Ce qui d'ailleurs, n'enlève pas l'intérêt d'œuvres qui ne resteront pas comme des chefs-d"œuvre. Il y en a plein comme ça, en SF (et ailleurs), qui sont justement oubliées, mais pour lesquelles je conserve une tendresse pour le bon moment passé au moment de leur rencontre.silramil a écrit :Cela dit, les critiques n'ont jamais écrit pour les écrivains, ni les écrivains pour les critiques...
Et il en est de même pour les oeuvres d'art que pour les oeuvres critiques : ne survit, en définitive, que ce qui en vaut la peine.
L'obsession de vouloir laisser des "classiques", c'est un truc que je trouve assez vain… pénible, même, des fois.
Oncle Joe