Par exemple :
- Faut t’il mélanger SF anglo-saxonne et SF française ou prévoir des parties distinctes ? (comme le fait Sadoul)
- Faut t’il intégrer fantasy et fantastique ou exclure tous ce qui n’est pas Science-fiction (la tendance actuel est, il me semble, d’écrire des ouvrages séparés pour ces différents genres – oui mais comment parler de Leiber sans parler du « cycle des épées », de Moorcock , sans parler d’Elric, de Le Guin sans Terremer, de Zelazny sans Ambre… ?
- Faut-il intégrer des auteurs hors genre, mais ayant écris un livre indiscutablement de SF, si cela semble évident pour, Huxley ou Orwell, par exemple, pour d’autre n’est ce pas ratisser un peu large ?
- Et que faire de sa subjectivité. On imagine par exemple un Gilles Dumay – écrivant pour Asimov : Ecrivaillon nul a chié, à oublier !

Et effectivement la forme « dictionnaire » comme suggère Eric peut résoudre quelques-uns de ces problèmes.
Et puis, a la fin, quand tout ce travail titanesque est terminé, quand le livre est enfin publié, quand on se repose, content de soi. Boom, on tombe sur une critique qui expédie le livre en trois mots assassins !
