Ca ne vaut bien évidemment que pour eux, c'est à dire que ce n'est pas représentatif de l'ensemble du marché. Néanmoins c'est un indicateur puisqu'ils ont quand même eu 3428 personnes qui ont participé (du 5 au 11 septembre 2017).
Je vous mets que me semble le plus remarquable :
Sur ces 3428 répondants au questionnaire sur l'imaginaire, 74% étaient des femmes, 26% des hommes. Sur ces 3428, 89% étaient des lecteurs d'imaginaire.
Tranche d'age :
0-12 ans : 0.2%
12-17 ans : 4%
18-24 ans : 11%
25-34 ans : 28%
35-44 ans : 23%
45-54 ans : 17%
55-64 ans : 11%
Q16. Y a-t-il des adaptations à l’écran (film ou série) qui vous ont poussé à découvrir le roman original ?
Oui : 59%
Non : 41%
Et leurs conclusions :
A rapprocher avec ces chiffres.Les frontières de l’imaginaire sont encore floues: seul un tiers des lecteurs considèrent que «les particules élémentaires», «la métamorphose» ou même «les fourmis» relèvent «tout-à-fait» du genre.
La majorité des lecteurs d’imaginaire apprécient le genre sous toutes ses facettes(fantasy, fantastique, science-fiction.)
les adaptations et la littérature jeunesse sont des points d’accèsau genre, mais peuvent aussi l’y enfermer.
Pas de prédominance du poche, mais une progression des lectures en numérique.
La librairie et le bouche-à-oreille, physique ou numérique, sont au coeur de la prescription et de la découverte du genre.
L’attachement aux maisons ou collections reste secondaire dans le choix d’un titre imaginaire