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Parution Orbit juin
Posté : lun. juin 04, 2012 9:37 am
par marie.m
A paraître en juin chez Orbit,
Transition de Iain Banks.
La Terre, aujourd’hui. Un monde entre euphorie et tragédie, fi gé dans l’ombre du terrorisme et menacé par une crise fi nancière globale. Les hommes connaissent ce monde. Mais peu savent qu’il existe une multitude d’univers parallèles, et une organisation puissante dotée d’agents capables de voyager à travers les mondes. Cette organisation s’appelle le Concern. Elle prétend guider et aider la Terre. À n’importe quel prix.
Posté : lun. juin 04, 2012 9:57 am
par Hoêl
Yes !
This one's for me , for me , formidaaaaableuh !
Posté : jeu. juin 21, 2012 11:12 am
par Hoêl
Bon , ben , lu et... c'est pas terrible .
Posté : jeu. juin 21, 2012 11:27 am
par Herbefol
Hoêl a écrit :Bon , ben , lu et... c'est pas terrible .
Ce n'est pas le premier écho mitigé que j'ai. Je sens que ce livre ne va pas monter rapidement dans la PAL. Je vais vraisemblablement me concentrer d'abord sur les deux romans de la Culture que j'ai en stock.

Posté : jeu. juin 21, 2012 11:32 am
par Erion
Hoêl a écrit :Bon , ben , lu et... c'est pas terrible .
Est-ce pour cette raison que ce livre est encensé par la critique de littérature générale ? Cela va être un sujet de débat intéressant, j'ai l'impression?
Posté : jeu. juin 21, 2012 12:19 pm
par Hoêl
Erion a écrit :Hoêl a écrit :Bon , ben , lu et... c'est pas terrible .
Est-ce pour cette raison que ce livre est encensé par la critique de littérature générale ? Cela va être un sujet de débat intéressant, j'ai l'impression?
Je ne sais pas de quelles critiques tu parles .
Pour ma Pomme , c'est du déjà-vu dans la thématique (Jumpers au cinéma , Les mondes parallèles en jeunesse) , il y a des incohérences gènantes , la fin est foutraque , trop rapide et peu justifiée .
C'est dommage car le travail sur le personnage du Transitionnaire et celui du Philosophe est très fouillé et intéressant mais la méchante est par trop caricaturale et l'héroïne n'est guère crédible .
Et puis , l'abondance de scènes de cul... ça lasse .
Posté : jeu. juin 21, 2012 12:41 pm
par Erion
Hoêl a écrit :Erion a écrit :Hoêl a écrit :Bon , ben , lu et... c'est pas terrible .
Est-ce pour cette raison que ce livre est encensé par la critique de littérature générale ? Cela va être un sujet de débat intéressant, j'ai l'impression?
Je ne sais pas de quelles critiques tu parles .
Critique dithyrambique dans l'hebdo Marianne, qui commence par "Ce serait le dernier service à rendre à Iain Banks que de classer son dernier livre en science-fiction".
Visiblement, ce roman a ébloui le critique littéraire au point de justifier une telle exfiltration.
Posté : jeu. juin 21, 2012 1:23 pm
par kibu
Très bon bouquin, supérieur au dernier tome de la Culture.
Posté : jeu. juin 21, 2012 1:29 pm
par jerome
Posté : jeu. juin 21, 2012 1:54 pm
par Hoêl
kibu a écrit :Très bon bouquin, supérieur au dernier tome de la Culture.
Es-tu sérieux ?
Si oui , les incohérences ne t'ont-elles pas gèné ?
Un exemple , lors de la scène sur le palais au sommet de l'Everest : comment peut-on transiter dans un monde désert où toute vie humaine a disparu ?
Et idem pour la scène dans la ville détruite .
Et puis la fin où la victime des sévices rend la monnaie de leur pièce aux tortionnaires , c'est facile et peu justifié . Quant à Mme Mulverhill , rien n'est justifié sur son existence , ses pouvoirs , etc...
Et la fin du séjour du Patient part dans tous les sens pour se conclure par un départ un peu facile .
Posté : jeu. juin 21, 2012 3:45 pm
par kibu
Es-tu sérieux ?
Très.
Si oui , les incohérences ne t'ont-elles pas gèné ?
J'avoue que j'ai tiqué lorsque le transitionnaire s'échappe de la salle de torture et réintègre notre réalité dans un palais vénitien vide. Dans quelle enveloppe ?
Mais après coup, comme il n'y a que lui et Mme Mulverhill qui sont concernés par ce genre de translation, j'ai mis cela sur le compte de leurs "pouvoirs spéciaux".
Incohérence ?
Deus ex machina ?
Je ne sais pas.
En tout cas, cela n'a pas gâché mon plaisir de lecture. J'ai retrouvé tout ce que j'apprécie chez Banks : l'ironie, le propos politique (dans le bon sens du terme) et un peu de vertige.
Si je devais émettre une critique, ce serait sur le dispositif narratif. Banks joue au virtuose et se plaît à le montrer. C'est un peu artificiel et pas assez intuitif. Mais, c'est un défaut récurrent chez lui.
Posté : jeu. juin 21, 2012 7:05 pm
par eleanore-clo
Bonsoir
J'ai lu l’œuvre et ai un sentiment mitigé.
Le démarrage est difficile car le mode narratif choisi par Banks n'est pas de tout repos. Mais on finit par s'y habituer, voire même à apprécier ce choix très original.
L'importance donnée aux rôles féminins est tout aussi novatrice. Cela est trop rare pour ne pas le mentionner.
Cependant, l'intrigue est parsemée de coups de théâtre qui la rend invraisemblable. Quel dommage car l'idée de départ est brillante.
J'ose espérer que les critiques dithyrambiques de la Grande Presse Américaine (Financial Times, Washington Post, the Times, ...)ne sont pas dues aux innombrables scènes de sexe et de violence... après je ne connais pas l'âge des critique !!! Peut être en avaient ils besoin ?!!!
Cordialement
Eléanore-clo