De bien trop peu de gens, à entendre les éditeurs...Stéphane a écrit :C'est une citation de qui ?Lune a écrit :]Je l'ai commandé tiens !
Oncle Joe
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Philip José Farmer (dans [i]Le Labyrinthe magique[/i]) a écrit :Mais les machines apportaient une obstination bien connue, encore qu'inexpliquée à ce jour, à se détraquer spontanément ou a refuser de fonctionner. Un humoriste en avait déduit qu'elles possédaient peut être une sorte de wathan elles aussi, dont l'existence se démontrait par la formule "je flanche, donc je suis".
« Très amusant, commenta Phaéton. Cela signifie, je suppose, que vous allez me donner des conseils que je vais m'empresser d'ignorer ? »
Rhadamanthe lui tendit un crâne. « Veillez seulement à ne pas me tuer par accident.
_ Ne vous dissimulez pas derrière une tenture, c'est tout. » Phaéton considéra le crâne. « Hélas ! pauvre Yorick. Je le connaissais, Horatio. Un homme d'un humour infini, d'une élégance extrême... » Il releva la tête. « Je n'ai jamais compris cette pièce. Si ce Yorick était tellement apprécié, pourquoi ne l'ont-ils pas ressuscité à partir de ses sauvegardes ?
_ La technologie de l'enregistrement nouménal n'a été développée qu'à la fin de l'ère de la Sixième Structure mentale, jeune maître.
_ Mais il existait une sauvegarde du père de Hamlet. Sa projection apparaît sur les remparts... »
En fait je crois que cette réplique est la seule chose que j'ai aimé dans le film :p une citation que n'aurait pas renier Chuck Norris...Tu vas le regretter pour le restant de ta vie... c'est à dire deux secondes
J'avoue que j'écrirais plutôt: "Where everithing can happen, everithing is interesting". Autrement dit: pas d'accord du tout avec Herbert George sur ce point;Lensman a écrit :"Nothing remains interesting, where anything can happen."
H.G. Wells
Oncle Joe
Evidemment, vu ainsi, et dans cette optique précise...Erion a écrit :La phrase de Wells, telle que je la connaissais, était "There's nothing interesting if anything can happen".
Ce qui est la définition de la SF par rapport au fantastique ou à la fantasy (Anything et pas "something")
Ce n'est sans doute pas le lieu d'en débattre, mais je suis de plus en plus perplexe face à l'évidence ou à la "naturalité" des genres...J'ai avalé une infinité de définitions qui n'ont eu pour effet que de me convaincre que ce qui rapproche ces littératures est bien plus consistant que ce qui les différencie ...[oh ! l'hérésie que voilà !]Erion a écrit :La phrase de Wells, telle que je la connaissais, était "There's nothing interesting if anything can happen".
Ce qui est la définition de la SF par rapport au fantastique ou à la fantasy (Anything et pas "something")
Richard Saint-Gelais. L'Empire du pseudo.« Les genres n'ont pas d'essence et la science-fiction pas davantage que les autres. L'amateur de définitions et de frontières bien découpées(...) n'en trouvera pas ici. Non que je veuille me défiler devant un problème trop ardu ; la question me paraît plutôt mal posée et aboutit trop souvent à des apories.[Mon hypothèse] est qu'une compréhension du phénomène générique passe par l'abandon d'une conception essentialiste qui aboutirait à une hypostase des genres, en y voyant une matrice ou un ensemble de propriétés plutôt qu'un domaine de pratiques.»
A part le fait que tu prétends distinguer DES littératures différentes là où je ne vois que des branches (différentes? pas sûr) de LA littérature, je souscris.Askaris a écrit :Ce n'est sans doute pas le lieu d'en débattre, mais je suis de plus en plus perplexe face à l'évidence ou à la "naturalité" des genres...J'ai avalé une infinité de définitions qui n'ont eu pour effet que de me convaincre que ce qui rapproche ces littératures est bien plus consistant que ce qui les différencie ...[oh ! l'hérésie que voilà !]Erion a écrit :La phrase de Wells, telle que je la connaissais, était "There's nothing interesting if anything can happen".
Ce qui est la définition de la SF par rapport au fantastique ou à la fantasy (Anything et pas "something")
Richard Saint-Gelais. L'Empire du pseudo.« Les genres n'ont pas d'essence et la science-fiction pas davantage que les autres. L'amateur de définitions et de frontières bien découpées(...) n'en trouvera pas ici. Non que je veuille me défiler devant un problème trop ardu ; la question me paraît plutôt mal posée et aboutit trop souvent à des apories.[Mon hypothèse] est qu'une compréhension du phénomène générique passe par l'abandon d'une conception essentialiste qui aboutirait à une hypostase des genres, en y voyant une matrice ou un ensemble de propriétés plutôt qu'un domaine de pratiques.»