)Eons a écrit :Christian a écrit :Elle est où ta question ? Je ne vois qu'un appel à la censure« Moi, les cons, je ne leur parle pas, ça les instruit ! » (Michel Audiard)Christian a écrit :Et hop ! Il insiste : si on n'aime pas, on ferme sa gueule ? C'est bien ça que tu veux dire ?
HS :Lensman a écrit :En ce qui concerne le héros principal de "Temps" (Malenfant), je l'ai plutôt vu comme un fou obsessionnel, et je n'ai pas eu l'impression qu'il fallait le prendre comme un hommage au merveilleux esprit d'initiative libertarien américain... Je rappelle que le bouquin se termine par la fin du monde (enfin, le nôtre), et que les points de vue les plus hétéroclites sont exprimés dans le le roman. En plus, j'ai cru comprendre que les autres "variations" de la trilogie offrent des point de vue tout à fait différents. On peut apprécier, ou non, mais cette série m'a l'air loin d'être univoque. J'ai même la nette impression par moment que ça se moque (gentiment) de la SF à la Heinlein, dans laquelle les débrouillards trouvent toujours des solutions. Là, il n'y a pas de solution. Les choses sont comme elles sont, dictées par une formidable fatalité cosmique.
Oncle Joe
c'est somme toute un peu comme la 8e de tu sais qui, passée à l'envers... 
Je suis bien de ton avis et si toutefois l'auteur avait voulu défendre le sacro-saint libéralisme a l'américaine, le choix de ce personnage l'aurait plutôt desservi, vu le coté très agaçant du bonhomme avec ses sentences à l'emporte pièce....je l'ai plutôt vu comme un fou obsessionnel, et je n'ai pas eu l'impression qu'il fallait le prendre comme un hommage au merveilleux esprit d'initiative libertarien américain...
Je me posais la même question, idem pour clarke, qui n'en a jamais vraiment écrit, il ne va pas assez loin pour mériter ce titre du moins.Christian a écrit :Ah bon ? Asimov a écrit de la Hard Science ?Eons a écrit : Je n'ose imaginer une critique de la même sur certains chefs-d'oeuvre de Clarke ou Asimov...
Se limiter à faire de la littérature ? Mon dieu, relis toi, trourne sept fois ta langue dans ta bouche avant de l'ouvrir, achete un cerveau, j'en sais rien !Roland C. Wagner a écrit :Non, sérieusement, je ne comprends pas comment on peut se limiter à faire de la littérature alors qu'on a le champ immense de la SF ouvert devant soi.
