Après avoir travaillé près de vingt ans dans le cinéma, Jasper Fforde revêt la casquette d'écrivain. Il débute dans l’imaginaire avec The Eyre Affair (Jane Eyre kidnappée de son roman !). En suivront bien d'autres, dont l'ensemble The Last Dragonslayer (2010) The Song of the Quarkbeast (2011) et The Eye of Zoltar (2014) suivi finalement de Early Riser (2018)
Il s'agit d'un monde où les humain hibernent pendant l’hiver et ce, depuis toujours. L'interview complète est disponible en anglais ici, mais on vous propose quelques morceaux traduits.
« Toutes les séries débutent avec un roman autonome. C’est comme ça que ça semble fonctionner. J’ai créé sans vraiment y penser un monde immense qui s’étend et représente un bon postulat de départ pour y placer encore de nombreux romans. C’est du gaspillage, pour moi, de n’utiliser un univers une seule fois. »
« J’écris des livres en débutant avec ce que j’appelle un « défi narratif ». J’ai une idée et je me donne le challenge d’aller jusqu’au bout. »
« Le défi de Early Riser était d’écrire un thriller dans un monde où les humains avaient toujours hiberné. L’important reste que le défi multiplie les possibles. L’idée de base pour Early Riser ouvre un champ des possibles immense. »
« Quand j’en viens à choisir un défi, je me tiens à ce que je sens être juste. Une grande partie de mon écriture se déroule juste dans ma tête, à essayer de trouver ce qui me semble être juste. J’avais cette idée qui trainait d’une sitcom tournant en boucle pendant que les gens dorment. Si quelqu’un venait à se réveiller de son hibernation, ou même seulement venait à montrer les prémisses d’un réveil, il devrait alors y avoir quelque chose pour le rendormir au plus vite. J’ai pensé que Bonanza serait parfait pour ça. D’ailleurs, si une grosse partie de travail consiste à chercher ce qui est juste, l’autre partie est à propos de l’équilibre et l’authenticité. Quand on écrit une histoire, on crée un passé aux personnages, aux situations, et on se doit de chercher et d’essayer d'écrire un peu de vérité. »
Les nominés de la convention japonaise de science fiction Seiun Awards on été annoncés. Il s’agit de la 58ème édition et les nominés sont des oeuvres originales comme des traductions. On y retrouve notamment Ann Leckie, Sylvain Neuvel, Neal Stephenson et Andy Weir.
La maison d’édition de l’imaginaire a lancé un appel à texte pour ses deux collections. Voici les deux genres recherchés, entre horreur et polar.
Collection Obsidienne
Envie de sentir votre corps trembler au rythme des pages ? Venez vous frotter aux délices de notre collection Obsidienne. Du frisson à l'épouvante, du paranormal à l'horreur en passant par l'occulte, laissez-vous tenter par des moments de tensions inoubliables pour les plus frileux aux plus téméraires.
Collection Azurite
Un suicide improbable ? Ne s'agirait-t-il pas d'un meurtre ? Une disparition ? Un enlèvement ? Quand les enquêtes révèlent des faits troublants. Suivez des personnages prêts à tout pour résoudre des affaires surnaturelles.
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