Des nouvelles de Léo Henry

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Auteur de plusieurs recueils de nouvelles et de romans (on citera Rouge gueule de bois, le Diable est au Piano ou bien encore  Bara Yogoï - sept autres lieux, ainsi qu'une nouvelle dans la dernière anthologie des Utopiales), Leo Henry déborde d'activités. Petit point avec lui sur 2015 et 2015.
 
Quel est ton bilan de 2014 ?
Dense et positif. Il y a eu le Casse du continuum et le Bifrost en début d'année, le Naurne à l'automne, les dix ans de la Volte tout du long (antho de nouvelles, recueil d'interious). Bouclé le premier numéro d'un fanzine papier et le quatrième livre des récits de Yirminadingrad. Beaucoup de déplacements, de rencontres, de choses qui se construisent.
 
> Sur quoi travailles-tu ? Quels sont tes projets ?
Tâcher de finir Hildegarde. Un tiers des épisodes du Naurne, encore, à écrire. Des projets de collaboration sur les nouvelles par email. Des pistes de bédés. Un peu de traduction. Et puis des choses épatantes mais très secrètes encore.
 
> Et quelles sont tes prochaines dédicaces et apparitions à venir ?
Je serai six soirs à Charybde pour la résidence Hildegarde, dont trois avec des invités (Céline Minard, Julien Jacob et Laurence Moulinier). Il y aura une rencontre à Strasbourg autour du Naurne le 4 février. Un atelier d'écriture à Haguenau le 3 mars. Et puis on sera quelques jours en résidence à Strasbourg au mois de juin avec Luvan et Laure Afchain.
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