
Résumé :
C'est l'histoire d'un journaliste scientifique (William Stone) qui mène une expédition dans une galerie souterraine à Tiahuanaco.
Dedans, il est pris d'un "malaise" qui le laisse dans le coma 40 jours.
Lorsqu'il se réveille dans sa chambre d'hôpital, il sent des choses, est influencé par des forces invisibles qui le forcent presque à se défenestrer.
S'ensuit alors une rencontre avec un personnage étrange qui lui explique qu'une mémoire atavique est directement disponible afin d'accéder à la science des hyperboréens qui se sont auto-détruits avec le nucléaire, l'Atlandide ayant été le dernier vestige de cette civilisation vieille de plus de 150 000 ans.
W. Stone est la réincarnation de Syl Ork, un hyperboréen reconnu pour sa maîtrise des sciences.
Grâce à des formules mathématiques, il peut ainsi se téléporter, dresser un champ de force psychique pour se préserver des incursions dans son cerveau des Negatifs, être issus de l'antimonde qui auraient dirigés l'assassinat de Kennedy entre autres choses. Bon, il tue un zombie, quelques autres Négatifs, empêche un attentat en tuant un des chefs puis tue carrément une assemblée de 17 Négatifs d'un coup avec des éclairs venus du ciel.
Ensuite il tente de rentrer dans l'antimonde, où il est sur le point de mourir en se fondant dans le connaissance universelle quand sa copine Jane Oro (qu'il a rencontré dans une vie passée(elle a pris contact avec William Stone peu après sa sortie de l'hôpital)) le sauve, on ne sait pas trop comment.
Fin.
Il est fait mention de la matrice originelle comme "le réceptable de toutes les pensées cosmiques, le lieu multidimensionnel où se cristallisent les produits des énergies psychiques."
Ce sont les hyperboréens qui ont ouvert une porte vers cet antimonde en jouant les apprentis-sorciers avec l'espace et le temps, antimonde dans lequel résident les Négatifs, qui se sont empressés de venir semer le désordre sur Terre. Bouh ! Les vilains
Voilà.
Pour ma part, j'ai beaucoup de mal à voir la paternité du film Matrix dans ce roman, mais enfin faites-vous votre propre idée. On pourrait tout aussi bien dire que le roman de Dan Simmons "L'échiquier du mal" est un plagia de ce roman (ah oui parce que je ne vous ai pas dit, mais les Négatifs peuvent contrôler des personnes à distance), ce qui serait tout aussi ridicule.
Tout simplement, dans ce roman, toute action est réelle, alors que dans le film non. Tout le paradoxe entre fiction et réalité omniprésent dans le film est absent du roman. Idem pour le contrôle de tous les humains dans un monde virtuel, les machines.
En tout cas, Neo est vraiment nul, William Stone, lui, il se téléporte